Tout à l'heure, long coup de fil avec mes parents, Rennais aujourd'hui. Mon père me dit son pessimisme quant au maintien de l'Institut du Christ Roi dans cette Ville, malgré une communauté très florissante. L'évêque avait donné deux ans à l'ICRSP... Fin de ce mandat à la Rentrée prochaine. Et peut-être (c'est en tout cas ce qu'il craint), fin des haricots rennais de l'ICRSP... Un prêtre du diocèse est en train d'apprendre la messe traditionnelle à Fontgombault. Est-ce à dire qu'il remplacera l'abbé Cristofoli ?
Je profite de ces craintes paternelles pour vous exposer les miennes.
Nous nous focalisons sur la liturgie, c'est une bonne chose. L'instruction Universae Ecclesiae a gravé dans le marbre du "magistère pontifical" les acquis du combat traditionaliste, recueillis dans la Lettre apostolique Summorum pontificum. Il était impensable que l'Eglise survive en décrétant interdit tout ce qu'elle possédait de plus sacré : la forme ancestrale latine du rite de la Messe, codifié (et non inventé) par saint Pie V à la fin du XVIème siècle.
C'est important parce que cette Liturgie contient, à travers l'atmosphère, les signes, les gestes et les paroles qu'elle manifeste, comme l'esprit du christianisme authentique, esprit de religion, esprit d'adoration, de propitiation et en un mot : d'humilité. L’Église n'aurait pas pu survivre à la perte irrémédiable du rite latin traditionnel. Non pas que le rite latin rénové ne soit pas légitime. Mais le fait d'imposer une dialectique entre les deux rites, au bénéfice du nouveau, était simplement mortifère pour l’Église et amenait à créer des différences entre les deux rites, en éloignant toujours plus, dans la pratique, le nouveau de cet esprit du christianisme que j'évoquais à l'instant - qui est, comme dit Bérulle, l'esprit du Christ "religieux de Dieu".
J'espère que l'on peut parler de tout cela au passé.
Reste la question fondamentale de la liberté du chrétien et de son rapport à la vérité dogmatique enseignée infailliblement par l'Eglise.
Le Concile, parce que l'on a monté en épingle certaines de ses formules, a pu apparaître comme l'apologie de l'individualisme religieux. Je crois que le paragraphe 3 de Dignitatis humanae est emblématique de cet individualisme. Les vérités religieuses, objet de "recherche", de "discussion" d'"échange" (trois mots utilisés dans e assage que je viens de citer) apparaissent largement comme optionnelles... Je suis allé au catéchisme à une époque où les prêtres se disaient couramment "en recherche". Je ne comprenais pas très bien ce que cela voulait dire. Il me semble maintenant que cela consiste à considérer le christianisme juste comme une sagesse, qu'il faut "approfondir" "redécouvrir", "adapter à la sensibilité de chacun" etc. Souvenez vous de la campagne d'affichage pour les catéchisme : des gamins en spéléo qui "cherchent des pistes" (c'était le slogan). On est toujours dans le christianisme comme sagesse ou comme philosophie.
Or le christianisme n'est pas une sagesse qui nous apprendrait : "Deviens ce que tu es". C'est une vérité transformante, qui nous aide à nous dépasser nous-même. Encore faut-il pour cela qu'elle soit reçue telle qu'elle est et que sa vérité s'impose à notre liberté.
Jean-Paul II avait beaucoup réfléchi aux rapports entre liberté et vérité. l'une des chances de sa béatification, c'est justement de nous permettre de ressortir cette question, autour de laquelle tournent plus ou moins les grandes encycliques de la deuxième décennie du Pontificat : Centesimus annus en 91, Veritatis splendor, la bien nommée en 93 et Evangelium vitae (heureux thème du pèlerinage de Chartres cette année).
On peut très bien célébrer l'ancienne liturgie sans prendre conscience de ce primat de la vérité (et donc comme je le disais de l'humilité) sur la liberté individuelle. Cela donne une certaine esthétique,c'est vrai, comme toujours avec l'ancienne liturgie. Mais la pure esthétique (Kierkegaard nous en a prévenu) restera toujours fondamentalement inefficace dans l'ordre spirituel. Disproportionnée. Bref il faut revenir aux fondamentaux de la théologie pour que la liturgie produise son fruit. Je crains que la marginalisation des Instituts ED que l'on voit trop souvent se produire ici et là ne signifie un refus obscur de la charge théologique du combat liturgique.
Comment éviter un tel "oubli" ? En présentant de la manière la plus simple possible, la plus universelle et la moins polémique (mais pas la moins profonde) la signification RELIGIEUSE (et pas seulement esthétique) du Geste liturgique, en montrant l'accord entre le fond théologique et la forme liturgique extraordinaire. Mais peut-être aussi en abordant plus souvent, comme le font les deux derniers Pontifes, les ravages de l'individualisme et du libertarisme à outrance, qui dans l'ordre religieux, aboutit à présenter au monde une foi purement optionnelle.
