mercredi 11 janvier 2017

L'abeille fait son miel des fleurs qu'elle rencontre

J’écris dans Monde et Vie que la France est encore un peu chrétienne, même quand elle est «mal» chrétienne. J’entends par là qu’il existe une culture, un substrat chrétien. Vous pouvez être athée autant que vous voudrez, votre athéisme ne sera jamais celui d’un athée japonais de culture shinto. Et je cite en exemple le «christianisme laïcisé» de Jaurès, «comme celui de Mélenchon». J’avoue avoir pensé aussi à Michel Onfray.
          
Le hasard fait que je tombe cette semaine sur deux citations – à moins que ce ne soit l’inverse et qu’elles ne me tombent dessus, pour illustrer mon propos. Je vous les donne, vous jugerez.
   
Jean-Luc Mélenchon, dans Famille Chrétienne:
«Avant de commencer notre entretien, nous offrons à Jean-Luc Mélenchon le dernier numéro de Famille Chrétienne. Il l’ouvre, son doigt tombe sur l’Evangile de Noël, le Prologue de Jean. Le texte est en français, mais lui le traduit instantanément: ‘‘In principio erat Verbum, et Verbum erat apud Deum, et Deus erat Verbum…’’. Il récite avec naturel, presque évidence, la voix plus basse que de coutume. Ancien servant de la messe tridentine, Jean-Luc Mélenchon n’a rien perdu de son latin. Ni de son enthousiasme : ‘‘ça c’est trop beau! C’est tellement… C’est vrai!’’»
Michel Onfray, qui publie Décadence. Le Point en offre quelques extraits dont celui-ci:
«La civilisation du rock, de la BD, du cinéma et de la télévision, de la boîte de nuit et de la tabagie, de la pilule et du divorce, de l’alcool et des produits stupéfiants, du Frigidaire et de l'automobile, de la bombe atomique et de la guerre froide, de l'amour libre et des loisirs, de l'argent et des objets, avance en broyant tout sur son passage. Vatican II ne peut rien y faire. II semble même qu'en ayant voulu être un remède le concile a augmenté la maladie: en faisant de Dieu un copain à tutoyer, du prêtre un camarade à inviter en vacances, du symbolique une vieille lune à abolir, du mystère de la transcendance une plate immanence, de la messe une scénographie décalquant le schéma de l'émission télévisée, du rituel une aventure puisant indistinctement dans le succès des chansons du moment ou dans l'art naïf des croyants les plus allumés, du message du Christ un simple tract syndicaliste, de la soutane un déguisement de théâtre, des autres religions des spiritualités valant bien celle du christianisme, l'Eglise a précipité le mouvement en avant qui annonçait sa chute.»
Qu’on ne s’y méprenne pas. Comme Michel Onfray, Jean-Luc Mélenchon défend «des positions à l’extrême opposé de celles de l’Eglise catholique» (Famille Chrétienne dixit). Mais de même que le philosophe: «lorsqu’il parle de foi, Jean-Luc Mélenchon évoque une réalité qu’il connaît en sa chair» (Famille Chrétienne toujours). Identité chrétienne…
    
Le plus souvent, c’est là qu’arrive un intégriste. Peu importe sa méthode: colère ou ricanement, elle sent toujours la même aigreur. L’intégriste fonctionne par grand système: «Vous qui êtes des nôtres, vous n’avez pas le droit de goûter Pius Parsch, qui célébrait avant l’heure ad populum». Ou encore «Puisque je vous désigne comme catholique-de-droite, vous n’avez pas le droit d’apprécier etc etc». Peu importe que cela vienne de dedans ou de dehors: c’est le même intégriste, le même gardien de camp intellectuel, qui vous interdit de quitter le sien – ou d’y poser le pied.
   

17 commentaires:

  1. Michel Onfray est même allé plus loin dans une interview sur RMC: il a dit que Vatican II avait mis le sacré dans notre dos.

    N'importe. Vatican II a mis à l'honneur "la foi athée". Avant vatican II, être un athée aux portes de l'Eglise n'était guère plus enviable que d'être un mécréant hors de l'islam.

    Et @Koztoujours de s'étonner de l'audience que rencontrent certains athées comme Michel Onfray dans les milieux catholiques! Il ne se rend pas compte que la reconfiguration de notre société, y compris par différence de peuplement,dessine de nouvelles frontières intellectuelles:

    -Il n'y a plus les chrétiens et les athées, mais les chrétiens de foi et les athées culturels issus du christianisme.

