vendredi 1 avril 2016

Michel Onfray: "J'ai vu les effets de Vatican II à la messe étant gamin..."

Qu'avons-nous besoin de polémistes traditionalistes, quand le meilleur adversaire de notre religion fait le job? Michel Onfray a participé aux "Rencontres du Figaro" de mars 2016. Au détour d'une question, il a répondu... 
  
... sur Dieu:
"Si on a besoin de demander à la Transcendance de se manifester, c'est qu'elle n'existe plus. Plus on est dans la sophistication notamment dans les églises baroques puis rococo plus on se rend compte qu'on a besoin d'artifices pour appeler Dieu".
... sur la religion:
"Les religions rendent possible les civilisations, c'est une bêtise de dire que la nôtre n'est pas judéo-chrétienne, évidemment elle l'est même lorsqu'elle ne l'est plus. Dans le sens où elle se construit contre, et se construire contre c'est faire avec".
... sur la réforme liturgique:
"J'ai vu les effets de Vatican II à la messe étant gamin, avant on avait les filles d'un coté, les garçons de l'autre et le prêtre de dos, les yeux tournés vers le soleil levant et cela faisait sens. On attendait la Lumière car le Christ était la Lumière.(...) Le prêtre s'adressait à Dieu et était l'intercesseur de ses ouailles qui étaient derrière lui mais tous tournés dans le même sens. Et d'un seul coup on a dit : on change tout ça, on installe l'autel au milieu du cœur et on tourne le dos à Dieu puisque le Tabernacle est derrière (...). Et puis, on dit que la musique n'a plus besoin d’être sacrée, d’où la guitare dans La vie est un long fleuve tranquille, on a le curé qui s'habille en jean. Maintenant, on tutoie Dieu et on ne parle plus en latin. L'Eglise a dit : 'on n'a plus besoin de sacré, la transcendance est dans l’immanence', c'est-à-dire qu'elle avalise l'évidence de ce que la civilisation dit : nous avons perdu le sens du sacré judéo-chrétien".
La transcription est donnée par Radio Notre-Dame (ce n'est pas un poisson d'avril), la vidéo est en ligne sur Le Figaro.

9 commentaires:

  1. C´est vrai que l´homme actuel a perdu le sens du sacré . Mais on ne peut pas dire que cela est du à cause d´un concile. Il faut penser qu´il y a beaucoup d´autres causes ensemble.
    Le matérialisme, le désir de “avoir” plutôt que “être”; le désir de “puissance”, l´égoisme humain qui fait que beaucoup de gens ne pensent qu´à eux-mêmes; le manque d´amour vrai vers le prochain; le manque de la charité; les philosophies sans valeur humanitaire; etc, etc... on pourrait faire une liste innombrable de ces questions.
    Surtout, on ne peut pas dire que dans l´ancient église les hommes étaient parfaits. (hommes et femmes, bien sûr). Il y a toujours eu de bonnes et mauvaises personnes dans tous les âges du monde...
    Et comme cela est un fait, on voit plusieurs fois des hommes (et même prêtres !) à faire et à dire beaucoup de choses totalement stupides, choses sans aucune raison logique.
    J´ai entendu, un jour, un prêtre traditionnel très extrémiste,(un“pur”) qui disait :“Dieu ne peut pas faire aucun miracle aux temps modernes, dans l´église d´aujourd´hui.”
    Cet homme ignorant veut qui Dieu “ lui demande la permissiont pour faire des miracles...”
    Faute de sens... Depuis quand Dieu a besoin de la permission humaine pour faire un miracle?
    Le simple fait de vivre est déjà un miracle. Je connais un miracle par l´intercession d´un saint, une guèrisson d´une maladie terminale, avec des preuves scientifiques , faites par plusieurs médecins renommés. (à la fin du 20 siècle).
    Dans l´ancient testament, nous voyons des miracles à une époque ou le christianisme n´éxistait pas comme réligion réelle. (Christ n´a pas encore venu au monde)!Sans oublier que le Christ a fait ses miracles dans le judaisme de son époque, car le christianisme se développera seulement plus tard.
    Comme on peut voir, il y a des têtes qui sont dépourvues de tout raisonnement. Ou comme dit un vieil adage de mon pays: “Un diplôme ne raccourcit pas les oreilles de personne...”

