Mardi 11 octobre 2011 - à 20H15 - au Centre Saint Paul, 12 rue Saint Joseph 75002, M° Sentier ou Grands Boulevards - PAF 5€, tarif réduit à 2€ (étudiants, chômeurs, membres du clergé) - Un verre de l'amitié prolonge la conférence.
samedi 8 octobre 2011
Mardi 11 octobre au CSP
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"construire une humanité fraternelle et pacifique"...je croyais que Vatican 2 était derrière nous !
RépondreSupprimerLa nouvelle "ostpolitik "est donc devant ...
Merci pour les futurs "martyrs" ...de la fraternité
(parpaillote-talmudiste-maçonno-islamiste.. enrte autres )
Ah rendez-nous au moins une Foi claire et pure, que le martyre ne nous soit pas volé !
"Humanité fraternelle et pacifique" ?
RépondreSupprimerQuel beau programme ! Une humanité "fraternelle" sans Père ? Sans salut ? Sans Christ ?....
Je n'y crois pas un seul instant ! Promesse publicitaire de charlatans.
Tout à fait d'accord anonyme.Qu'est ce que cela veut dire ?
Ils sont fatigants ces gens, qui sous prétexte que certains mots ont été dévoyés, y sont devenus épidermiquement allergiques. Les hérésies vont toujours par deux, s'entretenant l'une et l'autre, en miroir.
RépondreSupprimerAu lieu de demander pathétiquement ce que cela veut dire, ouvrez un dico, et voyez la définition de ces mots.
C. Helou-Matar est bien obligée, au Liban, de l'envisager ainsi. Il vaut mieux cela que des bains de sang.
RépondreSupprimerOn va y être bien obligés nous aussi, à moins de vivre en camp retranché, toutes armes dehors, par principe.
Mais ce qu'on veut, c'est pouvoir cohabiter tant que c'est possible. Or, pour cohabiter, il faut bien se reconnaître frères...
Cherchez la Paix.
Pensez à saint François, au bienheureux charles de Foucault.
Ça ne veut pas dire renoncer à être soi. Au contraire, cela veut dire se ménager la possibilité de pouvoir encore témoigner, annoncer et tenter de convertir. Si les pays d'héritage chrétien comme le nôtre acceptaient d'être exemplaires, ils intègreraient, convertiraient... hélas, ils ont honte de leur passé (par mauvaise conscience actuelle en fait) et ce faisant, se préparent le pire avenir.
Pour nous, catholiques convaincus, tout en étant vigilants, mettons-nous à l'école des saints qui tout en étant des hommes de Paix et de fraternité universelle, n'en continuent pas moins leur apostolat.
Au sein des paroisses, par ex., par le moyen des écoles chrétiennes (les vraies, bien sûr), en faisant de la politique, etc. etc.
La vigilance ne doit pas être la méfiance, le rejet et encore moins l'injure en pré-supposant que tel homme de bonne volonté -ici, une femme : C.Helou-Matar, est a priori un "charlatan".
C'est à dire... que ça dépend. Si l'on pense qu'il y a d'un côté "eux", et de l'autre côté "nous", alors il vaut mieux se préparer à des tensions.
RépondreSupprimerMais je vois différemment les choses: mon idée est qu'"eux" et "nous" sommes appelés à figurer sur les mêmes arbres généalogiques - nous y sommes appelés par nos enfants, par nos petits enfants, par nos arrières-petits-enfants. Nos enfants, nos arrières-petits-enfants seront de mixed heritage, comme le sont Alain Bashung, Daniel Prévost, Isabelle Adjani, Jacques Villeret, Dany Boon, Arnaud Montebourg ou encore Edith Piaf
Ne serait-ce que pour cette raison, il n'est pas mauvais, effectivement, de dialoguer un peu, de se connaitre un minimum.
Mmais comme dirait aussi bien le gars d'au-dessus: ce n'est pas parce que nous avons souffert des messes à la guitare dans les années 70, que nous devons aujourd'hui bannir l'instrument.
Euuh "Anonyme" si vous adressez à moi je préfère que vous le disiez clairement. De la même manière sur le plan de la pertinence intellectuelle vous devriez savoir que les mots n'ont d'intérêt que s'ils s'appliquent adéquatement à la réalité désignez qui SEULE importe("adequatio ad rem" ça va mieux en latin). Notre époque verbeuse semble oublier cela et se gaver de mots.
RépondreSupprimerRestez avec votre dictionnaire . Je préfère m'intéresser à la réalité à laquelle les "bons mots" d'humanité fraternelle et pacifique s'applique afin de ne pas me laisser abuser par de la poudre aux yeux et accepter comme inéluctable la transformation de l'Europe en Liban ou en Andalousie médiévale.
Pour ceux qui auraient besoin d'explications, je ne crois pas qu'il faille rechercher avant tout et à tous prix une "humanité fraternelle et pacifique". L'humanité est une abstraction dangereuse si elle ne reprend pas contact avec le sol du réel , de la réalité des sociétés , des cultures, des civilisations et des religions qui ne sont pas équivalentes !