Je profite de ces craintes paternelles pour vous exposer les miennes.
Nous nous focalisons sur la liturgie, c'est une bonne chose. L'instruction Universae Ecclesiae a gravé dans le marbre du "magistère pontifical" les acquis du combat traditionaliste, recueillis dans la Lettre apostolique Summorum pontificum. Il était impensable que l'Eglise survive en décrétant interdit tout ce qu'elle possédait de plus sacré : la forme ancestrale latine du rite de la Messe, codifié (et non inventé) par saint Pie V à la fin du XVIème siècle.
C'est important parce que cette Liturgie contient, à travers l'atmosphère, les signes, les gestes et les paroles qu'elle manifeste, comme l'esprit du christianisme authentique, esprit de religion, esprit d'adoration, de propitiation et en un mot : d'humilité. L’Église n'aurait pas pu survivre à la perte irrémédiable du rite latin traditionnel. Non pas que le rite latin rénové ne soit pas légitime. Mais le fait d'imposer une dialectique entre les deux rites, au bénéfice du nouveau, était simplement mortifère pour l’Église et amenait à créer des différences entre les deux rites, en éloignant toujours plus, dans la pratique, le nouveau de cet esprit du christianisme que j'évoquais à l'instant - qui est, comme dit Bérulle, l'esprit du Christ "religieux de Dieu".
J'espère que l'on peut parler de tout cela au passé.
Reste la question fondamentale de la liberté du chrétien et de son rapport à la vérité dogmatique enseignée infailliblement par l'Eglise.
Le Concile, parce que l'on a monté en épingle certaines de ses formules, a pu apparaître comme l'apologie de l'individualisme religieux. Je crois que le paragraphe 3 de Dignitatis humanae est emblématique de cet individualisme. Les vérités religieuses, objet de "recherche", de "discussion" d'"échange" (trois mots utilisés dans e assage que je viens de citer) apparaissent largement comme optionnelles... Je suis allé au catéchisme à une époque où les prêtres se disaient couramment "en recherche". Je ne comprenais pas très bien ce que cela voulait dire. Il me semble maintenant que cela consiste à considérer le christianisme juste comme une sagesse, qu'il faut "approfondir" "redécouvrir", "adapter à la sensibilité de chacun" etc. Souvenez vous de la campagne d'affichage pour les catéchisme : des gamins en spéléo qui "cherchent des pistes" (c'était le slogan). On est toujours dans le christianisme comme sagesse ou comme philosophie.
Or le christianisme n'est pas une sagesse qui nous apprendrait : "Deviens ce que tu es". C'est une vérité transformante, qui nous aide à nous dépasser nous-même. Encore faut-il pour cela qu'elle soit reçue telle qu'elle est et que sa vérité s'impose à notre liberté.
Jean-Paul II avait beaucoup réfléchi aux rapports entre liberté et vérité. l'une des chances de sa béatification, c'est justement de nous permettre de ressortir cette question, autour de laquelle tournent plus ou moins les grandes encycliques de la deuxième décennie du Pontificat : Centesimus annus en 91, Veritatis splendor, la bien nommée en 93 et Evangelium vitae (heureux thème du pèlerinage de Chartres cette année).
On peut très bien célébrer l'ancienne liturgie sans prendre conscience de ce primat de la vérité (et donc comme je le disais de l'humilité) sur la liberté individuelle. Cela donne une certaine esthétique,c'est vrai, comme toujours avec l'ancienne liturgie. Mais la pure esthétique (Kierkegaard nous en a prévenu) restera toujours fondamentalement inefficace dans l'ordre spirituel. Disproportionnée. Bref il faut revenir aux fondamentaux de la théologie pour que la liturgie produise son fruit. Je crains que la marginalisation des Instituts ED que l'on voit trop souvent se produire ici et là ne signifie un refus obscur de la charge théologique du combat liturgique.
Comment éviter un tel "oubli" ? En présentant de la manière la plus simple possible, la plus universelle et la moins polémique (mais pas la moins profonde) la signification RELIGIEUSE (et pas seulement esthétique) du Geste liturgique, en montrant l'accord entre le fond théologique et la forme liturgique extraordinaire. Mais peut-être aussi en abordant plus souvent, comme le font les deux derniers Pontifes, les ravages de l'individualisme et du libertarisme à outrance, qui dans l'ordre religieux, aboutit à présenter au monde une foi purement optionnelle.
l'Eglise survivra quoiqu'il se passe( promesse de Notre Seigneur). Reste à savoir sous quelle forme.
RépondreSupprimer1. sa forme triomphante( la seule que je tiens à appeler "extraordinaire"): que de millions d'âmes déjà engrangées en attente de la Résurrection de leur chair pour voir Dieu "corps compris" (même différence qu'entre la communion spirituelle et la communion sacramentelle)
2. la souffrante, qui, dans un temps inconnu de nous rejoindra la triomphante.