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  2. Du grand Michel Onfray. Merci mon Père de nous faire partager ses réflexions édifiantes.

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  3. Boulevard Bourdon1 avril 2016 à 09:21

    Philippe Bilger, sympathique, volubile, jovial est un homme rond qu’il est impossible de méconnaître. Un démultiplicateur communiquant tout terrain qui, constamment, télévise, radiotise, bloguise, journalise.
    Pratiquant la médiaculture extensive il n’a étonné personne en plongeant goulûment dans la barbarinade (*).

    Après avoir médité sur une « excellente double page du Parisien » il nous offre une vision sans complaisance sur les institutions humaines en général comme sur les moyens utilisés par les gens de pouvoir pour gommer les aspérités. Ces arrangements ne sont ni pertinents ni efficaces, note-t-il, pourquoi ne pas se débarrasser des « brebis galeuses » avant qu’elles n’infectent le troupeau ? Habile transition biblique pour rentrer dans le vif du sujet : ce qui n’est guère tolérable – mais qui l‘est néanmoins chaque jour – dans les affaires civiles devient proprement insupportable pour le religieux.

    Quel hommage lucide ! Quelle vérité aveuglante ! Le fait religieux est absolu, les vérités de ce monde sont relatives. Qu’un politicien soit incapable, qu’un ingénieur soit incompétent, qu’un avocat soit véreux, qu’un marchand soit voleur, qu’un enseignant soit ignorant…quelle importance ? Mais un ministre du culte, le plus humble, le plus effacé, doit être parfait.

    Notre ami Bilger enfonce des portes ouvertes, il fait montre d’une certaine naïveté – une fausse. L’Eglise, corps vivant n’a pas le risque zéro en catalogue. Du haut en bas de la hiérarchie des maladresses peuvent être commises. Point barre.
    Si des personnes ont subi des préjudices, qu’ils obtiennent réparation dès lors qu’ils en ressentent la nécessité. Si des responsables catholiques ont commis des erreurs ils en sont les premiers souffrants. Un laïc ne se grandit pas en s’immisçant dans des affaires où le débat est autre que la juste recherche d’un apaisement partagé.

    Bilger s’immisce mais il est magnanime. Il tend une perche en s’interrogeant loyalement : « quel étrange, quel surprenant manque de curiosité et de vigilance »! Car il connait bien l’accusé, une personnalité éclatante dont la liberté de ton et l’intelligence l’avaient frappé. Un compliment assassin ; la faute en sera rehaussée d’autant.
    Magnanime mais ingénieux il tente une explication : « ne peut-on percevoir, non pas la volonté de rendre à César, mais de garder pour Dieu qui se débrouillera bien avec ces pécheurs au sein de l’église catholique ? ». Même débarrassée d’un tortueux empilage de scories sa phrase reste obscure. Tentons une traduction intelligible : les prêtres pédophiles n’ont à rendre compte qu’à Dieu, lequel s’en débrouillera beaucoup mieux que César.
    Mais c’est un juste, pondéré et rationnel. Il ne peut se satisfaire de cette proposition qu’il prête à ce justiciable dans l’embarras. Il va donc tomber du côté où il penche. Il est hors de question de soustraire aux « vrais juges ». On « rend » tout de suite à César.
    Alors il est prêt pour l’énoncé de sa conclusion, qu’il assortit toutefois d’une précaution discursive alambiquée et cauteleuse
    « …je ne crois pas m’égarer en proférant… ».

    Dieu n’aime pas les pédophiles.

