mardi 18 janvier 2011

Points non négociables en politique

"Les points non-négociables sont la défense de la vie de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille naturelle et la liberté éducative des parents". C'est en ces termes que l'Osservatore romano définissait la politique chrétienne. Sans doute ces trois priorités sont-elles fondamentales. Mais il faut bien reconnaître que présentée comme cela, la politique défendue par l'Eglise est purement sociétale. Et si elle est purement sociétale, cette politique, cela signifie, comme aurait dit M. de Lapalisse qu'elle n'est pas... politique. Inutile de s'étonner des difficultés que l'Eglise rencontre dans la mise en oeuvre de ce programme !

Cette politique de la Vie et de la famille peut apparaître impolitique ; mais cela est encore possible de défendre une politique impolitique : il y a des mesures qui ne sont pas populaires mais qu'il faut prendre. En tant de crise tout le monde le comprend. Et c'est en prenant des mesures impolitiques que certains hommes politiques se taillent à eux-mêmes un costume de sauveur de la patrie.

Mais la politique de l'Eglise ainsi présentée par l'Osservatore romano n'est pas seulement impolitique. Elle est a-politique. Il ne sert à rien de s'étonner des difficultés de la mise en oeuvre alors que la cause politique est systématiquement ignorée. Exemple un peu ancien mais caractéristique : à la Conférence du Caire, en 1994, l'Eglise catholique s'est retrouvée aux côtés des islamistes pour réclamer une politique familiale. C'est le signe que quelque chose ne va pas dans cette doctrine des points non négociables. Si l'Eglise, dans un Sommet international, se retrouve aux côtés de ceux qui désignent les chrétiens comme des ennemis et refusent de condamner les attentats terroristes de Bagdad et d'Alexandrie, c'est qu'elle-même n'a pas fait l'effort de définir une politique qui lui ressemble, qui lui soit propre. Elle est non seulement impolitique, mais apolitique... ce qui la conduit à des positions parfois intenables.

La politique de la vie n'est pas suffisante pour définir une politique chrétienne. Aujourd'hui, on n'est plus dans l'optimisme des années 70. L'Eglise ne peut pas faire autrement que de reconnaître l'existence d'un front culturel sur lequel elle se doit d'être présente, celui de l'identité chrétienne. Identité chrétienne de l'Europe, défendue déjà par Jean Paul II avec une étonnante clairvoyance, identité des nations chrétiennes, dont le même Jean Paul II (bientôt béatifié rappelons-le) fait la théorie dans son testament spirituel : Mémoire et identité.

Les résumés journalistiques et même les thèses universitaires sont en retard sur la politique des papes. Aujourd'hui le point fondamental de la politique chrétienne est celui de l'identité. A chaque voyage depuis le Bourget en 1980 où Jean Paul II s'était écrié : France fille aînée de l'Eglise n'oublie pas les promesses de ton baptême, les papes rappellent cette question fondamentale du destins des nations européennes et de leurs différences chrétiennes dans la mondialisation matérialiste qui semble l'emporter. Une politique chrétienne qui se formuleraity en termes purement natalistes et familiaux... aujourd'hui 'en est pas une.

La récente traduction (aux éditions de l'Homme nouveau) d'une vieille étude de l'abbé Ratzinger sur l'Unité des nations (1970) montre bien que nous avons définitivement changé d'époques et de priorités. A l'époque, l'abbé Ratzinger expliquait très sérieusement en se fondant sur Origène, que les anges des nations n'étaient pas des anges gardiens mais des démons. C'était une suite du traumatisme national-socialiste dans la mémoire allemande. Aujourd'hui une telle diabolisation du fait national n'est pas pensable. Que ce soit récemment à Compostelle, que ce soit en Tchéquie, que ce soit même en Angleterre, le pape a rappelé les nations chrétiennes d'Europe à la richesse de leur histoire chrétienne et à la continuité nécessaire de leur histoire.

Certes il y a la politique de la vie définie par Humanae vitae (1968). mais il y a aussi les deux nouveaux thèmes clés qui marquent notre XXIème siècle : l'identité et le respect de la nature. Ces deux thèmes clés impliquent une appréciation distanciée du néo-libéralisme contemporain. Il me semble que cette critique du néo-libéralisme fait aussi partie - à ces deux titres - des points non négociables d'une politique chrétienne.

