tag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post5194553102942469855..comments2024-02-24T11:12:35.745+01:00Comments on MetaBlog: A Rome... l'amour des formesUnknownnoreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-52880559628763705192011-02-28T07:48:47.200+01:002011-02-28T07:48:47.200+01:00Je crois suivre Julien sur un point, le mariage...Je crois suivre Julien sur un point, le mariage est une métamorphose de tous les jours et qui se renouvelle, qui ne peut se figer sur une forme , une fois pour toutes, , mais l'ouverture à la fécondité ne peut se limiter à la procréation. Par exemple, beaucoup de grands artiste et d'autres ont été portés, inspirés , fécondés par leur épouse. Et réciproquement, A la limite, seule cette fécondité dans toutes ses facettes justifie le mariagehenrinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-50614489189366578442011-02-25T18:23:48.080+01:002011-02-25T18:23:48.080+01:00(suite)
4. Or le christianisme se montre de nos jo...(suite)<br />4. Or le christianisme se montre de nos jours excessivement formaliste, en particulier dans le courant traditionaliste. Le moins qu'on puisse dire est que <br />le chef de notre foi ne l'a pas été, Qui ne s'est Fait Signe que pour se Faire Sens et, au-delà, Qui nous a appris à ne plus être sous le joug de la loi tout en la respectant, mais sans en respecter les formes, en les détournant même au besoin. C'est dans cet aformalisme juridique qu'Il a accompli la Loi sans en changer un iota (soit la forme d'une lettre). <br /> <br />5. Où je veux en venir, c'est qu'il y a un perpétuel hiatus et balancement dans la nature humaine entre sa dimension cyclique et rituelle et son besoin de métamorphose, aussi bien dans les conditions de la Grâce, où la métamorphose devient Puissance transformante nous faisant accéder pas à pas à l'Union à dieu, que dans celles de la nature, où la métamorphose passe par l'invention de nouvelles formes qui subvertissent apparemment les formes traditionnelles du rite qui nous semble donné de toujours, comme si tout n'était pas mortel sous le ciel. Nous avons beaucoup parlé précédemment du mariage et du manque à l'appel des non ordinants parce que non répondants au sacrement de l'Ordre. Or cette crise de l'offre ou ce manque à l'appel proviennent peut-être d'une crise de l'offre, qui semble se manifester sous la forme du vieillissement de la forme sous laquelle on la propose. N'est-il pas de notre devoir, quitte à bousculer en nous "l'homme rituel", d'inventer de nouvelles formes en faisant la part, dans les sacrements, de ce qui est négociable et de ce qui ne l'est pas? Prenons le mariage. Ce qui n'est pas négociable, c'est la fidélité et l'indissolubilité; mais la communauté de vie est-elle vraiment propice à la vie durable du coupe? Quant à l'"ouverture à la fécondité", n'est-elle pas déjà caduque pour des veufs qui se marient, ayant passé l'âge de procréer? Je pourrais ainsi passer en revue tous les sacrements, et il faudrait le faire, les clercs y étant plus habilités que moi, quoique devant solliciter les observations des laïques. On peut se moquer de la "Tradition vivante", mais je crois que c'est cela, la Tradition vivante: discerner, dans la forme sacramentelle, ce qui n'en saurait être changé et ce qui doit l'être en raison de l'évolution de la société ou, si ce mot vous braque, des conditions de la vie actuelle de l'homme moderne dont, sans doute, la nature ne change pas, mais les conditions de vie, assurément ne sont pas les mêmes. Et faute de cet effort de discernement de l'"éternel" et du contingent dans la forme, nous sommes menacés par une vascularisation si peu fluide que l'apoplexie est au bout, à vues humaines, bien entendu.journal torrentiel de Julien