    Nous, pareil !


    (*) Justice au Singulier. 10 Mars 2016

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    1. Boulevard Bourdon4 avril 2016 à 13:43

      César ne fonctionne pas toujours excellemment.

      Il y a quelques années un juge assesseur attira l’attention pour s’être livré en séance à l’exercice de la masturbation. Au motif qu’il s’ennuyait pendant les audiences. Les circonstances exactes du délit, son déroulé, les sanctions, le devenir du contrevenant, tout cela est oublié et nous indiffère.

      Ce fait divers crapoteux eut, selon certains, une conséquence bénéfique : la suppression des juges assesseurs lesquels avaient la fâcheuse habitude de sombrer dans un profond sommeil, notamment lors des audiences de l’après-midi. Seul, le juge du milieu, président, responsable affairé et bien éveillé, siège maintenant dans la plupart des séances, sans être flanqué de ses deux dormeurs (lesquels ont toute latitude d’aller se masturber dans leurs bureaux respectifs à l’abri des regards indiscrets voire intéressés).

      Bien sûr on peut s’arrêter au caractère courtelinesque de l’incident. Oublier sa condition de citoyen potentiellement justiciable, n’être jamais rentré dans un palais de justice, rire pour entraver l’effroi.
      Mais on peut rester lucide, maîtriser l’angoisse, vaincre une répugnance naturelle et aller ressentir in situ l’inhabituelle et glaçante réalité.
      La haute estrade, les sièges curules en acajou massif, les 15 mètres de hauteur sous plafond, les boiseries haute époque, le mur du fond orné – le mur des cons ? – les robes et les toques (pour une fois en avance sur leurs collègues britiches ils ont abandonné leurs perruques en crin de cheval), le décor est campé mais les acteurs sont médiocres.
      Face à eux « côté spectateur » des malheureux éberlués, écrasés par le décorum - ces oripeaux symboliques de la justice - tassés sur leur banc, terrorisés, dont l’avenir , malheur ou bonheur, équilibre ou dégringolade, survie ou disparition, devenir incertain de la famille – souvent au civil les 2 parties plaidantes seront perdantes – dépend de ces guignols désabusés indifférents haut juchés, d’une interprétation boiteuse d’un texte ambigu par un cerveau fatigué ou altéré (par exemple par une masturbation excessive qui rend sourd comme on le sait !) ou partisan ou diabolique, par des personnes ayant elles-mêmes leurs propres difficultés domestiques.
      Comédie, tragédie ?

      Dieu n’aime pas ceux qui se masturbent pendant leurs heures de service.

      Mais il y a plus grave que cette histoire de cornecul. Celle du petit juge d’Outreau, n’est nullement dérisoire. Un garçon sage avec une vocation, le contraire d’un traine-patin. Il fait son droit – les facultés ne manquent pas – puis ses années à l’ENM qui lui dispense la technique et lui inculque en prime une solide armature idéologique - Foucault, Bourdieu, Badinter, auprès desquels Rousseau n’est plus qu’un benêt incontinent. Mais dès sa prise de fonction tout se détraque. Par le hasard du tableau de permanence il tombe sur Dame Badaoui, pièce maîtresse d’un dossier délicat, un vrai coup dur pour un débutant modèle vivrensemble. Le mauvais sort s’acharne, il « devient » seul, son n+1 est probablement aussi démuni que lui. (*)

      La vérité c’est qu’il y a eu carence de toute la magistrature, qu’informés les chers collègues ne bronchèrent pas. Ce que l’opinion perçut, c’est une non-assistance à débutant désemparé en grand danger dans une affaire qui ne demandait qu’à suppurer. Assurément il ne pouvait s’en sortir et tout le monde le savait. Honteuse corporation !

      Dieu n’aime pas ceux qui agissent en faisant dans leur froc.

