mardi 10 mai 2011

[conf'] "Le paradoxe Jean Paul II" - par Catherine Rouvier et l'abbé de Tanoüarn

Mardi 10 mai 2011 à 20H00: "Le paradoxe Jean Paul II" - conférence contradictoire, par Catherine Rouvier et l'abbé de Tanoüarn - PAF 5€, tarif réduit à 2€ (étudiants, chômeurs, membres du clergé) - la conférence est suivie d’un verre de l’amitié.

4 commentaires:

  1. Il est un temps pour tout. Passer JPII à la moulinette devient obsessionnel chez les Tradis.

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  2. JP 2 c'est comme Mitterrand ; il y a un droit d'inventaire. Tous les deux ont eu leurs bons côtés mais aussi des côtés franchement noirs.
    Surtout ils sont restés trop longtemps au pouvoir.
    N'oublions pas qu'il y a 30 ans c'était l'élection de Mitterrand et l'attentat jamais éclairci contre JP 2.

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  3. Il n'est jamais "trop longtemps" pour un Pape, contesterait-on la bonté de Dieu d'avoir gardé notre Bienheureux en vie ???

    D'accord avec le 1er anonyme, assez de cette obsession tradilandesque (rime avec grotesque) contre JPII, contre BXVI quand il s'avère qu'il n'a jamais été de leur mouvance, contre tous ceux que même des années dans le giron lefebvriste n'ont pas convaincus ni convertis aux idées tradies et qui s'en détournent aujourd'hui (j'en suis)

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  4. Extraits du livre de l'abbé de la Rocque sur Jean-Paul II. Parallèle saisissant entre St Pie X p 116 : « une construction purement verbale et chimérique, où l’on verra miroiter pêle-mêle et dans une confusion séduisante les mots de liberté, de justice, de fraternité et d’amour, le tout basé sur une dignité humaine mal comprise »
    et le bienheureux Jean-Paul II p 89 : « édifier la civilisation de l’amour, fondée sur les valeurs universelles de la paix, de la solidarité, de la justice et de la liberté ».
    De deux choses l’une, ou bien St Pie X a eu la vision future de son successeur JP II (« qui se dit catholique »), ou bien JP II a lu « Notre charge apostolique » et s’est assis joyeusement dessus comme pour montrer qu’une nouvelle ère du catholicisme commençait avec lui et que, paraphrasant Diafoirus, il proclamait urbi et orbi : « nous avons changé tout cela ».
    En fait, St Pie X s’adressait à un politicard (Sangnier) qui deviendrait un compagnon de route des communistes français. JP II n’était pas encore né, mais l’abbé Wojtyla pendant 15 ans se ferait bien voir des autorités communistes polonaises avant de se faire sacrer évêque avec leur consentement. Ali Agça a-t-il été chargé de liquider un ancien compagnon devenu inutile ?

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