mardi 5 octobre 2010

[conf'] "L'Eglise et la République" par Philippe Prévost

Mardi 5 octobre 2010 à 20H00 au Centre Saint Paul (12 rue Saint Joseph - 75002 Paris) - "L'Eglise et la République" par Philippe Prévost - PAF 5€, tarif réduit à 2€ (étudiants, chômeurs, membres du clergé) - La conférence est suivie d’un verre de l’amitié.

7 commentaires:

  1. Et n'oubliez pas, cher Monsieur l'Abbé que le 16 octobre est la fête du mont Saint Michel, la fête de Saint Michel saint patron de la France ...en son temps vous aviez célébrer sa messe à la demande du cercle saint Michel(de tradition)...c'est bien le jour cette année de prier pour la France et la défense de ses plus faibles les petits enfants à naître les trois fleurs de lys de la patrie :Jésus, Marie,Saint Michel que Dieu les gardent en vie!

    RépondreSupprimer
  2. Philippe Prévost est un des auteurs les plus sympathiques, originaux et humainement accessibles qu'il m'ait été donné de rencontrer dans la galaxie des auteurs tradis. Je promets un régal à tous ceux qui auront la chance de pouvoir l'entendre et regrette de ne pas pouvoir être des vôtres.

    J. WEINZAEPFLEN

    RépondreSupprimer
  3. Bof, République ou Monarchie, ce sont toujours le petits qui trinquent et qui paient les pots cassés.

    Pourquoi est-ce qu'il n'y a jamais de vrais ouvriers, de vrais employés ou de vais paysans au parlement ?

    Tous les ténors du PS suposés représenter le Peuple son des énarques issu de la grande bourgeoisie. Aucun vrai fils du peuple.

    Il n'y a que le PCF et le FN qui compten des vrais fils d'ouvriers parmi leurs dirigeants.

    RépondreSupprimer
  4. @ Anonyme de 21h22

    Ah non, cher Anonyme de 21h22, vous commettez je crois une erreur: sous nos Rois, existait un réel "ascenseur social" comme disent aujourd'hui les bateleurs endimanchés, dans leur logorrhée électoraliste.

    Un fils de drapier pouvait se trouver au Grand Conseil et Le Nôtre, pleurait de joie, à l'idée de se promener avec le Grand Roi, dans les Jardins de Versailles, qu'ils avaient conçus d'une même ferveur.
    Louis Le Bien-aimé saluait une simple servante, croisée dans une antichambre.

    Croyez vous que les petits (tout petits, minuscules) messieurs au pouvoir de nos jours, toutes soi-disant "tendances" confondues, soit capables d'autres choses que de mépris, pour ceux qu'ils passent leur temps à duper?

    RépondreSupprimer
  5. Je crois même que Louis 14 ne faisait pas que saluer les simples servantes...

    RépondreSupprimer
  6. @ Anonyme de 11h57

    Exact, cher métablogueur, Sa Majesté faisait un galant signe de tête et esquissait d'ôter son chapeau; voilà ce qu'était, en vrai, l'Ancien Régime honni: l'exquise politesse des Grands, unie à la grâce de celui qui incarnait son Peuple et qu'il aimait par dessus-tout....Nec Pluribus Impar.....

    À présent, c'est Carla dans les journaux "people" et Rachida à la une.....

    RépondreSupprimer
  7. Moi mon Président préféré c'est Félix Faure. Allez savoir pourquoi. En tout cas c'est celui qui eu la plus belle mort en perdant sa connaissance...La Reine Victoria disait de lui qu'il avait la prestance d'un roi. Il est vrai que son fils, le Prince de Galles, s'y connaissait question femmes de Paris. On dit que l'épouse de Félix Faure aurait fait un impair : parlant du susdit Prince de Galles, elle aurait demandé à la Reine et Impératrice des Indes : "Alors Majesté, que comptez-vous faire de ce grand garçon ?" ce qui aurait jeté un froid. Imaginez la Carlitta à son Sarko posant la même question à Elizabeth II au sujet du Prince Charles?

    RépondreSupprimer