      (*) Curieusement on retrouve dans cette histoire le sexe et les enfants mais aussi un ecclésiastique sur lequel il y a eu acharnement : « Ce qui m’est arrivé peut arriver à tout le monde » dit-il. Vous risquez 20 ans lui a dit un jour le petit juge. Pour lui pardonner le prêtre attend que le juge reconnaisse ses fautes. Il attend toujours.

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    2. Boulevard Bourdon10 avril 2016 à 12:10

      Les furies semblent s’être détournées de Fourvière. Après des centaines d’interventions - journalistes locaux et nationaux, personnalités en tout genre – consacrées à la pédophilie ecclésiastique on met le cap sur l’Afrique Sangaris.

      Une affaire où se mêle à nouveau sexe et enfants (sur ce continent on ne sait pas très bien quand commence l’âge adulte) en présence d’animaux, facteur aggravant qui pimente le scandale.
      Cette fois c’est le bidasse qui est sur la sellette. Immédiatement Monsieur le Président de la République a dit ce qu’il fallait : « Je ne peux pas accepter qu’il y ait la moindre tache sur la réputation de nos armées, c’est-à- dire de la France ». Fermez le ban !

      Pour le goupillon on a joué à la petite bête qui monte, qui monte. Pour le sabre il est à parier que l’on sera plus discret. On va s’efforcer de circonscrire le sinistre à l’échelon de l’homme de troupe. Un cabot-chef vicelard arrangerait tout le monde.
      Ça va commencer à coincer si on passe aux sous-officiers. L’adjudant-major du bataillon va se rebiffer et repasser la patate chaude plus haut. Saint Cyr, nous voilà ! A ce stade on va naviguer entre les 2 barrettes et les étoiles et nécessairement débarquer chez le commandant en chef des forces armées.

      Les catholiques sont gens conciliants. Nous recherchons l’apaisement et la concorde en toutes choses. On nous demande la démission du Primat des Gaules ; il sera le premier à proposer son sacrifice. En échange nous demandons humblement celle du chef des armées.

      Car comme notre Bilger préféré nous nous autorisons à ne pas croire nous égarer en proférant que :

      Dieu n’aime pas ceux qui se comportent mal avec les animaux.

      Ce « fait sociétal », qui apparaîtra dans les livres d’histoire du futur au chapitre « Président Hollande », nous interroge au niveau du mal vécu.
      L’armée recrute. Le besoin s’en fait sentir jour après jour. Que recrute-t-on ? Des soldats de la nation. De quelle nation ?

      Allons-nous nous battre avec les Allemands ? Impossible avec l’arme nucléaire qu’ils ne possèdent pas. Avec les Anglais ? Ils viennent de nous rendre l’anneau de Jeanne d’Arc. Avec les Turcs ? L’Europe prendra notre défense. Avec les gros : US, Russie, Chine ? Nous ne sommes pas de taille.
      Alors, avec qui allons-nous nous battre ?

      Recruter un soldat, apprendre à un citoyen le maniement des armes et l’emploi de la force, nous inspire présentement effroi et incompréhension. Nous ne sommes plus en 39. Encore moins en 14.
      Que Dieu sauve la France ! Mais quel Dieu ?

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  4. onfray ma ouvert a la reflexion! et je cherche un SenS a cette cette folie qu eSt la vie

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  5. Quelle tristesse,c.est la pure réalité malheuresement,merci M.Onfray pour la clarté de vos propos !

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  6. Charlie Bedeau2 avril 2016 à 11:47

    Merkel : « Fermer la route des Balkans ne résout pas le problème». Tant qu’on tient Stalingrad !

    Eddy Mitchell : « Si Hollande et Valls sont de gauche, moi je suis curé ». Si Eddy est curé, Jaunny est un loubavitch belge.

    Hollande a suivi l’arrestation de Salah Abdeslam dans le bureau du Premier Ministre Belge. Superbe comme Obama dans son blockhaus lors du flingage de Ben Laden.