Nous avons là des acquis fondamentaux (irréversibles, contrairement à tous les autres acquis Zumains) auxquels nous pouvons accrocher notre foi et notre chemin de sainteté ...: La Trinité, Marie, les anges, les saints , les bientôt délivrés du purgatoire...
Ce n'est pas petit . Quel nombre! et surtout quelle qualité ( mais Dieu, Lui, ne méprise pas la quantité comme les élitistes "conciliaires"(????quézaco) qui ont fait la grande EPuratiion des Ames , bien pire que celle des gaullistes, bolchéviques et démocrates "chrétiens" "français" des années 1945... (Libération, nous dit-on !!! autant que celle du torchon anarcho-financier du même vocable)
Reste la "militante"???
Là, c'est l'obscurité !!!
d'abord bien des soldats ont été soit découragés de faire la guerre ( combat spirituel, Djihad intérieur) ou de convertir ...
(logique: se convertir et convertir, deux faces de la même médaille)
ensuite beaucoup d 'autres ont été détournés des tâches prioritaires pour se faire les supplétifs des combats Zumains ( démocratie, dignité, droits, liberté, tolérance, socialisme, communimse, dialogues multiples etc ) Détournés au sens situationniste: c 'est à dire qu'il ne reste plus rien de la chose détournée une fois le détournement accompli..
(dans la Transsubstantiation, ce miraculeux détournement par Dieu, il reste , je crois , les "espèces", les accidents...... Mais Dieu répugne au néant. Logique, quand on est l'Acte d'Etre.)
Enfin, dans le concret de ma vie, je ne vois personne à des kilomètres à la ronde , à qui demander de m'aider à devenir le saint que Dieu veut que je sois (ni plus...prétention ...ni moins..Lâcheté) ...
alors j'ai pris l'option des catacombes( que j'espère non prophétique !!!) et terré dans mon "réduit" , mon "bunker" ...j'accumule de quoi bâtir un jour une paroisse catholique, si Dieu veut ...( doctrine, vies de saints, ouvrages de la tradition bimillénaire, homélies, apparitions de la Vierge Marie etc )))...
Et quand j'ai un" tract" de bonne qualité (????) je vais le distribuer autour de moi ou l'affiche sur ma porte ou le donne de la main à la main (transports, jardin public, amis, famille etc )...
En espérant que la solitude un jour cessera !
Si quelqu'un veut profiter de ce travail, c'est "duplicable"...
Supplions
Nous avons pu observer combien le culte extérieur parle au peuple des fidèles, quand Vatican 11 commençait certains changements, opportuns, même louables peut-être ? Mais comme c'est délicat, dans ce qui touche aux choses divines, de supprimer des pratiques que des siècles de ferveur ont gravés dans le coeur de l'homme croyant.- Mais depuis ces premiers essais, que d'apostasies n'at-on pas commis ?
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerPetite remarque : Cristofoli et non Christofoli!
Bonjour, il y a une petite erreur dans le nom de famille du chanoine.
RépondreSupprimerC'est CRistofoli sans "h"
Merci.
Rassurez-vous ces questions de rite ne sontpas lapriorité des évêques qui ont bien d'autres dossiers à gérer.
RépondreSupprimerCeci dit dans leur ensmble les catholiques rejettent le retour du rite ancien et surtout du latin qui est vraiment par trop anachronique. Les fidèles veulent comprende la parole de Dieu.
Ne soyez pas autistes : ayez le courage de regarder le choses en face.
Cher anonyme de 19H06! nous connaissons la charge qui pèse sur les épaules de nos évêques et il n'est pas question d'en rajouter encore. Au contraire même! l'idée, comme ça, ce serait que les fidèles qui préfèrent la forme extraordinaire du rite puissent en bénéficier comme d'une chose normale. Et que les prêtres qui souhaitent la dire n'aient pas besoin de se positionner par rapport à l'évêque (que va-t-il dire? avec quelles conséquences?)
RépondreSupprimerEnsuite vous nous dites que dans leur ensemble les catholiques rejettent... rejettent quoi? Dans leur ensemble les catholiques ne souhaitent pas assister à une messe selon un rite malabar, ou ruthène, ou assyrien, ou tridentin? Et alors? Personne ne demande qu'ils y assistent. La question n'est pas celle-la. La question est: ceux qui veulent assister à la messe selon le rite malabar (ou ruthène ou assyrien ou tridentin) peuvent-ils le faire?
Les deux points se rejoignent: au fond, que les évêques lâchent un peu l'affaire liturgique, qu'ils fassent confiance à ceux de leurs ouailles qui souhaitent assister à la messe sous une forme reconnue et vénérable. Cela épargnera quelques migraines (à certains évêques), quelques frustrations (à certains fidèles), quelques déceptions (à certains prêtres).
