mercredi 27 juillet 2016

Comment le christianisme est viril

Le psaume 30 brosse un tableau terrible de la condition humaine. Mais il est formel - au moins dans la version latine de saint Jérôme : Viriliter agite et confortetur cor vestrum, omnes qui speratis in Domino. Agissez de manière virile, dit l'Esprit saint aux croyants des deux sexes, et votre coeur s'en trouvera conforté. "Soyez viriles, mes filles" lançait en échos sainte Thérèse d'Avila. Il y a dans les écrits inspirés comme dans les écrits des saints la trace constante d'une mystérieuse logique de l'action : "Celui qui FAIT la vérité vient à la lumière" (Jean 3, 21). Cette logique de l'action renforce ceux qui la pratiquent avec foi, ceux qui vivent dans l'Espérance (omnes qui speratis in Domino, dit le Psaume). C'est véritablement ce en quoi consiste la virilité selon l'Ecriture, la capacité à mettre de côté tout état d'âme, toute peur, toute inquiétude, toute faiblesse, pour agir, quoi qu'il en coûte, de manière conforme à la foi qui est en nous. Cette action humaine rencontre, d'une manière indicible, la grâce de Dieu qui la fait être. Et c'est cette fusion sans confusion entre la grâce et la liberté, cet avènement de la liberté dans nos coeurs par la force adventice de la grâce qui fait le flamboiement de l'âme habitée par la foi.

Cela dit, attention : la virilité dont parle le psaume 30 n'a rien à voir avec la testostérone. Ou bien disons plus précisément qu'elle est son analogue surnaturel. Analogue ? C'est simple : lorsque Thérèse d'Avila enjoint à ses soeurs d'être viriles, elle ne leur demande en aucun cas de devenir des femmes à barbe ! Il y a c'est vrai, dans chacun des deux sexes, quelque chose de la perfection divine. Très tôt Dieu est comparé non seulement à un père (plus rarement qu'on ne le pense avant le Christ, qui est le premier Fils de Dieu) mais à une mère ("Si une mère pouvait oublier son enfant, moi je ne t'oublierai pas dit le Seigneur" Isaïe 60). Mais ni la féminité ni la virilité ne portent en eux-mêmes leur accomplissement ou leur perfection. Pas de perfection féminine sans une virilité qui la provoque. Pas de perfection virile sans une féminité qui l'adoucit. Dieu seul est parfait en lui-même.

La virilité spirituelle ou surnaturelle est donc analogique à la virilité naturelle. Mais, au moins si l'on fait confiance en ce schéma analogique que nous a légué Aristote et qu'a si bien illustré Cajétan, il faut reconnaître qu'en disant CELA, nous affirmons (c'est le secret de l'analogie) que la virilité spirituelle est vraiment virile, mais... autrement ! Elle n'est pas moins virile que la virilité naturelle et, en prime, elle est réellement accessible aux deux sexes, comme en témoigne Thérèse d'Avila. A l'opposé, notre société de femmelins (selon le néologisme cher à Proudhon) est une société qui a commencé par perdre, avec la foi et l'espérance, tout ce que j'ai appelé dans le premier paragraphe la virilité spirituelle. On y vit dans l'instant, sans fidélité à long terme, sans projet, sans destin, sans aucune manière de dominer le temps. La formule qu'Imre Kertesz avait découverte dans les camps de concentration nazis, "nous sommes des êtres sans destins" s'applique parfaitement à cette émasculation spirituelle que nous subissons tous dans la société instantanéique dans laquelle nous baignons.

Il est vrai que le christianisme a spiritualisé la virilité comme à peu près tout ce qu'il touche. Faut-il le regretter ? Non, puisqu'ainsi il a mis la virilité à la disposition des deux sexes.

Mais essayons d'aller au bout de l'objection. Il arrive fréquemment d'entendre : la religion chrétienne est une religion de femmes... Il est vrai qu'en tant qu'il est la religion du coeur, le culte de la charité, le christianisme a toujours été très ouvert aux femmes. L'amour est incontestablement naturel aux femmes. Il est, chez les hommes, plus volontaire (ne généralisons pas trop cependant !). Mais il suffit d'entendre à nouveau, dans saint Luc, les deux disciples d'Emmaüs disant au Ressuscité avec lequel ils font route depuis un petit moment, mais qu'ils n'ont pas reconnu : "Quelques femmes, qui sont des nôtres, nous ont il est vrai stupéfiés, nous disant qu'elles ont eu la vision d'anges qui le disent vivant". Ce sont les femmes qui annoncent la résurrection du Christ aux apôtres et, dans l'Ecriture, c'est Marie Madeleine qui le voit la première, au point qu'on l'appelle l'apôtre des apôtres.