    Il n'y a plus "ceux qui croyaient au ciel et ceux qui n'y croyaient pas", il y a les ardents et les tièdes. Les ardents ont une fâcheuse tendance à l'intégrisme. Koz est un intégriste de la tiédeur, qui frappe le visage de ses frères à la face du monde. Ce monde qui leur a toujours été hostile, bien qu'ils aient longtemps été du côté du manche.

    -Le monde a toujours tourné le dos au christianisme, mais longtemps il s'est réclamé de lui; longtemps le sacré chrétien a rythmé le temps cyclique du monde; longtemps le monde s'est dit chrétien, au moins en Europe. Cela lui a conféré une liberté qui n'existait nulle part ailleurs. Cela a donné le monde libre. Il n'y a plus les royalistes et les communistes. Face à l'islam de la charia, il y a les partisans du monde libre et ceux de la théocratie. Le monde libre est issu de la séparation des pouvoirs instaurée par le Christ et par le christianisme. La théocratie ne tourne pas le dos au sacré, elle ne met pas le sacré dans le dos des sociétés, mais perpétue son lien avec la violence en le mettant au pouvoir et en confondant les pouvoirs. Rappelons que l'athéisme est interdit, même dans les sociétés musulmanes les plus avancées.

    -Face à l'islam de la charia, il n'y a pas les chrétiens et les musulmans. IL y a les chrétiens, partisans malgré eux du monde libre, et qui savent que ce n'est pas le pouvoir qui créée l'harmonie dans la société, et les musulmans qui ne sont pas partisans de la charia, et qui sont évalués aux deux tiers par une récente étude de l'Institut Montaigne.

    -Et face aux athées culturels issus du christianisme, il y a encore les chrétiens et les musulmans pour rappeler la Transcendance du Père, qui est plus qu'une assomption de l'"infini" ou du "sublime" dont parle Michel ONfray, en commençant le premier tome de la trilogie dont Décadence est le deuxième, par un éloge de son père. Nous ne sommes pas des petits bouts de conscience un moment enroulés dans le sublime, nous sommes reliés à l'Infini par notre père.

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  2. (suite)

    - Enfin, enfants du monde libre, nous le sommes à travers la Révolution américaine que nous avons permise et qui était une première décolonisation réalisée par les colons eux-mêmes, et à travers la Révolution française qui l'a suivie. Cette révolution a contre elle d'avoir créé la nouvelle europe, une Europe moins humaine, d'après la chrétienté. Mais elle a renversé cette ruse de l'histoire et ce non sens politique qu'était la civilisation chrétienne: une civilisation ne pouvait pas se réclamer explicitement du christianisme; l'Evangile ne capitalise pas, il est apolitique, il véhicule seulement des valeurs politiques. La Révolution a mis chacun face à sa conscience en lui permettant d'être athée. Deux siècles plus tard (un peu comme le moment Charlie n'était pas mûr au moment Charlie), elle permet la confrontation fraternelle des fils de l'Eglise et des fils de ceux qui voulaient "écraser l'infâme", en obligeant l'Eglise elle-même à tenir pour le monde libre et à se déclarer voltairienne malgré elle, à travers le pardon des offenses permis par le temps long de l'histoire. La Révolution réunit, dans son héritage assumé de gré ou de force, les ardents qui ont gardé la foi chrétienne ou la foi athée issue du christianisme, et qui veulent garder l'humanité issue de la civilisation chrétienne déposée par la Révolution, et la vertu théologale de charité, quand bien même elle prendrait le nom de solidarité. La Révolution réunit ces ardeurs conservatrices de l'humanité, bien qu'elles ne soient pas animées par la même espérance.

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  3. Sur Vatican II : Onfray comme les intégristes confondent les causes et les conséquences... mais il faut dire que c'est tellement plus facile : ça évite de réfléchir, ça dédouane aussi de ses propres responsabilités et ça évite enfin de prier...