    La vie des champs.
    Des agriculteurs toujours moins nombreux moins bien payés. Les abeilles pareil mais elles produisent davantage de miel. Encore plus de noms d’oiseaux au salon. Des centaines de candidats aux primaires défilent devant veaux, vaches, cochons, couvées mais évitent les onagres. Beulin est aussi utile au paysan que Gattaz à l’employé de bureau.
    Bientôt les robots mangeront pour nous. Après l’appareil reproducteur le digestif, d’un rendement énergétique trop faible, tombera en désuétude. Les vrais humains iront se terrer dans des cavernes où ils continueront à se nourrir et à copuler. Ils seront appelés archéoplatoniciens. A la disparition de l’Empire du vivrensemble ils réapparaîtront et reprendront leur quête : l’éternel retour prophétisé par les penseurs indoeuropéens.

    Durant son séjour à l’assemblée nationale Christine Boutin avoue n’avoir jamais été approchée par des francs-maçons. Ces gens-là sont étranges mais pas stupides.

    Juppé ses bottes n’a pas peur de l’islam. Le grand délavé se méfie de l’Arabie Saoudite et du Qatar. Attachez vos ceintures camarades du Les Républicains, ça va cliver.

    Les uns optent pour le 19 Mars, le 5 Décembre ou le 3 Juillet. Les ignorants, en bataillons serrés, déparlent. Certains ne disent rien car ils savent que la paix n’a jamais été signée et que la guerre cessera quand l’algérianisation de la France sera complète et définitive.

    Patrick Pelloux, urgentiste rescapé notoire, se propose d’apprendre à tout le monde les 3 ou 4 gestes qui sauvent. Ne serait-ce pas préférable d’enseigner quelques conseils de bonne vie aux populations ?
    La liste qui suit n’est qu’une première mouture.
    Ne jamais voter pour quelqu’un qui a déjà fait ses preuves.
    Rester sceptique quand on vous affirme que l’islamisme ne baigne pas dans l’islam.
    Avant de convoler assurez-vous que votre futur conjoint est du sexe auquel vous pouvez raisonnablement vous attendre.
    Quand on a des comptes bancaires dissimulés à l’étranger, faire en sorte de ne pas être nommé ministre par Hollande.
    Si vous maltraitez régulièrement votre épouse, au bout de 40 ans déposez votre fusil de chasse au coffre.
    Catholique, professez des idées de gauche. Sinon on va vous considérer comme un nazi.
    Vous êtes la maîtresse d’un politicien que vous ne supportez plus. Arrangez-vous pour qu’il soit élu président de la république.
    Vous avez de gros besoins financiers. Vous ne savez rien faire. Devenez artiste plasticien.
    Vous êtes un homme très occupé. Ménagez-vous quelques instants dans la journée pour aller faire du scooter.
    Si vous êtes amateur de spectacles sportifs, apprenez à lire et à écrire.
    Vous êtes charcutier en surnombre à Argenteuil. N’allez pas vous installer à Sevran. Ouvrez une salle d’initiation au close-combat à Passy.
    Si vous êtes un pédophile jaloux, ne mettez pas vos enfants dans une école catholique. Ni à l’école publique. Le mieux c’est encore de les garder chez vous.

    Le changement d’heure pendant la nuit pascale est un signe dont nous abandonnons l’interprétation aux mages des Sciences Sociales.
    Ce chamboulement biannuel des horloges, aussi absurde que grotesque, doit être néanmoins conservé afin que les Français n’oublient jamais combien Giscard fut un politicien inepte.

    L’oiseau qui s’est délicatement posé sur l’épaule de Mister Trump serait d’origine européenne. Ses ancêtres seraient arrivés avec le Mayflower. Depuis lors ils auraient subi de nombreuses modifications génétiques grâce à Monsanto.
    Avant de réaliser son exploit ce sympathique volatile se serait soigneusement nettoyé à l’eau de javel.
    Un US-Digest.

