vendredi 5 octobre 2012

La forme même de l'athéisme

Tout à l'heure au Centre Charlier, François me lance : "Tout ce qui est atteint est détruit" Il cite sa source : Montherlant. Je lui réponds : "C'est la forme même de l'athéisme. Cela ne m'étonne pas de Montherlant". Rien de tel qu'un ancien élève des jésuites pour plonger dans la déréliction spirituelle. En tout cas il y a un précédent : Voltaire.

L'athéisme en effet n'est pas la négation de Dieu puisque celui qui croit nier ne sait pas ce qu'il nie.

Pascal et son pari m'ont appris que l'athéisme, autant que nous le connaissons, est avant tout une forme du désir, qui consiste à choisir le rien, à s'en tenir au rien qui succède à tout assouvissement physique. L'athéisme consiste à... croire qu'il n'y a pas d'autre désir que celui-là. A aimer le vide. A en jouir.

"Je vais à tâtons comme dans colin-maillard et ce que je prends dans mes bras à l'instant sort du jeu" continue Montherlant dans Aux fontaines du désir - Sans remède.

On trouve aussi : "A peine ai-je en ma possession une créature, je préfère toutes celles que je n'ai pas, la moindre que je n'ai pas".

Il n'y a qu'une seule façon de sortir de cette quête addictive (Montherlant et les petits garçons d'Outre Méditerranée) et autodestructrice, c'est de transmuer le désir en amour. De s'oublier pour ce que l'on aime. Et alors, comme dit Augustin (cité par Benoît XVI dans sa première encyclique) : "Qui touche la charité touche la Trinité". La charité est le seul désir qui augmente avec la possession. Qui a pris Dieu une fois dans son coeur voit bien ce que je veux dire : Expertus potest credere.

25 commentaires:

  1. -"La charité est le seul désir qui augmente avec la possession. Qui a pris Dieu une fois dans son coeur voit bien ce que je veux dire : Expertus potest credere."-
    Je confirme!
    Un peut moins pour la phrase en latin qui, si elle est juste, est trop universelle...Et souvent employée par les homos pour faire passer à la casserole les innocents!

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  2. Je ne crois pas que Montherlant ait été élève des Jésuites mais du collège Sainte-Croix de Neuilly-sur-Seine qui était dirigé par des prêtres séculiers et qui a servi de modèle au collège dans lequel se déroule l'action du roman "Les Garçons"(à vérifier).

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  3. Complèment de précisions sur Montherlant et le collège Sainte-Croix de Neuilly-sur-Seine.

    Selon le site internet de ce célèbre établissement scolaire :

    "Fondé par les Pères de Sainte Croix en 1856 dans le quartier des Ternes, le collège s’installe définitivement à Neuilly en 1866. Devenu collège diocésain en 1910, le collège grandit sous la tutelle du clergé diocésain de Paris. En 1983, le collège devint mixte et un premier chef d’établissement laïc fut nommé en 1993."

    Ceci confirme que Montherlant n'a jamais été élève des Jésuites (à moins qu'il n'ait fréquenté d'autres établissements secondaires, ce que je laisse à la sagacité des internautes).

    La congrégation de Sainte-Croix est établie principalement au Canada où elle a connu de nombreux déboires et a été condamnée a de lourds dommages et intérêts à la suite d'actions judiciaires introduites pour pédophilie.

    Dans les années 1900 le collège était connu pour ses fortes opinions progressistes (ce que Montherlant décrit admirablement)et accueillait des enfants de toutes origines sociales. Il fut dirigé à partir de sa réouverture en 1910 par le célèbre abbé Petit de Julleville. Voir sur internet la liste des élèves les plus célèbres.

    Montherlant semble avoir été plus ou moins exclu (ces choses là se passaient dans la discrétion)de cette institution sans qu'on en connaisse les raisons exactes ; peut-être était-ce pour mauvais esprit et parce que le futur académicien avait une trop grande influence sur ses condisciples et non pas pour les raisons auxquelles on pourrait penser ?