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  4. Où voulez-vous en venir exactement ?
    VATICAN II quant à lui a cessé d'être considéré comme chose nouvelle : il était préexisté par la volonté de CELUI qui voulait rapprocher Dieu de nous : que cette messe ancienne ait été regrettée était compréhensible : mais maintenant elle est reconnue comme un bijou , un joyau, qu'il serait mal à propos de vous voir encore en tirer dispute à une EGLISE qui, a-t-elle tort ?- pense aux plus faibles. Et si d'une part votre ambition intellectuelle vous acclimate davantage aux nouvelles idées, c'est qu'en ce siècle....vous voilà vraiment et tristement moderne, de pauvres fifrelins qui feront plus tard la honte de votre paroisse. Une paix pourtant gagnée après...40 ans d'une lutte fratricide entre chrétiens, vous apparente aux bergers qui sèment le trouble et ne gardent pas leurs brebis, leur faisant porter des charges trop lourdes. Puissiez-vous avoir en vous la lumière de la vérité qui est en chaque homme dans son vécu personnel.
    j'ajoute que l'EGLISE ne "périclite" pas ; elle renaît. un siècle de luttes lui a fait grand mal : nous n'avions plus la charité. vous vous battiez (et encore maintenant)....pour la charité ! ou pour la cause de DIEU alors que pour DIEU : SA CAUSE C'EST NOUS. L'HOMME;SON SALUT ET SA VIE Ici-bas dans l'amour de lui et du prochain. chose inchangée dans tous les textes à relire :nous sommes plus vivants que jamais dans nos églises. venez voir; vous croirez.

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  5. Merci, monsieur l’Abbé, pour cet article qui, une fois de plus, nous montre que la Vérité fait souvent un bout de chemin chez ceux qui en paraissent les plus éloignés.

    C’est parfois, il est vrai aussi, au grand dam des "intégrissimes", comme les surnommait Mgr Ducaud-Bourget – pourtant peu suspect de modernisme ! – dans ses tout premiers sermons en chaire à Saint-Nicolas-du-Chardonnet (il y aura 40 ans cette année !...) : pour ces nouveaux docteurs de la (ou plutôt de leur) Loi, les étrangers à leur petit cénacle ne sauraient être que mécréants ou hérétiques, et les conversions toujours suspectes...

    Voilà qui me rappelle ce jour où un intervenant posta sur un forum tradi le lien d’une vidéo d’un magnifique Gloria de J.S. Bach, auquel j’ajoutai le sublime Agnus Dei de la messe du couronnement de Mozart (version Karajan/Kathleen Battle à St-Pierre de Rome 1985), dans la seule et commune intention de faire goûter aux autres la beauté incomparable de ces chefs d’œuvre. Intention, m’avait-il semblé, louable mais qui déclencha aussitôt une riposte pavlovienne et hors sujet de deux lecteurs objectant que ces pièces n’avaient pas leur place dans la liturgie, l’un en reproduisant un motu proprio de saint Pie X et l’autre en affirmant qu’elles exprimaient la « dégénérescence » de ladite liturgie...

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  6. Il serait mieux d`arrêter ce désir de revenir seulement à l ´ancienne messe....et comprendre que les deux rites vont continuer.
    Le mieux serait la paix dans l ´église, bien qu´avec diférents rites.
    Il faut précher l ´Évangile, ce que le monde a besoin. Et l ´unité parmi les catholiques, parce que les divisions aideront l ´Europe à se islamizer... Pensez.

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  7. Michel Onfray est semble il , un homme chercheur de verite.
    A t il pense a vivre ?
    et si son ambition est de savoir sil faut croire il comprendra peut etre que ce il faut est de trop. La vie, represente le terreau inalterable de toute verite, qu elle soit philosophique ou autre.
    La vie dans son courant le plus banal nous montre le reel de l existence. Quant a croire, non pas "qu est ce donc que vous croyiez" ? Mais "voulez vous" ? Un certain nicodeme s interrogeait de multiples facons toutes aussi logiques que anachroniques eu egard a la personne du christ qu il avait devant lui, ce dernier lui disant simplement comme il le dirait de nos jours facon Gilbert becaud "l amour c est moi!"
    je souris amicalement a ces philosophes et scientifiques plonges dans tous les livres de la terre....!
    Et de lancer cette tentation de l amour en ces termes celebres :
    Tu veux ou tu veux pas ?
    Et j imagine leurs nez acquilins se dresser et replonger dans une astonishment (quest ce que cest que ce truc, encore une connerie la dedans!) Oui quelque part une connerie c est sur.
    Bien a vous.

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  8. Dans leurs recherches les scientifiques chrétiens ne redoutent que la confrontation avec l’incohérence du monde. Mais la foi qui les habite leur murmure que ça n’arrivera pas. Alors ils redoublent d’efforts. (*)

    Vœux diplomatiques au Vatican
    La théologie de la berration.

    Nous entendons le pape et ses évêques sur l’accueil de l’autre. Nous serons très attentifs quand les imams prêcheront le retour des musulmans dans la maison de l’islam. C'est-à-dire quand les poules ne seront plus des sans-dents.