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  7. Charlie Bedeau6 avril 2016 à 10:37

    Si vous avez aimé Chirac vous ne serez pas déçu par Juppé. Après avoir aimé Juppé vous pourrez toujours adorer le délavé de Vesoul. Et ainsi de suite jusqu’à ce que les dhimmis soient privés du droit de vote.

    Bertrand du Nord ne cumule plus mais a été augmenté de 4.000 € par mois. Il travaille deux fois moins tout en étant mieux payé.
    La rémunération des élus est une cause d’insatisfaction pour les citoyens naturellement envieux et jaloux. Leur légitime irritation pourrait les pousser à des extrémités regrettables.
    Ce serait une mesure de salut public que de supprimer cette pratique. Si le service le demandait certains pourraient toutefois être logés, nourris et habillés sur le budget civil. Modestement s’entend.
    Pour leur retraite ils cotiseraient dans leur branche professionnelle. Quand ils en ont une.

    Gérard-François Dumont est un sorbonnard géographe distingué qui a déclaré (C dans l’air 31 Mars 2016), parlant des migrations actuelles : l’exode vers l’Europe, il y a 2000 ans qu’elle a commencé !
    Au sens de ce savant on peut dire que l’exode des blancs vers l’Amérique date de 1492 ; celle des noirs du XVIIème siècle. L’exode des européens vers la Chine remonte au moins à Marco Polo. Pour celle des zoulous vers l’Afrique du Sud relire Lugan l’Africain.
    Quant à l’exode de l’Islam vers la terre entière elle se poursuit et se développe depuis l’an 632 de l’ancienne ère.

    Une personnalité importante dont l’identité n’a pas été révélée aurait dit : « un journaliste qui n’est pas au chômage est une prostituée ».
    A qui veut-il faire croire cela ? Mesure-t-il le tort qu’il porte à la corporation de ces malheureuses femmes du secteur tertiaire ?
    D’ailleurs la presse Néerlandaise vient d’identifier un journaliste lequel, non seulement n’est pas chômeur, mais travaille dans la haute administration française où il a actuellement des responsabilités capitales. De ce qu’il a bien voulu divulguer de ses années de formation nous incline à penser que sa sexualité est des plus réservées et que son rapport à la prostitution est hautement improbable.

    Selon certains vaticanistes les problèmes rencontrés aujourd’hui par l’Eglise de France pourraient être la lointaine conséquence d’une politique volontariste des années 60 menée par un redoutable trio d’intellectuels - Dany la Rousse, Julibé et Fred Mitran – dont on se rappelle le fameux mot d’ordre « Nous sommes tous des pédophiles allemands ».
    L’information n’a pas été relayée par l’AFP.

    L’homme blanc n’est pas toujours en mesure de comprendre tout ce qui se passe dans les pays amis d’Afrique - Ils le sont tous.
    Au Malawi dernièrement, suite à un trafic d’os humains, matière première de produits de la pharmacopée locale, 7 personnes ont été arrêtées. Elles transportaient de quoi fabriquer poudres, onguents et grigris pour tous leurs compatriotes désireux d’accroître leur beauté, leur richesse, leur pouvoir de séduction, leur force génésique.
    Ces malheureux furent immédiatement accusés de sorcellerie et brûlés vifs sur place. L’un après l’autre pour que le brasier dure plus longtemps.
    Au Burundi et en Tanzanie c’est autre chose. Les albinos manquent de considération. Il faut reconnaître qu’ils sont plus voyants en Afrique Noire qu’en Suède. Quand on a besoin ils sont découpés en morceaux et préparés en potion que l’on ingurgite pour devenir riche et beau.
    Le géographe de service indique qu’ils seraient 150.000 pour 40 millions d’habitants ; ce qui permet de voir venir.
    Ceux qui prêchent l’accueil charitable voire la charité accueillante devraient prendre conscience des différentiels de civilisation.
    Par exemple relire René Girard.

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