C'est dans cette perspective que j'ai invité ce soir, mardi à 20 H, au Centre Saint Paul (12 rue Saint Joseph 75 002. Métro Bourse ou Grands Boulevards) Remi Fontaine, journaliste au quotidien Présent. Le thème : quels sont les points non négociables d'une politique chrétienne. Le débat promet d'être riche ! Si vous êtes Parisiens, n'hésitez pas à venir y mettre votre grain de sel !

15 commentaires:

  1. Je ne sais pas ce que signifie une politique "sociétale", néologisme à la mode et des plus mal formés; une politique impolitique ou une politique apolitique; mais la politique préconisée par "l'observatore romano" et se réduisant, en dehors de la défense de la vie qui me paraît inattaquable, à la défense des familles naturelles (qui est patrimoniale) ou au respect des droits de l'enseignement libre, c'est-à-dire des boîtes à bac, j'appelle cela une politique bourgeoise, une politique pharisienne, une politique qui n'a dans son orbite et colimateur que la reproduction de ses élites, que la persistance dans son être des nantis élevés en batterie, grands, beaux et forts, que la défense des riches. Tout pour la famille et rien pour la famine. J'ai honte de faire un bon mot sur un tel sujet. Quant au fait de savoir si la réaction politique doit être identitaire, j'ai des doutes. Suffit-il au christianisme de se poser en chrétienté, c'est-à-dire à cet universalisme de se poser en ère de civilisation? POser la question me paraît y répondre. Un analyste musulman, Hakim El-karaoui, compagnon de route d'emmanuel Todd, pense que, devant le déclin économique et spirituel de l'Occident, sa seule chance est de défendre ses valeurs, de les défendre pour y faire croire et non pas de les faire croire pour s'y complaire, se contenter d'exister à l'intérieur, dans un certain confort intellectuel, financier et moral. Eh bien je souscris à cette analyse. La crise de l'identité est trop grave pour que nous n'ayons pas déjà perdu la nôtre. Le simple fait de parler d'"identité nationale" est devenu un gros mot. D'autre part, le christianisme n'est pas un identitarisme, mais une Identification de Dieu à l'homme. Notre mission est de croire en nos valeurs pour y faire croire. Et au-delà dela croyance en nos valeurs, pour faire croire dans le dieu Qui nous les a transmises. Et d'y faire croire en Lui rendant grâces, car Il est Bon, car eternel est Son amour! D'y faire croire car Il est digne d'amour! Car "Il est digne et juste de Te louer Seigneur!" Que me pardonnent ceux qui préfèrent le vousoiement, mais le "tu" est latin. "zou" comme disent les anglais!

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  2. Mettre dans le même sa c l'enseignement libre et les boites à bac, il y a de l'abus.7

    Les écoles catholiques sont de grande vleur et accueillent des enfant de toutes origines sociales et religieuses. Mais le plus de notre eenseignement catholique c'est justement d'éduquer les enfants et non de leur faire ingurgiter des notions qu'ils auront oubliées le lendemain du bac.
    Non seulement l'enseignement catholique a les meilleurs résultats au baccalauréat mais aux concours des grandes écoles mais il forme des hommes et des femmes responsables et des chrétiens fervents.
    Les rares prêtres actuellement ordonnés sont issus à 90% de l'enseignement catholique.
    Et puis je ne vois pas pourquoi nous les catholiques ne voudrions pas être les élites de notre pays et placer les nôtres aux postes stratégiques. Après tout c'est ce que tentent de faire les autres religions.

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  3. Mettre dans le même sa c l'enseignement libre et les boites à bac, il y a de l'abus.7

    Les écoles catholiques sont de grande vleur et accueillent des enfant de toutes origines sociales et religieuses. Mais le plus de notre eenseignement catholique c'est justement d'éduquer les enfants et non de leur faire ingurgiter des notions qu'ils auront oubliées le lendemain du bac.

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  4. Ho, Julien, c'est quoi cet +enseignement libre+ dont tu parles? Libre par rapport à qui? En allant par là on pourrait aussi bien parler d'+hôpitaux libres+ pour les cliniques privées!

    Pourquoi pas, au fond! Skay et Fun radio se sont bine intitulées +radios libres+ il y a un temps.

