"l'amour des animaux contient un piège" c'est vrai et il est facile d'y tomber quand la vie est difficile et que l'environnement est hostile. La France est le pays d'Europe qui compte, entre autres, le plus de chiens.On sait aussi que selon les statistiques c'est le pays où les gens sont les plus pessimistes.Quant à la solitude, ça devient un calvaire avec l'âge où le compagnon à 4 pattes, créature, elle aussi , du Bon Dieu est parfois l'unique rayon de soleil.Avec un tourment latent, quand l'un des deux disparaîtra ? Dieu disparaît du quotidien de la société devenue utilitariste .La grande faucheuse se fait séduisante où du moins est-elle vantée ainsi par des esprits " éclairés" dans des corps satisfaits.
Magnifique ! Oui, nous nous sommes trop éloignés de la nature. Trop cartésiens, car la pensée tournant seule sur elle-même devient une boursouflure. Tout intellectuel qui ne sait plus communier avec la nature ne peut avoir accès à quelconque vérité (ou alors très partiellement). Il s’illusionne tout simplement. La vie monastique, « orare et laborare » (à condition que ce soit manuellement) est le seul chemin qui conduit à ne pas se gorger de mots et à laisser l’Esprit travailler en nous. Car c’est lorsque nous ne pensons plus qu’il agit ! Ceci est une certitude et comme il est dit dans ce reportage, la nature guérit, elle nous guérit, physiquement et mentalement.
"l'amour des animaux contient un piège" c'est vrai et il est facile d'y tomber quand la vie est difficile et que l'environnement est hostile. La France est le pays d'Europe qui compte, entre autres, le plus de chiens.On sait aussi que selon les statistiques c'est le pays où les gens sont les plus pessimistes.Quant à la solitude, ça devient un calvaire avec l'âge où le compagnon à 4 pattes, créature, elle aussi , du Bon Dieu est parfois l'unique rayon de soleil.Avec un tourment latent, quand l'un des deux disparaîtra ?
RépondreSupprimerDieu disparaît du quotidien de la société devenue utilitariste .La grande faucheuse se fait séduisante où du moins est-elle vantée ainsi par des esprits " éclairés" dans des corps satisfaits.
Merci monsieur le webmestre .
RépondreSupprimerMerci de ce beau post. La grande faucheuse se fait séduisante ? C'est ce que j'appelle l'Evangile du néant dans le post suivant.
RépondreSupprimerAu moins les animaux sont des compagnons fidèles , sincères, ils ne savent pas mentir et ils n´ont aucune réligion. Cela les préserve d´être faux.
RépondreSupprimerMagnifique ! Oui, nous nous sommes trop éloignés de la nature. Trop cartésiens, car la pensée tournant seule sur elle-même devient une boursouflure. Tout intellectuel qui ne sait plus communier avec la nature ne peut avoir accès à quelconque vérité (ou alors très partiellement). Il s’illusionne tout simplement. La vie monastique, « orare et laborare » (à condition que ce soit manuellement) est le seul chemin qui conduit à ne pas se gorger de mots et à laisser l’Esprit travailler en nous. Car c’est lorsque nous ne pensons plus qu’il agit ! Ceci est une certitude et comme il est dit dans ce reportage, la nature guérit, elle nous guérit, physiquement et mentalement.
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