Weinzaepflenhttps://www.blogger.com/profile/02317372864625269889noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-57992328447737670102011-02-25T18:20:57.225+01:002011-02-25T18:20:57.225+01:00"La lumière évolue à peu près dans les formes..."La lumière évolue à peu près dans les formes". Ce vers de Michel Houellebecq me vient, je ne sais pourquoi, à la lecture du merveilleux voyage à Rome auquel vous nous invitez (je sais bien que Michel butor conviendrait autrement à cette visite de rome, au style plus somptueux que Michel Houellebecq, l'écrivain encensé du moment, une sorte de nihiliste+à peine). Or derrière ce vers un peu informe, me semble se dégager quelques lumières sur la vérité. Ces quelques lumières, si je les résume avant de les développer, nous montrent que "la lumière" doit "évoluer dans les formes" pour les traverser, les éclairer, les montrer, mais ne peut le faire qu'"à peu près", ce qui n'est pas une précaution relativiste: <br /> <br />1. La vérité n'est pas iconoclaste: elle a cessé de l'être depuis que le Verbe s'est fait chair, c'est-à-dire a pris forme, Est devenu pour nos yeux spirituels "Image" ou même "Icone du Dieu Invisible".<br /> <br />2. Créée, la matière est prise dans un système d'information. Est-ce à dire que la matière est informelle? De même, doit-on déduire du fait que la vérité ne saurait plus être iconoclaste qu'elle doit épouser "la civilisation de l'image" dans laquelle est entrée "la société de l'information" au paroxysme de la fascination pour le règne phénoménal de la manifestation? Ainsi le voudrait sans doute "la religion du signe qui ne fait plus sens"; mais pour nous, le Verbe s'est Fait Signe pour nous montrer le sens.<br /> <br />3. Si nous vivions dans l'"éternité qui prend son temps", la vérité se présenterait à nous sous une forme figée. Mais, pris par le temps au point d'être engagés dans le devenir, nous ne saurions nous passer de l'évolution. Donc, pour nous, engagés dans le devenir, pour nous pour qui la vérité de l'art est transformiste, mais qui vivons sous les lois naturelles d'une matière informée, non informelle, la vérité n'en revêt pas moins une dimension métamorphique. La vérité est métamorphose à cause de cette dimension du devenir dans laquelle nous vivons jusqu'au refus de Dieu de se laisser figer dans une définition de l'être (cf le passage sur le buisson ardent).journal torrentiel de Julien Weinzaepflenhttps://www.blogger.com/profile/02317372864625269889noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-61943012539930366522011-02-25T10:15:31.093+01:002011-02-25T10:15:31.093+01:00Richesse du Catholicisme :
Admirer ce feu d'a...Richesse du Catholicisme : <br />Admirer ce feu d'artifice et, en même temps, révérer l'art cistercien.<br />Merci Seigneur pour Ta Création ! <br />Pour l'Homme, capable, appelé à y participer!<br />Tout ce qui parle de la largeur, la longueur, la profondeur de Ton Amour!Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-3285222925791015012011-02-24T21:02:10.060+01:002011-02-24T21:02:10.060+01:00les feux d'artifice, c'est éblouissant. Ma...les feux d'artifice, c'est éblouissant. Mais ne pourrait-on pas avoir de petites bougies bien droites, bien sages , rangées les unes à côté des autres, comme dans les "églises"( s'il en reste)...? Merci A.S. Aveuglé des ScintillementsAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8345216622203648980.post-82571862188199812192011-02-24T18:21:19.870+01:002011-02-24T18:21:19.870+01:00La concurrence entre l'expo parisienne et roma...La concurrence entre l'expo parisienne et romaine est certainement celle des œuvres. Les emprunts de tableaux sont fréquents dans ce cadre, ce qui veut dire que si une expo est organisée ailleurs dans le monde sur le même peintre, alors elle aura par définition moins de tableaux à proposer, donc moins de facettes de l'artiste à présenter.Polydamashttp://abimopectore.over-blog.comnoreply@blogger.com