Pour autant , si le coeur est notre féminité spirituelle à tous - homme et femme -, nous avons essayé de démontrer avec le psaume 30 que la foi et l'espérance sont des vertus viriles, qui parce qu'elles sont surnaturelles sont accessibles aux deux sexes. L'attitude du croyant - faite de foi, d'espérance et de charité - est donc spirituellement androgyne. Il retrouve ainsi une complétude qui existait dans le plan de Dieu avant que la sexuation ne devienne une coupure (selon le verbe latin secare), avant que le monde de l'homme et le monde de la femme ne deviennent deux mondes qui ne se rencontrent pas souvent.

Quant à ceux qui voudraient une religion virile au sens naturel de ce terme, ils sont effectivement servis avec l'islam : la polygamie (pas plus de quatre femmes légitimes dit le Coran) est une institution éminemment virile. Je dirais que l'homme est naturellement polygame. Par ailleurs (peut-être une musulmane me détrompera-t-elle) le paradis d'Allah me semble avant tout viril par les plaisirs qu'il offre. Troisièmement, la violence est la première manifestation du Sacré, comme Daesh entend nous en administrer la preuve presque chaque jour en ce moment. Enfin et surtout, cinquièmement, le Coran propose une foi sans la charité universelle qui va avec dans l'Evangile, la virilité de Dieu sans sa féminité avons-nous dit. Mais "la vérité sans la charité est une idole" comme dit Pascal. Isoler la virilité que représente la foi, en l'abstrayant de cette charité féminine, qui est pourtant le "seul accomplissement du précepte" dit saint Paul, c'est effectivement enfermer le Saint Esprit dans la testostérone. On a vu ce que cela avait pu donner le 14 juillet dernier avec Mohamed et sa virilité, au volant d'un camion de 19 tonnes.

Religion d'homme l'islam ? Assurément et c'est sa perte... Il n'est qu'une religion d'homme. Au contraire, dans le christianisme dit saint Paul, il n'y a ni homme ni femme car, spirituellement, il y a et la virilité intrépide de la foi espérante et la délicatesse féminine de la charité.

NB : Je parle ici du Masculin et du Féminin, le sujet que je me suis donné m'y oblige. Dans la réalité personne n'est le Masculin ou le Féminin. L'Homme ou la Femme archétypes n'existent pas. Ainsi, un couple n'est pas l'alliance de deux natures (masculine et féminine) mais de deux personnes, à savoir un homme et une femme, chacun comportant un étrange alliage de masculinité et de féminité spirituelles. 

14 commentaires:

  1. Pardonnez-moi, M. l'abbé, mais j'ai du mal à comprendre l'opportunité de cet article au lendemain du martyre du Père Hamel.

    La question que chacun se pose, c'est si le christianisme est armé pour se défendre si le commandement qui est donné au chrétien est de tendre l'autre joue, commandement appliqué par le Seigneur, notre modèle, au cours de Sa Passion, non en gardant le silence devant celui qui le frappait, mais en lui demandant: "Pourquoi me frappes-tu? "

    "La violence est la première manifestation du sacré", dites-vous à la suite de votre maître René Girard. Et le christianisme est radicalement non violent. C'est très juste. Encore faut-il rendre raison de la violence qui a eu cours dans l'histoire chrétienne, de la violence de la chrétienté contraire au christianisme, par opposition à la violence islamique, conforme à la manière dont l'islam s'est imposé.

    Enfin, dans votre poste précédent, vous nous parliez de "l'innocence radicale des victimes" dans la vision chrétienne. Il y a quelque chose d'excessif et de dangereux dans cette idée girardienne. D'excessif, car il n'y a qu'une victime entièrement innocente: c'est le Christ. De dangereux à double titre :

    -Boris Cyrulnik est bien connu pour avoir popularisé la résilience. IL est moins connu pour avoir dit que le danger de la victimisation, c'est que "la victime est aimable", au risque de faire passer son bourreau pour un monstre. Claude Lévi-Strauss affirmait déjà que "le barbare, c'est celui qui croit à la barbarie." Et René Girard va dans le même sens en montrant que le bourreau et sa victime sont dans un jeu de rôles.