Certes l'affaire du latin n'est pas rien, mais ce n'est pas tout le problème. On pourrait dire que le rite "moderne" a été l'occasion du pire et surtout du plus médiocre. La liberté n'est pas une chose à donner à tout le monde. Un prètre n'est pas forcément un artiste, un homme de goût ou un novateur de génie. Alors qu'avec le rite dit "extraordinaire", c'est à dire le rite de nos parents, le cadre ne permettait aucune fantaisie. On ne va pas à la messe pour découvrir des invensions parfois douteuses de prêtres même de bonne volonté. Il ne s'agit pas d'un spectacle à renouveler sans cesse. Alors, s'il n'y avait que le mauvais goût, passerait encore, mais il y a des fautes liturgiques, symboliques et qui sait parfois pire encore. C'est la porte ouverte aux dérives. En tout cas, la médiocrité du rite ordinaire n'a pas permis de remplir les églises, mais a contribué à les vider. Par ailleurs, il n'y a pas que la liturgie qui a été touchée. Les prières aussi ! Quoi de plus mal tourné voire éronné que le "ne nous soumet pas à la tentation !" Pourquoi ne pas avoir gardé " Ne nous laisse pas succomber à la tentation" ? Le sens n'est pas le même. Et cette évidence n'est toujours pas admise après tant de décénies!
RépondreSupprimerClément d'Aubier (pseudo de rêverie)
Pourquoi concserver le rite de nos grands-parents ? Est-ce que nous nous haillons comme eux ? La messe doit évoluer. Ce que j'ai dans le rite normal c'est la participation des fidèles par les chants compréhensibles par tous, les lectures et la distribution de la communion par les fidèles. La messe est vraiment l'affaire de tout le monde et non pas seulement du prêtre.
RépondreSupprimercher anonyme de 23H30 - je ne sais pas ce qu'est le rite "normal" dont vous nous parlez. Il y a actuellement deux formes du rite latin: la forme ordinaire et la forme extraordinaire. Vous qualifiez cette forme extraordinaire de "rite de nos grands-parents" et vous demandez si on s'habille comme eux?
RépondreSupprimerA mon tour de vous demander: reconnaissez-vous le droit à des catholiques de s'habiller comme leurs grands parents? Est-ce que vous reconnaissez aux catholiques le droit de s'habiller comme ils l'entendent (dans le sens de votre métaphore, bien sûr), ou pas?
Anonyme a dit…
RépondreSupprimer"Rassurez-vous ces questions de rite ne sont pas la priorité des évêques qui ont bien d'autres dossiers à gérer."
RÉP:
Effectivement c'est ce qui n'est pas rassurant !
Ils s'occupent peut-être de tout, sauf de l'essentiel.
En s'occupant du rite en premier, (qui est l'expression de la foi), je suis pas certains qu'ils s'aperçoivent que les autres dossiers secondaires à traiter dont ils perdent leur temps et énergie seraient inexistents.
Pour moi le rite "normal" c'est celui de Paul VI et j'en ai plus que marre de cette forme extraodinaire que l'on voudrait nous faire passer comme équivalente à celle de 1969.
RépondreSupprimerLe rite tridentin n'est qu'une concession, un os à ronger donné aux intégristes de tous poils dans l'espoir, bien vain, de les amener à resipiscence.
Le rite normal c'est le rite ordinaire c'est à dire le rite de droit commun employé ordinairement.
A l'heure actuelle les partisans du rite ancien (et non accepté) sont en train de créer des tensions pénibles dans nos paroisses jadis si paisibles.
D'autre part il ne me semble pas que le rite de Paul VI puisse être qualifié de rite latin puisqu'il est obligatoirement célébré dans les langues nationales pour permettre au peuple de Dieu de bien comprendre la messe qui n'est plus réservée à une élite de pseudo-latinistes qui seraient bien incapables de réciter la première déclinaison ou d'expliquer ce qu'est le supin.
Quand mes enfants me parlent ils s'expriment en français. En tant que fils de Dieu je ne vais donc pas parler à mon "Papa qui est dans les cieux" dans une langue étrangère que je ne parle pas, mais dans ma langue maternelle. C'est aussi simple que cela.
NB Dans les pays non-francophones ou non-anglophones je trouve toujours une communauté anglo-américaine accueillante.
Bonjour, anonyme posteur de 19H16, je ne sais pas trop que penser de votre message. La bonne nouvelle? il illustre que ce blog n'est pas lu par les seuls "tradis". La mauvaise nouvelle? que vous semblez tout fâché, jusqu'à être un piètre avocat de la cause qui semble être la vôtre, dans une querelle dont vous semblez -ici- le seul protagoniste.