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  5. A l'anonyme du 18 janvier à 18h46

    Cher contradicteur et néanmoins ami,

    Vous écrivez:
    "Et puis je ne vois pas pourquoi nous les catholiques ne voudrions pas être les élites de notre pays et placer les nôtres aux postes stratégiques. Après tout c'est ce que tentent de faire les autres religions." Oui, mais de deux choses l'une: ou bien nous, catholiques, n'avons pas une religion comme les autres et il faut nous démarquer des autres religions; ou bien nous avons une religion comme les autres et il faut faire comme tout le monde. C'est à cette seconde solution que Monsieur l'abbé dans son article a le mérite de s'opposer. Quant aux prêtres sortis frais moulus et fervents de l'enseignement catholique, il est certain que ça aide. Mais, au risque d'agiter une idée qui ne doit pas être très en vogue ici, ne craignez-vous pas que ce soit une ferveur de classe? A un moment donné, le cardinal Lustiger a décrété qu'il voulait une génération de "prêtres instruits". Pas un seul "fol en christ" émargeant des jeunes hommes élevés en batterie de propreté à donner des évêques à la France sortis du séminaire de feu l'archevêque de Paris. Et qu'est-ce que cela a donné? Des prêtres collet monté qui manquent totalement de simplicité et qui vont moins que jamais visiter les petites vieilles ou les malades ou s'annoncer dans les immeubles. Voilà une des voies de la reconquête: qu'un curé redevienne un curé! Qu'il ne soit pas un chargé de pastorale, mot qui sonne comme le prélude à une apocalypse structurelle pour orchestre de grenouilles et choeur de moutons bêlants! qu'un curé redevienne un "chargé d'âmes" qui range son agenda, tracte dans les immeubles:
    "coucou, je suis là!"
    Et si quelqu'un lui répond:
    "au secours!",
    qu'il prenne le temps de lui rendre une visite. Je ne sais pas si c'est ça, une politique identitaire, mais que chacun retrouve le sens de sa fonction! A.s ne cesse de nous exhorter qu'il faut que nous cessions d'être invisibles. Ben oui! Nous, les laïques, secondons nos curés et donnons envie du christ au lieu de nous exciter pour ranimer des guerres scolaires à la première étincelle où l'enseignement catholique est évoqué, libre ou pas libre! comme nous prenons fait et cause pour guizot quand on nous parle du Coeur immaculé de Marie, cela sans répondre du petit doigt, ne serait-ce qu'à la famine spirituelle, ce qui serait déjà pas mal!

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  6. a toutes les époques de grande hérésie ( 1) l'Eglise s'est trouvée asservie aux puissants de la "terre"... aujourd'hui (depuis un demi siècle au bas mot) elle se trouve écartelée entre les socialo-communismes rémanents ( ouverts ou couverts, Ost-Politique ou" chute du mur " pour faire passer le communisme plus loin...) les libéralismes ou néo - libéralismes( réels ou allégués) , de toutes les manières au mondialisme sous ses divers travestissements contradictoires mais convergents ( islamisme compris).
    Qu'à titre posthume le "béatifié"(??? (2) ait parlé des nations, c'est une chose. Qu'il ait baisé toutes les terres du monde et fait allégeance à toutes les cultures, c'en est une autre...De toutes les manières, entre ce qui se dit et s'écrit et ce qui est compris par les masses humaines médiatisées, il y a un abîme...
    la première politique du catholicisme devrait être de diffuser une dictionnaire( les Franciscains de l'Immaculée vont jusqu'à demander un syllabus) pour savoir en quel sens l'Eglise emploie encore les mots du catholicisme... et la seconde chose, serait de créer des organes de diffusion de masse, pour diffuser sa doctrine de manière fiable...
    Cela semble un préalable...
    Car la cacophonie est à son comble !

    Pour le reste, il faudra bien un jour que la néo-église se décide: soit elle est "Dieu fait religion", "la Vérité-Verbe s'adressant aux hommes"..soit elle est une invention humaine parmi d'autres..."Nos" évêques ont déjà choisi en siégeant à l'espèce de parlement-croupion des "religions" que la tyrannie de l'état moribond vient de proposer...

    Et "nos" "martyrs" sont déjà dissous dans la soussoupe mondialisée des victimes de la liberté d'expression, de la démocrasse et droits de l'homme et de tout le bastringue moderne , post moderne,hyper moderne offert au supermarché du spectacle des non-idées...