    -Le christianisme nous a inoculés un poison moral: le complexe de persécution, entretenu par "la béatitude des persécutés". Si bienheureux sont les persécutés, il nous faudra toujours des victimes et toujours des bourreaux. Si cela n'entretient pas la violence.... Pourquoi la béatitude des persécutés?

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  2. Charlie Bedeau Next28 juillet 2016 à 08:24

    Nous savons maintenant ce qu'est la double peine.
    L'égorgement rituel du Père Jacques. Les déclarations des autorités religieuses tous cultes confondus.

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  3. François nous rassure. Le monde est en guerre. Ce n'est pas une guerre de religion parce que les religions veulent la paix.

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  4. Vous citez Pascal: “La vérité sans la charité est une idole.” Cela vaut pour le christianisme, bien sûr. Mais quando s´agit du terrorisme, la charité qu ´on doit faire est la défense de notre peuple et de notre pays.
    Si les étrangers ne veulent pas respecter le pays que les acueille, ils doivent être expulsés vers leurs pays d´origine.

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  5. Charlie Bedeau Next29 juillet 2016 à 09:23

    Le Père Jacques et ses deux larrons voyagèrent de "conserve" car ils avaient été préalablement mis dans des boites.
    A force ils arrivèrent devant une magnifique façade de style préraphaélite dont la porte était gardée par un noble vieillard
    à barbe vétérotestamentaire s'affairant après une balance électronique de qualité moyenne.
    - Donne-toi la peine d'entrer, mon frère, tu es ici chez toi, dit-il à Jacques.
    - Et nous, que faisons-nous, dirent les deux autres ?
    - Prenez à gauche.
    - Et après ?
    - A gauche, toujours à gauche. Vous n'irez jamais assez à gauche.
    - Jusqu'où ?
    - Vous arriverez inévitablement devant un immense tas d'ordures. Vous en reconnaîtrez certaines pour avoir vu leur portrait dans les livres d'Histoire.
    - Et nos 140 vierges à nous deux, s'échauffèrent-ils ?
    Le beau barbu, après un temps de réflexion, leur fit cette réponse sibylline :
    - Au paradis, on ne trouve que ce qu'on y apporte.
    - Mais qu'est-ce qu'il fallait donc apporter ?
    - Le désir de Dieu.

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  6. Charlie Bedeau Next31 juillet 2016 à 10:30

    Il y eut l'immigration. On leur parla d'assimilation-intégration. Ils observèrent que ça ne marchait pas.
    On nomma donc la chose. Les intelauds, qui tirent leur subsistance des dirigeants, furent mobilisés. On vit même l'un
    d'eux, du parti catholique, se rendre célèbre par son fameux "une chance pour la France". Et ceux qui émettaient des doutes étaient malmenés à n'en pouvoir mais.
    Rien n'y fit. Ils constatèrent que l'immigration ça ne marchait pas.
    Alors on s'employa à leur démontrer qu'elle était irrémédiable, inévitable et même nécessaire.
    Quand les gens s'aperçurent qu'elle était mortelle ils étaient déjà morts.

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  7. Charlie Bedeau Next31 juillet 2016 à 19:29

    A Nice il y eut un tiers des victimes qui venaient de là-bas. Une bavure. C'est l'inconvénient des massacres de masse.
    A Saint-Etienne-du-Rouvray la cible avait été désignée à l'avance. Un objectif unique. Facile. Mais dans ce cas ce n'est plus la quantité mais la qualité de la personne qui fait l'événement.
    Un prêtre, un vieillard, un Français, un blanc. Pas mal.
    Ce n'est pas tout. Il y eut l'espace et le temps. Un officiant dans un lieu de culte.
    Un exploit qu'il sera difficile d'égaler.

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  8. Charlie Bedeau Next2 août 2016 à 10:40

    Quelle différence y a-t-il entre un flic et un prêtre ?
    Un flic est égorgé à domicile avec son épouse. Les enfants sont épargnés.
    Un prêtre est égorgé sur son lieu de travail pendant son office.

    Deux cas restent à examiner.
    1) Où seront égorgés les chômeurs sans domicile fixe ?
    2) Où seront égorgés ceux qui travaillent chez eux comme par exemple les boulangers ou les agriculteurs ? Deux professions essentielles qui nous sont particulièrement chères.

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  9. Charlie Bedeau Next2 août 2016 à 14:38


    Egorgeons, égorgeons, il en restera toujours quelque chose.