RépondreSupprimerSi mauvais, d'ailleurs, que je me suis dit que si vous n'existiez pas, il aurait fallu vous inventer. Et puis l'instant suivant je me suis dit qu'au fond, vous étiez peut-être inventé? C'est un peu gros!
Tout de même, rien n'est sûr - vous pouvez me contacter (vous vous reconnaitrez aisément) via le lien [contact] que l'on trouve en haut à droite de chaque page de ce blog. A défaut, et puisque ce n'est drôle qu'un temps, je ne passerai plus vos messages.
Au Webmestre :
RépondreSupprimerQui se sent morveux se mouche.
J'espère que vous effacerez tous les messages tombant sous le coup des lois tant de la République française que de l'Eglise catholique.
A bon entendeur salut !
A l'anonyme de 19H55: si des messages tombent sous le coup de la loi, vous voudrez bien les signaler aux autorités compétentes.
RépondreSupprimerPour le reste, vous me semblez... bien querelleur. Je vous ai indiqué le moyen que nous entrions directement en contact, afin de m'assurer que vous n'êtes pas un troll. La technique est bien connue, qui consiste à proclamer qu'on soutient telle cause, puis à la déconsidérer en tenant des propos grotesques.
Prenez contact avec moi, ou allez voir ailleurs.
Merci de prier pour que la décision prise vendredi dernier par Mgr. S et d'O soit la bonne pour le diocèse et l'ICRSP.
RépondreSupprimerD'autre part, deux autres paroisses (NOM) sont sur la sellette. Facile à deviner, chercher deux paroisses qui sont pleines à craquer à chaque messe, avec un charisme fort des curés concernés, des activités de paroisse débordantes...et vous trouverez les deux curés qui risquent d'aller voir s'il fait beau à Ker-Trifoui-lesoies.
C'est bien triste et j'ai de la peine à voir des évêques (les deux!) souhaiter le départ de curé classique et d'abbé tradi. J'ai l'impression que ce n'est pas une histoire de latin, de soutane, de caté, de servants de messe.... Ils recrutent du monde (vocation et fidèles), disent haut et fort ce que le pape veut, et ça dérange.
Si quelqu'un pouvait m'éclairer?
Un rennais triste de cette situation.
je voudrais juste signaler au monsieur de 19h16 que ce qu'il nomme "un os à ronger", c'est le missel que le Bienheureux Jean XXIII a donné à l'Eglise
RépondreSupprimerD'où l'intérêt de ne pas se fâcher avec la FSSPX. Certes, il y a moins de chanoines, moins de soutanes bleues, c'est moins "smells and bells", mais il y a une stabilité, une rectitude et une profondeur doctrinales qu'on ne trouve nulle part ailleurs.
RépondreSupprimerMingdi, et bien dit
RépondreSupprimerA propos de Rennes, de décisions qui seraient prises, de Chanoine qui serait "jeté", de .....
RépondreSupprimerIl s'agit dabord de 'ressenti' de parents d'un prêtre, qui racontent à celui-ci qu'ils ont l'impression que ....., sans forcément le charger de déballer cela sur la place publique, en imaginant que ce faisant, ce qui peut être appelé une INFORMATION, serait diffusé, diffusé encore, diffusé encore plus, mal compris amplifié déformé .....
Comment rattraper cela ?????
Je connais personnellement quelqu'un qui a assisté à cette Messe à Rennes citée par les parents de l'Abbé de Tanouarn. Cette personne m'a dit que dans ses annonces, le Chanoine Cristofoli a fait part à ses paroissiens qu'il avait eu dans la semaine un entretien plutôt cordial avec Monseigneur Souchu (Evêque Auxiliaire), que
cet entretien portait sur l'Apostolat et particulièrement de la vie à la Chapelle Saint-François de Rennes, que Mgr Souchu a parut très intéressé par le 'bilan' présenté par Mr le Chanoine Cristofoli. Le Chanoine a également dit qu’aucune décision n'était prise pour les années à venir, et que cela serait débattu sans doute prochainement par le conseil 'épiscopal' !
Il a ajouté que afin d'éviter toute propagation de rumeurs et autres bruits souvent mal compris, il n'y avait qu'une seule solution : ne pas en parler ! ! ! ! !
Ne cherchons pas pour cette ville de Rennes comme ailleurs, à commenter les décisions de nos Evêques, et encore moins quand elles ne sont pas prises !
Des commentaires comme ceux écrits plus haut servent-ils notre cause ????? je crois, bien au contraire !
Le sujet est donc clos, et ne mérite donc aucun commentaire dans l’avenir !
Un dicton plein de sagesse dit que s'il est vrai que la parole est d'argent, il est tout aussi vrai que le silence est d'or !
Ubi est Petrus, ubi est Ecclesia !
L'ICRSP est avant tout dans l'Eglise et y restera! A Rennes ou ailleurs, l'ICRSP n'ira pas contre l'Eglise !