    Trump. Du nanan.

    - Commentez la primaire des gauches.
    - Une foire exposition formidable où sont présentés tous les derniers gadgets pour la destruction des nations : renforcement de l’UE, motus sur l’immigration, rideaux de fumée inaltérables pour dissimuler les effets pervers des religions contestables, verrous haute sécurité pour le contrôle de la liberté d’expression. Pour le premier grand prix sont en compétition deux inventions exceptionnelles : le revenu universel et l’héritage initial universel.
    Pour le salon de 2022 on prévoit d’ores et déjà le diplôme universel, la longévité universelle, et le QI universel. A quand la mémoire universelle ?

    Après la Fillonnade, le défillonnage ?

    Ceux dont la foi en Jésus reste ontologiquement opaque sont avant tout et au premier chef des gens qui n’ont pas de bol.

    Chaque homme participe au désordre du monde. C’est la (bonne) raison pour laquelle les rênes des gouvernements ne peuvent pas être confiées à n’importe qui.

    Après la bataille
    -Il ne voulait faire que 5 ans. Pris au débotté il en fera 0. Face à sa cheminée, devant laquelle il a rangé sa célèbre paire de chaussures, il s’est assis. Sereinement il attend la fin. Jusqu’au bout il aura été inélégant.
    -Bruno de Vesoul n’est pas qu’intelligent. Il est beau.
    -NKM passionaria chlorotique exaltée, bobote pantruchienne extatique ; pourra être à Fillon ce que Dati fut à Sarko. Une em…
    -Copé. En débris du côté de Meaux
    -Les adieux de Sarko nous surprirent. Empreints d’une émotion retenue et d’une réelle élégance ils nous laissèrent perplexes. Ce personnage si décrié, rejeté, souvent vulgaire, dissimulait-il, derrière une façade publique, une personnalité sensible et délicate ?

    Dans les premiers temps les hommes se rassemblèrent en groupes. Un instinct en rapport avec l’efficacité. Alors l’altérité s’installa, composante essentielle du concept de civilisation.
    Quand les groupes s’étoffèrent en quantité et atteignirent une masse critique on les appela nations.
    Alors le Christ, quand il fut physiquement parmi nous, les reconnut et dit à ses disciples « Allez les enseigner toutes ».
    Certaines nations, proches dans l’espace et dans le temps, par affinité et proximité, constituèrent des ensembles plus ou moins harmonieux qu’on appela improprement des blocs de civilisation.
    Des auteurs récents en firent le décompte, et sous leur plume la terre prit l’aspect d’un kaléidoscope fortement secoué.
    Ce découpage cahotique n’a pas toujours plu à tout le monde et il y eut dans le passé des esprits forts, des fortes têtes, qui estimaient cette situation désolante. Ils se firent alors les théoriciens puis les artisans d’un projet unifiant toutes les nations, tous blocs confondus, en une seule et unique entité.

    Il faut bien reconnaître que la charité, surtout dans sa version bizness, est un adjuvant inaltérable de ce projet dissolvant : la destruction des civilisations et l’édification de la Terra Nova.

    (*) Rappelons que le père fondateur de la cosmologie moderne est un ecclésiastique, Monsieur l’Abbé Lemaître, professeur à l’Université catholique de Louvain.

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  9. Affaires Etranges

    1. Pas plus que Trump ne se trompe, Trump trompe. Sa sortie sur Frau Merkel, chancelière de mille ans, est d’une lumière percutante. Héritière des 2 Guillaume, le numéro 1 et le numéro 2, qui propulsèrent la race germanique installée au cœur de l’Europe dans des affrontements barbares et qui furent 20 ans après leur dernier méfait relayés par un monstre titanesque d’un nouveau genre, voici que l’actuelle Germania, gérante en chef d’un continent affaissé par 3 guerres - dont 2 mondiales – est accusée par le gros bébé rose blond américain d’avoir donné le coup de grâce avec ses myriades migrantes.

    Fille d’un pasteur de RDA – ce qui est déjà beaucoup – elle fut appuyée dans son opération par un chef catholique, apostolique et romain, lequel ne verrait dans la disparition de l’Europe charnelle que la renaissance de l’Eglise en d’autres régions du monde, plus propres – une relocalisation en quelque sorte – où des peuples jeunes et purs attendent leur juste salut, spirituel et matériel, depuis trop longtemps.

