Véronique Lévy s’est convertie ; après un long catéchuménat à Saint-Gervais, elle 
reçoit le baptême. Son frère Bernard Henry était dans l’assistance. Et très vite 
(avant même ce jour de son baptême), elle a écrit, elle a voulu décrire le feu 
qu’elle ressentait... en vers libres, comme autant de méditations devant le 
Saint Sacrement. Mais à ces poèmes se sont mêlées des réflexions personnelles, 
des souvenirs, une approche exigeante de sa judéité (“c’est le jour de mon 
baptême que j’ai découvert ce que signifie être juif”), une action de grâce pour 
la chasteté. La langue est simple. Véronique va droit au but dans son livre 
comme devant Jean-Pierre Elkabbach, comme, demain lundi à 20 H 15, dans sa 
conférence au Centre Saint Paul. Elle dit Dieu, la beauté et la bonté de Dieu, à 
ceux qui avait voulu l’oublier ou à ceux qui ont du mal à la discerner 
aujourd’hui dans le monde...
 
Quelle chance ont les parisiens d'avoir tant de beaux témoignages à portée de main!
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