    Ce qui vient de se passer au FN est symptomatique.Mais ne semble guère alerter, sauf quelques minorités lucides.

    A quand une "paroisse invisible" branchée directement sur l'Eglise triomphante et l'Eglise souffrante( et les 20 siècles d'avant le " concile"... ce "concile d'Amour" que Panizza n'aurait pas osé imaginer!)

    En attendant , je vais m'inscrire au "monastère invisible " de Popol 2 pour offrir en oblation mes souffrances devant le bordel général, Assise bis, la béatification et tout le reste( les morts, massacrés, violés, volés, pillés, de Tunisie ou de nos "zones" ..qui enchantent tant la Crapule)
    Jésus, je sais que je ne puis rien sans Vous, donc rien sans votre Eglise...mais je ne sais où on l'a mise ... (merci à Ste Marie Madeleine de me laisser la formule sans me faire payer de droits d'auteur!)
    Jésus, je sais que je ne puis devenir saint sans accomplir mon devoir d'état .Mais quel est mon état ? et où est mon devoir ?

    La désorientation de la non-politique va très loin

    A.S. Aboulie des Structures

    (1) et 'lambiance d'éhrésie ests ans dotue prie que 'léhrésie, car l'hérésie ests aissisablee t stigmatisbale, alros que 'latmosphère se repsire..jsuqu'à l'asphxyie
    (2) les incroyables - au sens struict - foruénes de batifiés et canonsiésn, comme els fltos de pages publéies des sommets béants du vatican laissent pantois ...Qeu el basieur d eCOran, l' rogansiateur de "l'isnatlaltion" d'Assise, celui qui a du fuir le KGB auVatican-(selon de VIlemaretsà pour se faire globe trotrer, et qui est mrot nons eulment vace héroPisem ami aussi amcuéld e tous els signs de toutes els relgiions possibles et inimaginables..soit béatifié, cela laisse eprplexe !

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  7. Pourriez-vous "traduire" les notes (1) et (2) si dessus car je n'arrive pas à les lire. Merci

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  8. L'abbé a manifestement mal compris ce que le Pape entend par "non-négociable". Benoît XVI s'est pourtant exprimé plusieurs fois sur le sujet. Le problème de l'identité est réel, mais il est autre et il est nécessaire de ne pas tout mélanger.

    Ce qui est non-négociable, c'est ce qui est universel, valable en tout temps et en tout lieu. C'est ce qui fonde toute politique. Parler de "politique chrétienne", c'est commettre là un contre-sens : il n'y aura pas de politique chrétienne sans les piliers que sont les points non négociables. En fait il n'y a pas de politique de long terme sans ces points. C'est la maison que l'on construit sur le roc. Si vous enlevez ces points, vous construisez sur le sable. Y compris l'identité.

    Prenons l'identité, puisque c'est la préoccupation de l'abbé : c'est par la défense de la famille, cette cellule naturelle de base, et par la liberté éducative des parents que cette identité va être sauvegardée. Est-il utile de le montrer ? L'identité chrétienne de l'Europe et de la France ne sera pas seulement quelques mots dans une Constitution nationale ou supranationale. Elle doit reposer sur une réalité tangible : des familles chrétiennes.

    Maintenant, peut-on dire que l'identité est un point non négociable ? Si l'on pense à la France, fille aînée de l'Eglise et éducatrice des peuples, la réponse semble être positive. Mais pour la Chine ? le Japon ? le Pakistan ? Quelles sont l'identité de ces pays non façonnés par le christianisme ? Et leur identité n'a-t-elle pas besoin du christianisme ?

    On constate donc que l'identité n'est pas un point non négociable. Cela ne signifie pas pour autant qu'il faut nier l'identité au nom d'un humanisme dévoyé. Mais il ne faut pas tout mélanger.

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  9. A L'ANONYME DE 19:30
    Pour une fois je donne raison à feu le cardinal Lustiger de vouloir des prêtres instruits même si l'instruction qu'il leur faisait donner n'était pas toujours très orthodoxe (c'est le mions que l'on puisse dire).

    Je vous ferais remarquer que Monseigneur Lefebvre a créé des séminaires ou l'on exige un niveau de connaissances élevé des futurs prêtres. Les prêtres concilaires refusent toujours le débat avec les prêtres de la FSSPX car ils savent qu'ils ne sont pas à la hauteur dans le domaine religieux. Ils peuvent causer des heures de politique ou d'économie mais sur l'histoire de l'Eglise, du Dogme ou de la divine liturgie ils ne savent rien.