    L’Europe kaputt.
    Le Donald du nouveau monde regarde avec inquiétude l’irruption du tiers monde dans le monde ancien.

    Tout compte fait le dernier allemand que nous aimâmes c’est ce cher Benoît 16.

    2. « …Nous visions particulièrement la partie anti-allemande de l’État-Major turc, sous la direction de Mustapha Kémal ; ces éléments étaient d’une « turquerie » trop chatouilleuse pour dénier un droit d’autonomie aux provinces arabes de l’empire ottoman…Les militaires turcs commencèrent à se plaindre des dévots qui mettaient les reliques avant la stratégie…
    On nous offrit d’abord l’autonomie pour le Hedjaz. Puis la Syrie fut admise au même bénéfice ; enfin la Mésopotamie…on ajouta hardiment une couronne de roi à la part du chérif Hussein de La Mecque...Enfin les Turcs avouèrent que la prétention de la famille du Prophète au gouvernement spirituel de l’Islam ne manquait pas de logique !
    …les musulmans vieux-jeu jugeaient le chérif un pêcheur impardonnable. Les modernistes, au contraire, le considéraient comme un nationaliste sincère mais impatient, égaré par les promesses de l’Angleterre…
    Leur plus forte carte était le traité Sykes-Picot par lequel l’Angleterre, la France et la Russie se partageaient la Turquie dans le meilleur style diplomatique…les français et nous avions voulu cacher une divergence politique réelle sous l’emplâtre d’une formule assez vague pour que chacun l’interprétât à sa façon. » Les Sept Piliers de la Sagesse Ch. 101

    Sykes et Picot : Laurel et Hardy au Moyen-Orient.

    Malgré les promotions annuelles des jeunes gens coquets du Quai, les universitaires et leurs thésards, les écrivains free-lance, les départements entiers du Cnrs, les cénacles de diplomates chenus, les fondations Machin, les cercles Truc, les instituts de recherche sur l’Orient compliqué, sur les études islamiques, sur la géopolitique méditerranéenne ; les conférences des ambassadeurs, les multiples Sciences-Po, l’Onu et toutes les organisations internationales spécialisées; les dizaines (centaines) de milliers de muscadins, le fard aux joues, l’œillet à la boutonnière, rétribués honorablement, il semblerait que nous n’ayons guère progressé depuis un siècle dans la compréhension de l’entité turque.

    On se rappelle la réflexion ironique de l’ancien chef de l’état : « Si la Turquie était en Europe, cela se saurait ».
    « Que la Turquie ne soit plus en Europe, cela devrait se savoir » serait une formule plus adaptée à notre temps.

    Nous n’oublions pas que cette terre fut non seulement européenne mais chrétienne. Nos amis turcs seraient bien inspirés, pour la paix du monde, de retourner dans leurs régions originelles, à l’ombre des Monts Altaï. Une migration dans le bon sens.

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    1. Nihil nove sub sole.
      Au XIX ème siècle la France du Second Empire suivit ( servilement ?) la Grande Bretagne dans un conflit contre la Russie au prétexte que celle-ci se prétendait "défenseur des Lieux Saints" . Ce fut la guerre de Crimée. Pour ,aussi,empêcher que Constantinople devienne russe.La Mer Noire serait devenue une Mer Russe et la Méditerranée Orientale partagée , la route maritime des Indes risquait alors d'être menacée tandis qu'à l'autre bout , le Grand Jeu , ce même Empire Russe tentait de se frayer un (autre)accès aux mers chaudes.
      Waterloo a traumatisé les dirigeants français pour longtemps , au point que durant l'entre deux guerres du XX ème siècle la politique étrangère de la 3 ème République se faisait à Londres , qui poussait Mussolini, ami de la France , dans les bras d'Hitler!
      La suite est connue .
      Bis repetita.

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  10. Trump, s’il te plait, dessine-moi un mouton.