    Deux anciens élèves furent élus à l'Académie française : en 1963 Montherlant et en 1975 le RP Marie-Dominique Carré,OP (on voit mal un ancien élève des Jésuites devenir dominicain).

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  4. Montherlant (ter)

    En 1907 ou 1908 Montherlant fut élève du Collège Saint-Pierre de Neuilly ou il se lia d'amitié avec Louis Aragon qui en sixième maîtrisait déjà le programme de littérature du baccalauréat*.

    Peut-être que ce collège était tenu par des jésuites. Sur internet je n'ai rien trouvé sur l'historique de cet établissement.

    Il faut signaler que ces deux institutions scolaires catholiques situées à Neuilly-sur-Seine font souvent l'objet de confusions.

    Est-ce que vos correspondants pourraient "creuser" ce problème.

    Merci.

    * Selon Aragon, Montherlant qui était un "costaud" le protégeait des grands. la violence dans les établissements scolaires ne date pas d'hier !

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  5. Mais peut-il exister une autre forme de l'athéisme, celle de l'amour exagéré et qui exige de Dieu une bonté totale, pour tout et pour tous ? Avec un rationalisme scientifique pour lequel Dieu est la hypothèse dont on n'a plus besoin pour s'expliquer le monde, on perd la foi : en Dieu chrétien, car Il n'est ni bon, ni juste, et en Créateur en général, parce qu'Il n'est pas nécessaire. Ce ne sont pas mes fantaisies : c'est bien le cas de mon ami, autrefois un catholique ardent, professeur de séminaire. La question maudite de la théodicée, la souffrance des êtres vivants bien avant l'apparition de l'homme - et sa sensibilité naturelle pour tout être souffrant à partir d'un petit chat malade qu'il sauve au risque de sa propre santé, des enfants difficiles, des femmes désespérées... N'est-ce pas un vrai amour ? Et comment peut-on l'aider à retrouver le Dieu qu'il a perdu ? Oui, je me répète votre dernière phrase, Monsieur l'Abbé : Expertus potest credere. Je demandais mon ami, s'il avait eu cette expérience. " Mais non, m'a-t-il répondu, et celle que j'ai eue, je pourrais l'expliquer D'UNE AUTRE MANIÈRE. "

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    1. Je suis désolé mais il n'y a pas d'amour dans ce que vous décrivez. C'est de l'hystérie.
      Bel exemple de ce qui se passe quand on attribut le primat à la Charité.
      Charité qui ne tarde pas à être profanée comme l'explique si bien un grand ami de l'Abbé...et que j'aimerais bien entendre comme invité à Radio Courtoisie!

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    2. Excusez-moi, je n'avais pas l'intention de décrire mon ami en détail, mais... Je ne crois pas qu'un homme qui fait des adolescents difficiles retrouver la société ou des femmes d'un certain âge (vraiment hystériques parfois) se ressentir belles, fortes, capables de vivre, soit lui-même hystérique. Il est trop facile de déclarer toute charité hors de l’Église une non-charité (si je comprends bien votre pensée). Quant à l'amour de Dieu, la souffrance est toujours la souffrance, vous ne trouvez pas ?

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    3. @Ana

      "retrouver la société"? La belle affaire

      "belles, fortes, capables de vivre"? Pourquoi faire ?

      Et que vont-ils retrouver dans la société ces "adolescents difficiles" ? Ils vont devenir "normaux" comme "notre président" tristement "normal" ?
      Je crains que vous ne preniez votre ami , et qu'il ne se prenne lui-même, pour le sauveur à défaut de croire en un Sauveur.