    Les Femen. Nous en faisons des gorges chaudes.

    Il y a peu, pour nous gausser nous posions la question : où la jungle de Calais va-t-elle être remantelée.
    C'est fait. Par décision ministéro-préfectorale le "remantelage" se fera à Barcelonnette, charmante cité des Préalpes du sud, fleurant bon le thym, le romarin, où les champs de lavande s'étendent à l'infini, où le chant de la cigale nous fait oublier, pour un temps, le stupide roucoulement du pigeon des villes, où la lumière crépitante attira tous les impressionnistes de la planète. [Partir en vacances avec Bosco, Giono et les vieux films de Pagnol].
    Bientôt ce sera le Mzab.

    Des sociologues expérimentés viennent d'entreprendre une étude sur le rapport possible entre l'égorgement des prêtres – éventuellement des clercs - et l'engorgement des tribunaux. L'ancienne Garde ne verrait pas d'un mauvais œil que l'on adjoigne – pour des raisons familiales - la question du désengorgement des prisons.

    Après d'interminables mois d'angoisse le mur des cons érigé devant Barbarin s'est subitement effondré. Le Primat des Gaules aurait-il prononcé des paroles d'apaisement après le martyre du Père Jacques? Des mots justes en direction de la religion d'amour, de tolérance et de paix qui auraient plu en haut lieu.

    Dernière heure. L'emploi du mot égorgement serait déconseillé, en fait interdit dans la presse subventionnée. Le mot pas la chose.
    Pour ce qui nous concerne on attend les directives précises des hautes autorités du Metablog.

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  10. J'ai beaucoup de mal à comprendre cette nouvelle notion de "virilité" spirituelle, il s'agit, pour moi, encore et toujours de l'action subversive commençant par la dénaturation du langage : un mot n'a plus un sens déterminé, ce qui permet d'interpréter suivant son désir n'importe quel texte. Quel besoin a-t-on de cette nouvelle acception ? Le français possède beaucoup de mots pour désigner les qualités considérées : le courage, la bravoure (pas la "bravitude"), la détermination, etc. Une femme, dans sa féminité, pleine et entière peut, parfaitement, comme un homme -- qui y est (était) plus entraîné, par la réalisation de son premier devoir d'état, protéger son foyer -- posséder ces qualités.
    La charité ne me parait pas une qualité spécifiquement féminine, tant qu'elle est subordonnée au devoir d'état, même si celà mène à des débats cornéliens (Antigone).
    "Tu ne tueras pas" dit la Loi, mais, pour obéir à ce commandement, doit-on laisser martyriser ceux ou celles dont on a reçu la charge ? Pas si simple ...! Quant à moi, entre la charité envers la victime et celle envers l'agresseur, c'est tout choisi ! Le plus difficile est de dire qui est l'agresseur et qui est la victime. L'instant ne suffit pas, il faut considérer le contexte spatio-temporel et là, nous pouvons remonter jusqu'aux origines. Comme ce n'est pas possible, à un moment, il faut choisir entre 2 prochains. "Je m'en lave les mains" fait-on dire à Ponce-Pilate, un autre dira "tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !". On ne peut vivre sans violence, la graine qui pousse et déchire son enveloppe, le poussin qui casse sa coquille, etc. Quant à moi, je choisis la violence pour défendre les miens, si elle me parait nécessaire !
    L'évangile ne me parait pas condamner la violence en tant que telle, Jésus chasse les marchands du Temple en les frappant. En mécréant que je suis -- à mon corps défendant -- je dirais même que si Jésus nous ordonne de tendre l'autre joue, c'est parce que Lui possède l'éternité pour exercer un châtiment !
    Le christianisme ne me parait ni viril, ni féminin, Dieu est représenté sous forme virile, Son incarnation est viril, mais la femme y prend toute sa place avec la Vierge Marie, en tous cas le Royaume n'a rien de démo(n)cratique !

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  11. Charlie Bedeau Next4 août 2016 à 13:11

    Egorgez ! Nous ferons le reste.

    En déclarant que " l'on peut tuer avec la langue aussi bien qu'avec un couteau " François nous a grandement réconforté. Charlie Bedeau, qui se contente d'écrire, n'est pas concerné.

    L'ordinal André XXIII cela a autrement de gueule que le cardinal André Vingt-Trois.

    On commence par éplucher un œuf, puis on égorge un bœuf et ça se termine à Saint-Etienne du Rouvray.