    Elle s’exprime bien devant la caméra. Une personne sérieuse, nette, des vêtements propres, neutres. On l’imagine en fac : socio, psycho, com, histoire... Elle n’est pas là pour rigoler. Elle s’attend à être traitée avec attention.
    C’est une « jeune socialiste ». Elle est responsable de sa section. Elle est mal à l’aise car ses camarades roulent pour Hamon. Elle, son idole, son prince, c’est Mano le Baffé.
    Gentiment elle se confie. Elle vient d’une gentille ville du grand Nord-Est qu’elle adore où elle compte bien retourner ses études faites. Touchante, elle rêve d’avoir un jour l’honneur d’en être la représentante à l’Assemblée Nationale.
    Un moment banal de télévision, sans importance, qui va s’effacer instantanément de la mémoire.
    Soudain une fibrillation d’un paquet de neurones. Un flash. Ne vient-on pas de voir passer, genre mis à part, le Valls des années 80, mâchouillant une licence d’histoire à Paris I, ses dents raclant déjà le parquet ?
    Ce n’est que cela ces gens qui disposent – qui disposerons ? – de nous. De petits êtres embrigadés dès le jeune âge, unidimensionnellement « social », corsetés dans les théories des idéologues allumés du XIXème siècle.
    Pas plus qu’ils veulent protéger, ils veulent conserver la grande nation française. Ce qu’ils veulent c’est la diriger. On fait ce qu’on peut.

    L’infortuné Fillon, au lieu de peaufiner, jour après jour, les projets indispensables à la survie du pays a dû se plonger dans la « querelle des investitures », se prémunir contre une majorité parlementaire mitée par des frondeurs.
    Le différend Dati-NKM a été réglé. A l’avantage de la chlorotique. Reste tout de même à trouver pour l’autre ménade une circonscription totalement imperdable sauf à devoir la parachuter in partibus.

    Lamballe, charmante ville, est célèbre pour sa malheureuse Princesse qui au terme d’une douce existence très protégée s’en fut visiter Paris, la tête au bout d’une pique.
    Cette cité s’honore aujourd’hui d’une seconde célébrité, la tapette de Lamballe. Tapette : petite tape, mot formé avec un diminutif classique ; comme dans belette, ablette, carpette ou rouflaquette.
    Il s’agit d’un incident scandaleux à plus d’un titre.
    Malgré les passages en boucle, champ et contrechamp, les faits ne sont pas avérés. Y a-t-il eu contact ?
    Mais ce qui choque le plus c’est la réaction brutale, barbare, totalement disproportionnée subie par un grand gamin dégingandé, un Saint-Jean aux cheveux bouclés, qui encaissa de la part d’un individu qui ne se contrôlait plus une ruade bestiale à sectionner sans bavures la colonne vertébrale.
    Le soi disant agressé n’en était d’ailleurs pas à sa première mésaventure. Il était au courant des risques qu’il prenait. Sa responsabilité est donc engagée.
    On apprenait ensuite, par un intervenant radiophonique, que le malheureux jeune homme molesté avait agi en conformité et avec l’assentiment de 60 millions de ses compatriotes. Malgré cette représentation démocratique il fut immédiatement condamné par le premier prétoire disponible à verser 1€ à sa victime.
    Une solution plaisante s’offre : que chacun des 60 millions de complices verse 1 €. Une somme coquette pour l’agressé qui pourrait abandonner son dangereux métier et refaire sa vie. Par exemple dans l’importation du jambon pata negra pour la France et l’Europe du Nord.

    Malgré l’opposition affirmée des spécialistes les plus éminents – logiciens, linguistes, philologues, grammairiens, psycho pédagogues – notre grande maîtresse de l’Université, charmante personne qui nous vient de là-bas, impose la réforme du prédhikat.
    Ainsi la phrase « Jules aime Robert » se décompose en « Jules », sujet et « aime Robert », prédhikat.
    Pareil pour :
    « Jules aime Robert, qui aime Fernand adoré d’Adolphe, est présentement avec Hector qui avait vécu plusieurs années auparavant avec Isidore après que ce dernier, échaudé par une passion tumultueuse avec un cousin germain – par les hommes – de Gabriel, son ex, pendant deux lustres, fut sorti, non sans mal… ».

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  11. Trump, s’il te plait, dessine-moi un mouton.

    Elle s’exprime bien devant la caméra. Une personne sérieuse, nette, des vêtements propres, neutres. On l’imagine en fac : socio, psycho, com, histoire... Elle n’est pas là pour rigoler. Elle s’attend à être traitée avec attention.
    C’est une « jeune socialiste ». Elle est responsable de sa section. Elle est mal à l’aise car ses camarades roulent pour Hamon. Elle, son idole, son prince, c’est Mano le Baffé.
    Gentiment elle se confie. Elle vient d’une gentille ville du grand Nord-Est qu’elle adore où elle compte bien retourner ses études faites. Touchante, elle rêve d’avoir un jour l’honneur d’en être la représentante à l’Assemblée Nationale.
    Un moment banal de télévision, sans importance, qui va s’effacer instantanément de la mémoire.
    Soudain une fibrillation d’un paquet de neurones. Un flash. Ne vient-on pas de voir passer, genre mis à part, le Valls des années 80, mâchouillant une licence d’histoire à Paris I, ses dents raclant déjà le parquet ?
    Ce n’est que cela ces gens qui disposent – qui disposerons ? – de nous. De petits êtres embrigadés dès le jeune âge, unidimensionnellement « social », corsetés dans les théories des idéologues allumés du XIXème siècle.
    Pas plus qu’ils veulent protéger, ils veulent conserver la grande nation française. Ce qu’ils veulent c’est la diriger. On fait ce qu’on peut.

