mercredi 18 mars 2009

Vous faites quoi dans la soirée du 7 avril?

Le 7 avril à 20H15 parce que c’est le jour et l'heure où Christian Marquant viendra au Centre Saint Paul dans le cadre des «conférences» du mardi. Et «conférence» parce que c’est le terme consacré même si dans ce cas «causerie» conviendrait mieux. Marquant, donc, viendra nous causer du Motu Proprio et de sa (non)réception dans les paroisses. Pour ceux qui ne connaissent pas : Marquant, c’est 40 ans de militantisme. Marquant, l’homme qui n’abandonnera jamais. Marquant, à qui j’ai joué un tour pendable à la sortie d’une réunion – en renvoyant vers lui un tout jeune militant qui cherchait absolument quelqu’un à qui expliquer ce qu’était le MJCF. Marquant, donc, si vous ne vous satisfont pas les réserves d’Indiens ni les arrières-boutiques aménagées. Le danger c’est qu’il est communicatif et que vous pourriez bien vous retrouver un dimanche matin à tracter «pour la diversité liturgique dans le diocèse de…». Gageons qu’il vous en parlera.

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3 commentaires:

  1. Merci au webmestre pour ce très beau portrait, et pas flatté je vous assure, de Christian Marquant.

    Certains, un peu pisse-vinaigre sur les bords, diront : "oui, mais il a des ennemis". Comment voulez vous ne pas avoir d'ennemis lorsque vous gardez pendant trente ans, le même enthousiasme pour la même cause ?

    D'autres, du genre précautionneux, souligneront le risque de se faire annexer par un tel homme.

    Personnellement j'admire Christian Marquant et le don de soi que représente, per fas et nefas, sa fidélité militante et sa volonté, contre toutes les lobotomisations, de continuer à penser.

    Mais il n'y a aucun risque d'annexion. Simplement une vraie confiance, dont je crois qu'elle est réciproque.

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  2. "...le risque de se faire annexer par un tel homme..."

    ... et d'autres tout aussi précautionneux, craindront que ce soit vous qui l'annexiez lui. Mouais... Non. On ne met pas deux barracudas dominants dans le même aquarium.

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  3. Pour amorcer le débat :
    N'y a-t-il pas une double non-application du motu proprio? Avec d'un coté des curés qui ne souhaitent pas répondre aux demandes, et de l'autre des traditionalistes qui ne souhaitent seulement pas se joindre à ces demandes? Je m’explique, je vous livre mon témoignage: Nous étions deux à constituer un groupe stable autour de ma paroisse et j’ai pu joindre 35 pèlerins de Chartres habitant non loin, par le biais des organisateurs. Avec comme résultat : deux signatures. Plus une personne qui avait déjà signé – soit un grand total de trois (TROIS) personnes sur trente-cinq pour participer à notre démarche. Plusieurs ont répondu qu’ils avaient déjà la messe, soit par le diocèse soit par la FSSPX soit par un institut ‘Ecclesia Dei’. Dans ces conditions elle semble légitime la réponse souvent faite : Vous voulez une messe selon sa forme extraordinaire ? allez dans telle paroisse du diocèse, il y en a déjà une.

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