    Russell Square était un tranquille quartier de Londres pour bourgeois britiche. On s'y prend maintenant des estafilades " pouvant entraîner la mort ".

    Le couteau, legs de la civilisation arabe au monde.

    Adel Kermiche, dont on ne veut plus dans sa commune, pourra être enterré au Danemark. A condition "qu'ils" transportent le corps. Par tapis volant ?

    A Saint-Pétersbourg, David (celui de Michel-Ange) doit aller se rhabiller. La casquette de Lénine scotchée au bon endroit pourrait contenter les prudes communistes.

    La dame pipi du début du millénaire a rejoint le bataillon serré des pourfendeurs des mots d'origine britiche dans notre belle langue française.

    Azouz Begag, qui fut ministre sous Villepin aurait déclaré sur TV5 MONDE qu'en 2011 " il y avait de 15 à 20 millions de musulmans en France ". Retenons l'hypothèse basse. En 2017 combien ? No comment.

    Ils ont maintenant deux cordes (si l'on peut dire) à leur arc. Aiguiser leur lame sur la gorge des prêtres et démolir les églises en cours de cérémonie.

    Marine : "Et si l'on faisait des parkings sur l'emplacement des mosquées salafistes ?". Pourquoi salafistes ? Toujours des demi-mesures.
    Son papa : " S'il est une église que les socialistes devraient respecter, c'est bien celle dédiée à Sainte Rita, patronne des causes désespérées ". Même nous, n'aurions pas osé.

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  12. Charlie Bedeau Next6 août 2016 à 15:59


    C'est l'histoire d'un mec dont le barbier est islamiste.

    Écharpes et cache-nez ne sont plus de mode. Portez un collier de chien à armature métallique, de bonne largeur.

    Attention ! Rire à gorge déployée peut provoquer.

    La Communauté Economique Européenne. On égorge en France. On enterre au Danemark.

    " Le multiculturalisme, ça ne marche pas ". Surtout quand il s'agit de faire vivre ensemble sur un même sol des gens ayant une culture avec d'autres qui n'en ont pas.

    Après leur égorgement rituel les sacrificateurs ont les yeux "doux". D'après plusieurs témoignages.
    Ils sont déjà au sein de leurs 70 vierges.

    Péremptoires, certains avancent que " la stratégie de l'UOIF est plus dangereuse que celle de l'EI ".
    Rien n'est plus délétère.
    L'islam est un projet global, en devenir, pour l'humanité entière.
    Et tous les "chemins " mènent à La Mecque.

    La société Opinel, mondialement célèbre, un des fleurons de l'industrie savoyarde, pourrait – selon certaines rumeurs infondées – être rachetée par un groupe d'Arabie Saoudite. Le lieu de production pourrait être délocalisé et implanté là où la demande est la plus forte.

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  13. Charlie Bedeau Next7 août 2016 à 15:26

    " Le multiculturalisme, ça pourrait marcher ". Surtout si l'on fait vivre sur le même sol des gens qui ont la même culture.

    Les églises sont des coupe-gorge. Les mosquées sont lardées de mauvais coups. Il est temps que les ecclésiastiques de tous bords – notamment les Jésuites – se rassemblent pour l'uniformisation des croyances. A l'évidence nous avons le même Dieu puisqu'il est unique. Il existe et il est unique (existence et unicité disent les mathématiciens).
    Tous les Docteurs de la Foi pourraient s'entendre sur une sorte de Mimétisme d'Approfondissement Spirituel de la Religion Universelle, le MASRU.
    La Sorbonne, vidée de ses étudiants, haut lieu des controverses depuis le Moyen-âge, deviendrait le centre religieux de l'humanité (fini le Vatican, La Mecque, Jérusalem etc…).
    Dans la cour on planterait un Pommier, le Pommier Sorbonnard, nouvel arbre de la connaissance autour duquel l'axe du monde s'alignerait.
    Une nouvelle ère de l'aventure humaine débuterait. Alors celui qui mange le cochon et celui qui n'en mange pas pourraient se serrer la main sans crainte ni dégoût.

    Depuis toujours l'expression effroyablement vulgaire " Travailler avec sa b… et son couteau ", laquelle dans une langue châtiée signifie " Etre démuni devant une tâche d'exécution difficile ", était attribuée à un sous Audiard ayant ingéré un haricot de mouton trop copieux.
    Que nenni ! Il s'agirait en réalité d'un cri de ralliement, d'une formule guerrière, d'un mot d'ordre, utilisé par des hordes barbares ayant en projet l'invasion d'un continent riche en ressources mais peu peuplé, occupé par des populations fatiguées et inconscientes.