    L’infortuné Fillon, au lieu de peaufiner, jour après jour, les projets indispensables à la survie du pays a dû se plonger dans la « querelle des investitures », se prémunir contre une majorité parlementaire mitée par des frondeurs.
    Le différend Dati-NKM a été réglé. A l’avantage de la chlorotique. Reste tout de même à trouver pour l’autre ménade une circonscription totalement imperdable sauf à devoir la parachuter in partibus.

    Lamballe, charmante ville, est célèbre pour sa malheureuse Princesse qui au terme d’une douce existence très protégée s’en fut visiter Paris, la tête au bout d’une pique.
    Cette cité s’honore aujourd’hui d’une seconde célébrité, la tapette de Lamballe. Tapette : petite tape, mot formé avec un diminutif classique ; comme dans belette, ablette, carpette ou rouflaquette.
    Il s’agit d’un incident scandaleux à plus d’un titre.
    Malgré les passages en boucle, champ et contrechamp, les faits ne sont pas avérés. Y a-t-il eu contact ?
    Mais ce qui choque le plus c’est la réaction brutale, barbare, totalement disproportionnée subie par un grand gamin dégingandé, un Saint-Jean aux cheveux bouclés, qui encaissa de la part d’un individu qui ne se contrôlait plus une ruade bestiale à sectionner sans bavures la colonne vertébrale.
    Le soi disant agressé n’en était d’ailleurs pas à sa première mésaventure. Il était au courant des risques qu’il prenait. Sa responsabilité est donc engagée.
    On apprenait ensuite, par un intervenant radiophonique, que le malheureux jeune homme molesté avait agi en conformité et avec l’assentiment de 60 millions de ses compatriotes. Malgré cette représentation démocratique il fut immédiatement condamné par le premier prétoire disponible à verser 1€ à sa victime.
    Une solution plaisante s’offre : que chacun des 60 millions de complices verse 1 €. Une somme coquette pour l’agressé qui pourrait abandonner son dangereux métier et refaire sa vie. Par exemple dans l’importation du jambon pata negra pour la France et l’Europe du Nord.

    Malgré l’opposition affirmée des spécialistes les plus éminents – logiciens, linguistes, philologues, grammairiens, psycho pédagogues – notre grande maîtresse de l’Université, charmante personne qui nous vient de là-bas, impose la réforme du prédhikat.
    Ainsi la phrase « Jules aime Robert » se décompose en « Jules », sujet et « aime Robert », prédhikat.
    Pareil pour :
    « Jules aime Robert, qui aime Fernand adoré d’Adolphe, est présentement avec Hector qui avait vécu plusieurs années auparavant avec Isidore après que ce dernier, échaudé par une passion tumultueuse avec un cousin germain – par les hommes – de Gabriel, son ex, pendant deux lustres, fut sorti, non sans mal… ».

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  12. Nous nous souviendrons longtemps que le député Georges Fenech a été le premier à lâcher.

    Pour le dire autrement. Mercredi 1 Février 2017, 15 h : Fenech, lâche.

    Nous prions pour un « couple » dans la tourmente. Que Dieu les garde.

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  13. Malgré le vent mauvais qui souffle sur notre pays deux nouvelles de l’étranger viennent nous réconforter :
    - Le parlement britannique lance le Brexit.
    - Trump déclare les médias ennemis publics.

    Une autre bonne nouvelle nous vient du pays de Trump : Les avorteurs, avorteuses et les petits fétus découpés commencent à raser les murs.

    Quand au Canada il vient de décider d’accueillir toute la misère du monde. On respire. Merci Trudeau.

    La dernière tentation du Sandan : Macron promu, Valls cocu.

    Le mariage est une institution si nécessaire qu’en Suisse on procède à des mariages forcés.

    La profession de foi des petits soldats de Hegel et de ses séides du XIXème siècle : Notre mission est de détruire, non de construire.