Il n'y a pas "d'affaire" à Rennes. Il y a un Evêque (pardon deux) qui, s'ils le jugent nécessaire, prendront une décision, que, sans aucun doute l'ICRSP respectera, dabord par souci d'obéissance.
Cher anonyme, vous écrivez que +le sujet est donc clos+ et vos arguments sont raisonables. Cependant, je vous demande de considérer ceci: Parmi les +îlots+ traditionalistes, certains fonctionnent tranquillement dans leur diocèse. D'autres sont sous le régime de la tolérance précaire. Il y a enfin des cas d'+îlots+ balayés un beau jour... parce que c'est comme ça. De là viennent les inquiétudes que peuvent avoir certains fidèles, qui envisagent de subir le sort que l'on a fait ailleurs à d'autres, et qui bénéficiant des secours spirituels d'un prêtre traditionnel, craignent d'en être privés. Vos arguments se résument, en gros, à prudence, patience, silence. Et enfin à obéissance. Bien. Mais cela n'empêche pas l'inquiétude - le sujet n'est donc pas clos. Tout juste peut-on envisager de ne plus en parler?
RépondreSupprimer#posteur de 09h32: Bien dit! l'ICRSP est dans l'Eglise, l'ICRSP ne quittera pas l'Eglise, au pire c'est juste Rennes que l'ICRSP quittera! Vive l'ICRSP et vie tous les instituts Ecclesia Dei. Reste la question des fidèles... qui restent à Rennes et restent seuls. La perspective les contrarie - on les comprend.
RépondreSupprimerCar enfin: former un diocésain à la forme extraordinaire, c'est une chose tout à fait louable quand c'est pour pallier à l'absence de prêtre dont c'est là la liturgie propre.
Mais former un diocésain à la forme extraordinaire, pour pouvoir se passe des prêtres 'spécialisés', c'est une autre chose, qui est tellement moins sympathique.
Au posteur de 9h32.
RépondreSupprimerLe problème n’est pas avec Mgr Souchu, c'est l'archevêque.
D'autre part, il y a deux paroisses et une chapelle sur la sellette.
Effectivement, il nous faut attendre la décision de l'archevêque.
N.B. il n'est pas dans les habitudes du chanoine de dire en chaire que cela se passe mal avec l'ordinaire du lieu... Il respectera bien évidemment la décision.
l'ANONYME de 9h32 me parait être juste, mais mal compris, mal compris certainement par celui de A3h03. Alors, en plein accord avec 9h32, je me permets d'ajouter quelques mots :
RépondreSupprimerQue chacun s'occupe de sa chacunoire :
que le fidèle prie
que le prêtre prie et célèbre
que l'Evêque prie, célèbre et prenne les décisions.
en fait que chacun fasse son devoir d'état, et ne prenne pas le devoir de prendre 'des grands airs de décisionnéire, de discuteur d'ordre, ne se prenne pas pour quelqu'un d'autre : que le fidèle ne se prenne pas pour le prêtre ou plus pour un Evêque ! L'Evêque est dabord successeur des Apôtres. Une décision prise par un Evêque n'est pas discutable, même sur un blog. Alors, que dire d'une décision pas prise encore ar un Evêque ! ! ! !
La prière est notre force, à nous les fidèles !Ad Jesum per Mariam !
S'il s'agissait d'une autre congrégation, je crois que je réagirais de la même façon - mais puisqu'il s'agit de l'ICRSP d'autant plus - utilisons avec beaucoup de simplicité ce merveilleux saint dont ils font la base de leur spiritualité, Saint François de Sales, et faisons nôtre cette maxime de ce Saint TOUT PAR AMOUR, RIEN PAR FORCE.
Cessons donc ces querelles d'un autre âge, sur tel ou tel Évêque qui a dit ou fait quoi-que ce-soit (alors que celui cité n'a rien dit à ce jour) et évitons d'inventer une suite à une histoire qui n'existe même pas !
Ad Jesum per Mariam.
Jésus lui-même, nous a appris à prier, dabord par la parole en nous apprenant le Notre Père, puis par l'exemple pendant Son agonie au Jardin-des-Oliviers "Père, que ce calice s'éloigne de moi, mais que Votre volonté soit faite, pas la mienne".
Peu de temps après, Il nous a appris que le silence (pendant son 'jugement') était la meilleure solution !
Imitons-Le !
Aux messages précédents:
RépondreSupprimerD'où tenez-vous qu'un prêtre diocésain à Rennes est en train de se former au rite extraordinaire ?
Désolé de décevoir ceux qui se délectent d'histoires croustillantes permettant de pratiquer la charité chrétienne en tappant sur l'autorité de l'Eglise et qui se voient déjà raconter "l'affaire de Rennes" (qui n'existe pas comme il a été dit plus haut) dans les salons avec des trémolos dans la voix et les poings fermés pour montrer la colère, mais il n'y en a pas.