      Votre ami et vous même semblez très tributaire de l'air du temps et de la doxa ou vulgate scientifico-culturelle-médiatique actuelle qui a fait des ravages dans l"Eglise , les séminaires et les ex prof de séminaires....Ils descendent le fleuve....à la plus grande joie des publicitaires et vendeurs d'illusions

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    4. Excusez-moi, s'il vous plait, il est possible que mon français soit trop imparfait : je ne suis pas Française. Mais non, bien sûr, mon ami ne se prend pas pour un sauveur ))) En parlant des enfants difficiles, je veux dire, qu'ils retrouvent 1) leur famille, 2) leur école, et qu'ils évitent ainsi des compagnies des toxicomanes et des violeurs. Quant à l'air dont nous semblons être influencés, chez nous, le climat diffère un peu du vôtre : chez nous, il est normal de croire ou de ne pas croire sans poser de questions. Les gens qui lisent et posent des questions deviennent catholiques... ou luthériens. Lui, il était catholique. Il a commencé à réfléchir (comme il dit, "j'ai osé de mener la pensé jusqu'à la fin"), et voilà. J'admets volontiers qu'il y a de l'orgueil dans tout cela, mais ce n'est pas la manque d'amour qui a causé cette démarche. J'ai eu de la chance : j'avais mes petites expériences, et cela m'a empêchée de céder à ces problèmes. Mais lui, il n'avait que son intellect et il était audacieux et sincère devant les autres et devant soi-même (même s'il suppose qu'il se trompe). La persuasion têtue d'un témoin de Jéhovah n'est pas la modèle de la foi.

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  6. Toucher la charité n'est pas prendre , ni comprendre la trinité.Dieu est incompréhensible,si non, nous le prenons pour une idole.La possession est diabolique,elle nous fait prendre une idole pour Dieu ,elle est de l'ordre de l'avoir et non pas de l'etre, la charité est un don que l'on ne possède pas,Maitre Eckhart disait que la deité de Dieu est néant, c'est a dire qu'on ne peut posséder, mais qu'on peut toucher parce que on est toucher.

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  7. Voici ce que disait Marie-Noel au sujet de Montherlant:
    "Peut-être sa nature exceptionnelle ne fut-elle pas bien comprise. (par l'abbé Petit de Julleville,grand éducateur à Ste Croix)...Je crois que Montherlant est de l'espèce d'étoffe dont Dieu fait parfois Augustin, Rancé, le père de Foucauld. Dieu attend au tournant l'Homme de Désir...Je prie pour lui, il a une rude montée à faire avec sa croix..."(in Notes intimes p98,Stock)

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  8. Vu de notre point de vue de chrétien, l’athéisme apparaît comme une jouissance du vide. Nous savons en effet où se situe, « l’être » et où se situe le « néant » Mais du point de vue de celui qui nie, la perspective est toute autre. Il trouve de « l’être » dans le désir. Il est en érection mentale perpétuelle. Inassouvi, le désir a pour lui, valeur d’infini. Il a bien conscience de son manque à « être », de sa finitude, mais il divinise sa plainte, son désir d’ « être ».
    « Qui touche la Charité, touche la Trinité ». Cela est évident car c’est l’unique manière de saisir Dieu, en l’aimant et en aimant les autres (toute la création) et en renonçant à soi-même. Il n’y en a pas d’autre manière d’appréhender Dieu !
    En réponse à tous ceux qui prônent une religion civique et une morale uniquement tirée des droits de l’homme, pour que toute vertu soit vertu (théologale ou cardinale), il faut justement que dans chacune de ces vertus, il y ait la charité. C’est ce que nous dit Saint Aelred de Rievaulx (1110-1167) : « ... Mais la charité - qui doit se trouver dans toutes les vertus pour qu'elles soient des vertus - est par elle-même, d'une manière toute spéciale, le repos du fatigué, la demeure du voyageur, la pleine lumière pour celui qui parvient au but et la couronne parfaite de celui qui remporte la victoire. » La Charité n’est pas seulement une vertu théologale séparée des autres, elle est la sève qui fait vivre toute la vie religieuse et morale. Je n’ai pas trouvé de meilleur commentaire de St Paul (1Co 13) qu’on appelle « hymne à la charité ».
    C’est pourquoi dire que la charité est un désir, m’embête bien. Je dirais plutôt que c’est un anti-désir.
    Benoîte

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  9. C'est un méta-désir ou un choix métaphysique une "source scellée" qu(il faut desceller.