    Un Prêtre que nous aimons nous a récemment surpris en déclarant tout de go qu'il n'y avait plus de Pape.
    Naturellement c'était une formule, une façon de dire.
    Quant à notre cher Benoît XVI, il aurait été poussé, en quelque sorte "dans une prison volontaire ".
    En vérité cette image ne nous quitte pas depuis qu'il a annoncé son abdication.
    En surimpression l'image de la visite de François à Auschwitz-Birkenau. On se demandait s'il allait sortir vivant de ce lieu ! On voyait déjà Benoît reprendre sa place.
    François, qui aurait avoué " Je suis fourbe " aurait donc été – toujours d'après notre prêtre – élu pour faire de la politique; pour servir la soupe aux mondialistes.
    Nous revient constamment en mémoire ce petit matin du lendemain de l'élection de François. Attablés pour le petit déjeuner à Sainte Marthe, Vingt-Trois et Barbarin recevant la télé. Deux maquignons hilares en fin de foire qui venaient de fourguer, l'un un cheval borgne, l'autre une vache folle.

    Pour les autres on ne sait. Mais pour la France l'Islam n'est pas un problème religieux. C'est un problème politique.

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  14. Charlie Bedeau Next10 août 2016 à 17:27

    Français, rengorgez-vous, vous êtes les meilleurs en canoë-kayak.

    " Le multiculturalisme, ça ne marche pas ". Même entre deux français de souche. Il suffit que l'un tienne pour le Bordeaux et l'autre pour le Bourgogne.
    Sans parler des 350 sortes de fromages.

    Pour des raisons de sécurité les femen n'exposeront plus leurs gorges. Elles ont décidé de montrer le bas.

    Le français Kermiche et le musulman Petitjean.

    La journée Burkini n'aura pas lieu. Encore heureux qu'ils n'aient pas envisagé la nuit Burkunu.

    L'obésité ferait vieillir le cerveau prématurément. L'expression "gros con" est donc scientifiquement fondée.

    Le Brexit booste le tourisme au Royaume-Uni. On savait bien que sortir de l'UE ça pouvait rapporter gros.

    A Perpignan un flic tue le mari de sa maîtresse. Par arme à feu. Ce n'était pas un islamiste. Un simple jaloux.

    François nomme une commission sur "les premiers temps de l'Eglise".
    En clair les femmes prêtres ce n'est pas pour après-demain.

    L'expression " germano-iranien " est apparue à la suite des événements de Munich.
    Agrémentez vos vacances en rafraîchissant vos connaissances en combinatoire. Calculez le nombre de nouvelles formes possibles qui pourraient apparaître dans les années à venir.
    On se limitera aux 197 pays représentés à l'ONU.

    Cazeneuve, mannequin pour boutique spécialisée dans l'habillement des hommes de petite taille, a assisté à la messe d'enterrement du Père Jacques.
    En général ces gens ne mettent pas les pieds dans une église.
    On se souvient de Michel Charasse à Jarnac à la disparition de Mitran, tenant en laisse la chienne Baltique à la porte de l'église pendant la cérémonie. Un inattentif lui avait même glissé cent sous, le prenant pour un clodo.

    Une brave française, ancienne élue FN, a été condamnée – deux mois avec sursis – pour avoir comparé un singe à Taubira. Un brave jeune de 20 ans devra comparaître devant le tribunal de Laval pour avoir soi-disant crié " Kassta povcon " devant une foule de quidam au sein de laquelle se serait fortuitement – et malencontreusement - trouvé Macron. Lequel n'a pas porté plainte. Des témoins prétendent qu'il n'aurait pas entendu.

    Il y aurait des dérapages au village olympique. Quoi d'étonnant. Le soir, après le turbin, on ne va pas se mettre à commenter Mallarmé. D'ailleurs on ne sait pas lire.
    Que peuvent bien faire ces plus beaux anabolisés du monde entier, des deux sexes – plus si affinité -, aux cerveaux libres après compétition quand tombe la nuit,complice de toutes les aventures ?
    On imagine de superbes suédoises, aux yeux pers, aux longues chevelures blondes et soyeuses se mêlant à des cafres de rêve, aux tons de bronze profond. Un eugénisme indépassable.
    Hitler en avait rêvé. Le CIO l'a fait.

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