Information, désinformation...
Plutôt que fustiger une décision qui n'a pas été prise, vous feriez mieux de prier le Saint Esprit, ça fera sans nul doute avancer les choses plus efficacement que ces bavasseries dans le vent.
A celui qui réagit aux messages précédents: c'est surprenant! on n'aurait pas le droit, sur un blog ou en live, de faire part de ses inquiétudes? Permettez, mais je fais, moi qui ne suit pas de Rennes, part de mon désarroi. Au regard du sort fait aux tradis dans mon diocèse, je suis en droit de me demander si je suis un catholique de 2nde... ou de 3eme classe? Je ne conteste pas l'autorité de mon évêque ni des curés - je n'en observe pas moins le sens dans lequel s'exerce. Répondre à une famille éplorée qu'il y a un "quota" d'enterrements selon l'ancien rite, et que ce quota est déjà épuisé, c'est... particulier.
RépondreSupprimerAutre message - je trouve contradictoire la double demande: rassurez-vous puisque rien de tel n'arrivera... mais aussi il faudra vous y soumettre. Qu'y a-t-il de vertueux à obéir à une décision qui n'existe pas? Ou encore: pourquoi se rassurer (ou s'inquiéter) puisqu'il suffira de suivre les directives?
Autre message - je suis déçu que sur ce blog on utilise une aussi piètre rhétorique: "se délecter", "bavasseries", "trémolos". Dites simplement ce que vous avez à dire, et votre agacement, et votre désapprobation.
Mais de grace! n'enrôlez pas le Saint Esprit dans votre querelle. Le conseil "vous feriez mieux de prier" suggère que ceux auxquels vous l'adressez ne prient pas ou pas assez. Franchement vous n'en savez rien et moi non plus.
C'est une bonne chose que d’exhorter ses semblables à la prière et de prier soi-même. Mais quand on dit "priez" pour clore le bec au type d'en face, c'est très peu respectueux de ce qu'est la prière et d'à qui elle s'adresse.
De toute manière, prier Dieu n'empêche pas de s’adresser aux hommes. Priez pour guérir, mais allez tout de même voir votre médecin. Priez le Saint Esprit qu'il vous conserve la messe qui vous est chère, mais demandez-le aussi à votre évêque.
Cher anonyme 19h52.
RépondreSupprimerMon message n'était nullement une leçon quant à la prière.
Il n'a d'autre but que de faire cesser ces 'bruis' et autres ragots dignes peut-être de la fin des années 60, mais hors courses aujourd'hui. Je puis vous assurer que (étant de passage aujourd'hui à Rennes) j'ai constaté que l'inquiétude des Fidèles est plus des conséquences de ces bruits envoyés en pâture sur la 'toile' diffusés et donc repris par d'autres sites - Riposte catholique - qui avaient pris cette (fausse) info comme étant une vérité, diffusé de Paroisse en Paroisse sur Rennes et ailleurs.
La prière est une priorité.
Ensuite, s'il y avait une décision qui paraitrait peu en accord avec un texte romain, il resterait aux Fidèles rennais à chercher à établir un contact avec les autorités diocésaines, puis ...
Une chose est certaine, c'est qu'il ne doit pas y avoir de débat sur la place publique quant à une décision qui n'est pas encore prise, à moins qu'il y ait une volonté forte de mécontenter l'Evêque, jusqu'à peut-être l'influencer pour prendre une décision qui concerne les Fidèles rennais.
La phrase "prier Dieu n'empêche pas de s'adresser aux hommes" ne me plait donc pas parce que 1) nous ne sommes pas concernés, 2) on ne s'adresse pas à un Evêque comme on s'adresse à n'importe quel homme, 3) aucune décision n'est encore prise !
Désaprobation : OUI de commenter à longueur de blogs une décision pas encore prise !
Agacement : OUI de ces commentaires qui donc n'on aucune utilité pour notre cause, bien au contraire !
Quant à la prière, elle n'est pas un moyen de 'clore le bec' de qui que ce soit, mais plutôt 1) elle est plus utile, 2) elle empêche de faire ces bavasseries qui nous sont plus néfaste qu'utiles, D'AUTANT PLUS QUAND UNE DéCISION N'EST PAS ENCORE PRISE !
L'Evêque de Rennes saura sans doute s'entourer pour prendre une sage décision, s'il doit en prendre une.
et puis il y a le précédent d'Agen, que je rappelle:
RépondreSupprimer[Perepiscopus] Mal accueilli, l'Institut du Christ-Roi se retire du diocèse d'Agen
Aujourd'hui, dimanche 22 août, le Chanoine Jayr, provincial de France de l'ICRSP est venu annoncer aux fidèles d'Agen de la forme extraordinaire se retirait du diocèse d'Agen, suite à l'accueil déplorable et au climat de suspicion qui s'était installé suite à l'application du Motu Proprio.