    C'est Dieu lui même , l'alpha et l'omega ,origine et fin de tout ce qui est et de tout désir mais que nous humains , capax Dei, devons choisir plutôt que nos désirs immédiats

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  10. Je viens de parcourir un savant ouvrage récent consacré à l'enseignement catholique et je n'ai rien trouvé sur ces établissements scolaires. Il y avait une petite allusion à un cardinal Petit de Julleville. Est-ce un parent ?

    Est-ce que quelqu'un pourrait éclaire ma lantern ? Please.

    Merci bien pour la connaissance de ces deux grands écrivains que furent Mmontherlant et Aragon.

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  11. Non c'est le même. Voir WIKIPEDIA.

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  12. C'est toujours un plaisir de voir des gens parler de l'athéisme dans leur langage et leurs catégories de croyants, et utiliser une seule personne (pourquoi Montherlant?) pour critiquer implicitement tant d'autres qui n'ont avec lui presqu'aucun rapport. Il y a sans doute autant d'athéismes que d'athées; pourquoi s'épuiser à tenter de cerner un phénomène qui vous échappe, si j'ose dire, par construction - et a fortiori si vous vous limitez à Pascal pour essayer de le comprendre? Tâchez donc pour une fois de chercher avec sincérité, si vraiment cela vous intéresse, ce que peuvent être pour un athée la paix intérieure, l'exigence vis-à-vis de soi-même, la curiosité, l'amour. Tâchez de comprendre quel sens et quelle puissance peut donner à ces notions la conviction que la vie est unique et bornée, et qu'il ne tient qu'à nous de la vivre aussi pleinement que possible - et ce que ça implique dans l'ouverture aux autres et la recherche de leur bonheur. Et si vous y parvenez, surtout n'en parlez pas, ne généralisez pas: il y a autant d'athéismes que d'athées... mais au moins, cela vous évitera de dire des bêtises.

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  13. C'est ça Ajax !

    Le verbe un peu moins haut s'il vous plait, si vous voulez discuter . Si vous voulez monologuer pour avoir raison tout seul et bien allez y tout seul !
    Vous connaissez la vane ? Tu veux te battre ? Et bien va dehors commence tout seul et je te rejoins ! Vous commencer pour vous envoyer des baffes tout seul ou bien vous tirer dans le pied !
    C'est ce que vous faites !

    Ceci dit , au risque de vous contrarier ,
    1/ En tant que chrétien, catholique et mono-théiste, croyant au Dieu unique de Jésus-Christ et des philosophes grecs comme Aristote et Plotin..., la vie est unique et non bornée c'est ce qui lui donne toute sa valeur, son poids....d'éternité.
    Vous ne m'empécherez pas de penser que si Dieu n'existe pas tout est permis , comme l'affirmait Dostoievsky, dans une vie "bornée" qui n'a pas de sens où il faut profiter le plus possible et le plus vite possible des êtres et des choses avant d'en finir !
    Ne vous et ne nous racontez pas d'histoires ou de fables quand nous avons sous les yeux le spectacle de sociétés occidentales gangrenées par un athéisme théorique ou pratique où règnent l'individualisme , le communautarisme, la violence économique , psychique et physique avec une inculture hallucinante et où menace la guerre civile inter communautaire à l'intérieur et la guerre à l'extérieur .
    Les idéologies athées des 19° et 20° siècles qui nous promettaient le bonheur pour demain n'ont laissé que ruines fumantes et désolations...