    Il nous faudrait un nouveau Bossuet.

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  10. La famille musulmane et la famille catholique sont deux réalité entièrement incompatible
    Le catholique doit dénoncer l'avortement le suicide assisté et l'euthanasie mais aussi la polygamie et l'esclavage systémique des femmes et des enfants .

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  11. Qu'est-ce que l'identité ? Aujourd'hui on voyage partout, on travaille dans toutes les villes du monde, on fait des réunions d'affaires en anglais aussi bien à Madrid qu'à Singapore ou à Varsovie, on déménage, on a des amis en ligne dans le monde entier et en live aussi.

    L'identité n'est donc plus liée à un découpage administratif d'un espace, c'est une identité de valeurs.

    On peut se dire chrétien, catholique romain, Européen (dans le sens culturel : issu du monde gréco-romain et judéo-chrétien).

    Puis il y a l'identité de ce que l'on est de part de nos passions et centres d'intérêts : on est un golfeur ou joueur de bridge, un poète, un musicien, un amoureux de l'opéra ou du jazz, un lecteur passionné, un afficionado de la littérature mettons germanique ou japonaise (dont on parle la langue car il faut lire dans le texte), un écrivain voyageur ou un pilier du square où l'on joue aux échec avec des amis du pallier qui peuvent être chinois ou pakistanais, peu importe car joueurs d'échec comme nous etc etc

    Puis il y a l'identité personnelle liée à l'organisation de notre vie de père, d'époux, de célibataire volontaire ou contraint, de membre de l'entreprise où l'on travaille et dont le siège peut être à Atlanta et la moitié du Comex asiatique etc etc

    Enfin, il y a notre identité d'Homme qui nous a été donnée par le Créateur et que nous devons vivre dignement. Et celle-ci en effet n'est pas négociable.

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  12. L'identité nationale dans chaque pays a justement été établit depuis 100 ans pour mettre fin à l'anarchie identitaire qui existait sur la terre entière.

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  13. Un ancien fidèle de l'abbé Laguérie20 janvier 2011 à 22:13

    Demain 21 janvier à 18h30 Saint Eloi : messe anniversaire chantée de Requiem avec absoute pour Louis XVI et la famille royale.

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  14. Hé Julien, confondre l'école hors contrat, qui est un apostolat, un magnifique exemple, chapeau bas, avec les boites à bac est un sacré contre sens, une facilité de plume trop prolixe. C'est comme confondre les Carmélites avec une secte d'herbalife, . le Staret Zosime avec le gourou du coin.

    Peux tu comprendre que la liberté des enfants de Dieu ne s'achète pas. Relis la parabole du " Grand Inquisiteur" et tu comprendras de quel coté est trop souvent l'école hors contrat : elle achète sa sécurité matérielle et morale en se soumettant, l'école hors contrat suscite, éveille notre liberté.
    Elle n'a pas de prix. Maintenant comme tout, elle n'est pas assurée une fois pour toute, elle se creuse, il s'agit d'en faire bon usage de sa liberté! Entrer dans une école hors contrat est un commencement. C'est comme les jeunes pousses, attention à qu'elles ne soient pas déracinées par le vent des passions propres ou du monde.

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  15. Hé Julien, confondre l'école hors contrat, qui est un apostolat, un magnifique exemple, chapeau bas, avec les boites à bac est un sacré contre sens, une facilité de plume trop prolixe. C''est comme confondre les Carmélites avec une secte d'herbalife, . le Staret Zosime avec le gourou du coin.

    Peux tu comprendre que la liberté des enfants de Dieu ne s'achète pas. Relis la parabole du " Grand Inquisiteur" et tu comprendras de quel coté est trop souvent l'école hors contrat : elle achète sa sécurité matérielle et morale en se soumettant, l'école hors contrat suscite, éveille notre liberté.
    Elle n'a pas de prix. Maintenant comme tout, elle n'est assurée une fois pour toute, elle se creuse, il s'agit d'en faire bon usage de sa liberté! Entrer dans une école hors contrat est un commencement. C'est comme les jeunes pousses, attention à qu'elles ne soient pas déracinées par le vent des passions propres ou du monde.

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