Quant à Dany Boon, Montebourg....ce ne sont pas mes références et , de plus, il ne s'agit pas d'abord de différences biologiques et génétiques ataviques mais plus fondamentalement d'héritages culturels et religieux assumés librement dont il faut dire si oui ou non ils sont compatibles sans tourner indéfiniment autour du pot.
Il faut enfin en finir avec l'instrumentalisation de François d'Assise et de Charles de Foucauld qui cherche à leur faire dire ce qu'ils n'ont jamais dit
"Qu'est ce que cela veut dire?"...une "humanité fraternelle et pacifique" dans le contexte actuel.
RépondreSupprimerAutrement dit cela ressemble, au mieux, à un "voeu pieux" et au pire à de bonnes paroles trompeuses et sédatives et probablement aux deux ci-dessus,à partir du moment du moment où on fait l'économie d'une observation et une compréhension précise et détaillée du réel présent et historique.
Si l'on fait ,de plus, l'économie du comment et de la nature de la fraternité et de la paix recherchée...On est dans le discours de bonimenteur de foire vendant sa camelote
Hermeneias,
RépondreSupprimerIl n'a jamais été question d'instrumentaliser François d'Assise ni Charles de Foucauld mais de les donner en exemple. Vous ne pouvez pas dire que leur message n'est pas -pour le monde entier- de se reconnaître dans l'univers et en Dieu comme frères universels.
Charles de Foucauld, justement dans sa connaissance "au coeur" des Musulmans, a un message à nous apporter.
Sans parler des moines de Thiberine. On ne peut dire non plus que tous ces martyrs n'avaient aucun "contact avec le sol du réel". Les liens, ils les tissaient au jour le jour. Ce n'étaient pas de doux rêveurs.
Libre à vous de ne pas accepter leur démarche missionnaire de sainteté. Mais vous, que proposez-vous à part la méfiance et le quant à soi ?
Cher(e) Hermeneias,
RépondreSupprimerÉtrange raisonnement que le vôtre.
Parce que certains mots sont dévoyés, il faudrait les bannir ? Votre dico s'en trouvera certainement allégé -et votre pensée de même, car il est bien connu que c'est le langage qui permet la pensée.
Je pense par exemple à des mots comme "mariage" (depuis que les LGBT le revendiquent), comme "dogme" (dont l'acception courante recouvre dorénavant tout postulat irrationnel), qui je pense ont vos faveurs particulières.
Je penche pour une toute autre attitude : redonner aux mots leur vrai sens, entier et plénier.
Les mots "fraternel" et "pacifique" sont de beaux mots, qui expriment une belle et sainte réalité ; plutôt que de vouloir les effacer, il vaut mieux leur redonner leur sens originel.
Errare humanum est et perseverare....
RépondreSupprimerLe langage permet la pensée? Voilà une affirmation aussi téméraire que péremptoire et qui n'est certes pas vérité d'Evangile et que dc il convient de montrer sinon de démontrer.
Je pense tout l'inverse en m'appuyant sur des siècles de pensée occidentale et tout le mouvement scientifique qui l'a accompagnée fondé d'abord et ultimement sur l'observation et l'expérience au sens large. Il fallait la pensée et le "donné" du réel(dont la pensée) pour que le langage, ou plutot LES langages, existent...
Bref vous confondez le moyen et la fin et c'est tragique. On apprend mieux , s'il faut choisir,en se promenant , en marchant, comme Aristote qu'avec son dictionnaire dans une pièce ttes fenêtres et portes closes. Ceci dit on peut éventuellement utiliser un dictionnaire , lire d'autres livres, débattre et revenir au contact direct.
En médecine on dit toujours et encore depuis des milliers d'années que la clinique prime dans le doute
@Nonyme
RépondreSupprimerPrécisément vous , et d'autres , détournez le message et la vie de François d'Assise et de Ch. de Foucauld.Ils étaient des missionnaires et des vrais, explicites, pas des chrétiens honteux à la mode d'aujourd'hui mais des chrétiens affichés et qui risquaient le martyr, et qui l'ont eu pour Foucauld...
La mauvaise foi en béton actuelle va jusqu'à réécrire l'histoire pour chercher des tas de motifs capilo-tractés pour nous expliquer de façon inter-religieusement correct l'assassinat de Foucauld...
Et l'Eglise du Verbe incarnée, de plus, ne se limite pas à Fr d'A et Ch de Foucauld
Membre de l'ancien président de la république libanaise? Il me semblait que l'usage en ce pays est que le président soit un chrétien...
RépondreSupprimerHermétique Hermeneias et autres Anonymes,
RépondreSupprimerDonc,il nous faut nous cantonner dans un repli à la fois mélancolique et agressif. Insulter st Pierre et faire la nique à tous ceux qui ne pensent pas comme nous, ne surtout pas entrer en dialogue ni avec les Musulmans ni avec les Protestants ni même avec l'abbé G de T qui prend pour vous le visage de l'abominable traître ! Bouder.
Et pourtant, vive la Nouvelle Evangélisation! Elle est en marche. Ce w.e. des milliers de jeunes rencontrent le st Père. Ils sont l'espoir de l'Eglise et pourtant ne sont pas dupes : cette nouvelle évangélisation aura ses saints et ses martyrs aussi.
Mais vous vous serez détournés avec dégoût et mépris. Triste.