En effet, l'évêque d'Agen Mgr Herbreteau a interdit avec fermeté au chanoine Téqui qui dessert la paroisse d'Agen pour célébrer la forme extraordinaire de l'unique rite romain les cours de catéchisme qu'il dispensait avec succès (une trentaine d'enfants), et exige une restriction outrancière de la délivrance des sacrements. Sur le site du diocèse, l'ICRSP n'existe même pas.
L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a donc pris la décision de se retirer, pour mieux agir où il est mieux accueilli.
Cette nouvelle va faire tâche dans le rapport que doivent rendre les évêques pour les 3 ans d'application (ou de non-application) du motu proprio. Elle montre que la France a besoin d'évêques décidés à appliquer Summorum Pontificum autrement qu'avec des mesures restrictives (comme une messe dominicale mensuelle et à 8h30 dans le Brionnais - diocèse d'Autun!).
M l'abbé de Tanoüarn a jeté un sacré pavé dans la mare. Les grenouilles des bénitiers rennais sautent dans tous les sens. Mais, rassurez-vous braves gens. La notion de "groupe stable" vient d'être assouplie. Stable physiquement mais pas psychologiquement, apparemment. D'un autre côté,Mgr Rey n'aura plus le droit d'ordonner des prêtres selon le rite tradi. Et MMgrs Planet et Scherrer continuent leur sale boulot d'empêcher la Frat St Pie X d'honorer la TSV Marie dans ses sanctuaires. On ne veut voir qu'une tête!
RépondreSupprimerLaissez moi vous dire que beaucoup de commentaires et d'articles sont"oiseux"!
RépondreSupprimerLa religion, la vraie, doit se perfectionner mais jamais se transformer, changer et se contredire.Or, tout simplement c'est ce qu'a fait le catholicisme, contrairement aux fausses religions ( islam, boudhisme etc) qui n'ont pas changé leur langue liturgique, leurs rites, leurs vêtements religieux ! En changeant les formes, on change le fonds!
Un jour que j'étais encore enfant ( 10 - 11 ans ?), une dame âgée, à la messe m'avait fait une réflexion : "Pourquoi ne réponds-tu pas au prêtre" (en latin) et j'avais effrontément répondu : "parceque je ne comprends pas"..."Mais la traduction est dans ton missel et le latin ressemble au français, mon petit !"
Depuis, on a perdu le sens du religieux, des gestes et chants antiques, même les prières de la messe chantée le sont sur de nouveaux airs musicaux qui sont fades et laids, qu'on ne retient pas et on ne chante plus d'antienne à la Sainte Vierge, on est devenus à moitié protestants, ça dégoûte beaucoup d'âmes simples et les gens se détournent, les églises sont vides, ce n"'est pas seulement parceque la télé remplace la messe mais parceque la messe ressemble...à la télé que les gens ne font même plus baptiser leurs enfants ! Beau travail, Messieurs les papes et évêques depuis Jean XXIII !
les grenouillent de bénitiers 'sautent' peut-être, mais les phrases 'à l'emporte-pièce' continuent ! Dommage ! le sujet était sérieux ! dommage !
RépondreSupprimer@ Anonyme d'hîer matin, 11h25, de votre remarquable commentaîre, je retiens deux formules percutantes:
RépondreSupprimer- "En changeant les formes, on change le fond"
- "...la télé remplace la messe mais parce que la messe ressemble...à la télé..."
Vous avez dît beaucoup en peu de mots et grâce à vous, j'ai songé à la beauté des édifîces religieux, dans notre pays, peu importe de quelle époque, de leur magnificence ou de leur modestie, ils sont toujours puissamment "inspirés".
Nul doute que la mièvrerie n'y a poînt sa place et confondre la célébration d'une messe, avec un moment sympa. où l'on "partage des valeurs" (humanîstes, bien sûr), est une grave erreur dont nous connaîssons toutes et tous, ici, les ravages, même si la ferveur sincère des participants qui demeurent, n'est pas mîse en cause.
Ce fut sans nul doute, une fausse bonne idée, que de dîminuer la solennité, la gravîté de notre religion, en pensant naïvement qu'elle saurait mieux ainsi attîrer à elle, de nouveaux pratiquants, tandis qu'elle perdait l'essentîel de son peuple chrétien.
Toujours à l'oeuvre cette notion de "démocratisation", si contraîre au sacré. Pour illustrer ce propos, me vient à l'esprît une pancarte! placardée sur la palissade, ceînturant l'église Saint-Sulpîce, Paris, VIè., pendant la campagne de longs travaux, qui lui a d'aîlleurs rendu, il y a peu, sa splendeur: "pendant les travaux, l'église reste ouverte" pouvaît-on y lîre, comme sur la devanture d'un supermarché en réfection, mais dans lequel "le business continue"!