    J'aime bien votre conclusion "surtout n'en parlez pas...il y a autant d'athéismes que d'athées" !!
    Excellent monsieur le nominaliste qui s'ignore ! Donc "athée" est un mot qui ne veut rien dire et qui n'aurait pas de sens ....Si c'est ce que vous pensez, si on peut parler de pensée dans votre cas , ne parlez pas !
    Si les mots n'ont pas de sens faites mieux que les "cyniques" grecs(qui parlaient qd même) grognez , rotez , pétez, faites des bruits...Vous seriez cohérent ainsi

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    1. Bien évidemment je suis un nominaliste on ne peut plus conscient de l'être, et en l'occurrence j'utilise "athée" dans son sens étymologique, qui est également à ma connaissance son sens courant, et qui signifie "sans dieu" (mais vous le savez, j'espère). "Sans dieu" - et rien de plus: par exemple, "athée" ne signifie pas "stalinien" ni "Montherlant" ni...abrégeons.

      Je me permets en outre de vous faire remarquer que "si dieu n'existe pas tout est permis" n'est en aucun cas un argument tendant à prouver l'existence de dieu.

      Pour le reste, je vous laisse le dernier mot sur tout ce qui concerne les flatulences.

      Ajax

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  14. Bigre vous n'y allez pas de main morte, et sans être bégueule, je pense que le webmestre aurait pu censurer ces propos aussi indécents que déplaisants. Ce qui est curieux dans ce blog, c'est que l'on censure des propos hostiles à la messe en latin mais qu'on laisse passer des propos grossiers lorsque l'auteur est intégriste. Curieuse conception de la décence, de la courtoisie et du christianisme.

    Ceci dit la société actuelle n'est pas athée, elle est agnostique, ce qui est plus grave.

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  15. Pauvre anonyme , vous vous effrayez de mots pris isolément sans sembler en saisir le sens...
    C'est sans doute le problème de nombre de traditionalistes avec un attachement crispé à la forme plus qu'au fond.

    J'évoque là succintement ce que faisait Diogène le cynique dans son tonneau où , cohérent avec lui même , il vivait comme un "chien"

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  16. D'autre part , monsieur l'anonyme , je considère en l'état actuel de l'inculture ordinaire , le mot "intégriste" que vous utilisez comme insultant .
    En tous cas il est souvent utilisé comme tel par nombre de bien-pensants satisfaits et persuadés d'être dans le camp du bien.

    Mais en l'occurrence cela m'est complètement égal et je relève simplement votre absence d'argument. C'est affligeant mais révélateur.

    Dans un échange plus intéressant on pourrait développer le lien qui existe entre nominalisme , relativisme et cynisme...

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    1. Ce qui est singulier c'est que les intégristes s'appellent eux mêmes intégristes. Je ne vois pas où se trouve l'insulte, c'est un simple constat. J'appelle sot : un sot et intégriste : un intégriste.

      Je signale au passage aux internaute qu'i y a une commnue en France qui s'appelle "Athée".

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    2. Mais fort bien l'ane onyme , tel lapalisse vous prétendez appeler sot un sot ou intégriste un intégriste .
      Cela laisse supposer que vous êtes expert en ces matières de sottise et d'intégrisme.
      Comme le propre du sot et d'ignorer sa sottise et d'être sans arguments , il semblerait que vous remplissiez parfaitement ces critères.

      De plus "vous ne voyez pas où se trouve l'insulte" . C'est donc que vous avez la vue basse et le front bas ou êtes de mauvaise foi ou les 2 ci-dessus car vous semblez amalgamer "sottise" et "intégrisme" tout en prétendant ne pas donner dans l'insulte et être, en même temps, dans le camp du bien des vaticanodeuistes tenants d'une nouvelle utopie qui n'a qu'un lointain rapport avec le christianisme catholique .

      Je dois dire que vous m'intéressez comme spécimen et suis très heureux de vous entendre développer votre argumentaire.

      Bon, à propos, les cyniques grecs cela vous parle ?
      C'est l'horizon des relativistes "chrétiens"(à la nouvelle mode) ou non . Eux n'étaient pas bégueules

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  17. C'est bien mon avis. Quelle tristesse que de voir des gens se défouler ainsi en public et de manière courageusement anonyme. Il y a des sites spécialisés pour ce genre d'éructations.

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  18. On m'a appris dans ma jeunese qu'il y a des mots malséants qu'il faut s'abstenir de prononcer ou d'écrire.

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