    Le socialisme transforme les victimes en tyrans. L’esclave ne s’affranchit qu’en asservissant à son tour. La transformation est univoque.

    Astérix c’est que dalle à côté de Donald Duck.

    Sans le « culturel » dont il procède le « social » n’est rien.

    La beauté ? On ne peut pas vivre dans un monde où l’on croit que l’élégance exquise du plumage de la pintade est inutile. [Giono]

    La guerre d’Algérie. Ce n’était pas une guerre. C’était une manière d’en finir avec une erreur de 130 ans. Pour nous. Pas pour eux.

    Macron, Hamon, Mélenchon, les 3 éons de la gauche.

    Notre Abbé se fait du souci pour les théologiens du futur. Ceux-ci auront à s’expliquer sur les embryons chimères contenant des cellules souches humaines et porcines. Surtout les théologiens musulmans.
    En revanche no problem pour les nouveaux enfants anglais, de sexe masculin, fabriqués avec la participation de 3 parents. Ils seraient, paraît-il, dotés de 3 testicules.

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  14. Les spécialistes s’occupant du plan B il appartient aux classes populaires, et même populistes, de s’occuper des plans suivants.
    Les propositions n’ont pas manqué. En voici une première liste (par ordre alphabétique).

    Plan C. LR ne présente pas de candidat. [Le meilleur plan]

    Plan D. Fillon continue. 2 variantes.
    D1. En étant innocenté.
    D2. En étant mis en examen.

    Plan E. Fillon est viré par ses potes. 4 variantes.
    E1. Innocenté, il se représente.
    E2. Innocenté, il ne se représente pas.
    E3. Mis en examen, il se représente.
    E4. Mis en examen, il ne se représente pas.

    Plan F. Fillon abandonne. Il est remplacé par un seul candidat avec l’assentiment de tous. [Improbable]

    Plan G. L’élection est reportée à la rentrée pour permettre aux « électeurs de la droite et du centre » de refaire la primaire – avec ou sans Fillon.
    La gauche pourrait en profiter pour refaire la sienne (rendre justice à Benhamias).

    Plan H. Le Président actuel est reconduit dans ses fonctions pour un nouveau mandat, prorogé jusqu’en 2022.

    Plan I. Attention ! Sarko revient.

    Plan J. Juppé rechausse ses bottes.

    Plan K. L’ensemble des obédiences présentent Barouin.

    Plan L. Blayrou fait son tour de piste habituel. Cette fois c’est pour emmerder Macronick. Il arrive à récupérer quelques centaines d’électeurs de l’« ex-Fillon ».

    Plan M. Dupont-Machin augmente son score habituel de 0,5 %.

    Plan N. L’hypothèse d’une candidature féminine fait son chemin. Dans les gynécées on parle de plus en plus de Pécresse, NKM, MAM, R. Dati, Boutin.

    Plan P. Ressortir Chirac.

    Plan P’. Ressortir Giscard.

    Plan R. Tirage au sort sur une liste d’aptitude. [La voie électorale étant considérée comme un choix sur une liste d’inaptitude]

    Plan S. Réservé pour l’affectation des Régiments de Chasseurs Parachutistes au musée du Louvre.

    Plan T. Trump candidat unique.

    Plan U. Tirage au sort entre les titulaires du bac ante-Haby.

    Plan V. Vigipirate.

    Plan W. Attendre et voir.

    Plan X. Voter pour.

    Plan Y. Se rallier à Tsipras.

    Plan Z. Vive Zonzon.

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  15. A son jour de gloire, Fenech nous a opportunément rappelé que sur le Titanic on piétina femmes et enfants pour monter dans les chaloupes.

    Fenech, député, mémorable et impayable, va-t-il devoir effectuer sa traversée du désert ?

    Ceux qui sont dans la cynégétique savent que la chasse aux fennecs n’ouvrira pas cette année.

    L’essentiel est invisible pour les yeux, dit le fennec, c’est pour cette raison que depuis des siècles nous sommes constamment réélus.

    Sarko a été bien inspiré de perdre la primaire. Le voilà mis en examen. On aurait été beau !
    On ne sait jamais, Juppé avait ciré ses bottes. Pour rien.

    Les politiciens de tous les pays peuvent respirer un bon coup. Fillon vient de demander pardon pour toute la corporation.

    Pénélope la Galloise - femme douce et réservée, épouse fidèle, serviable à la ville comme au foyer, mère chargée d’enfants - les vieux Français ne sont pas racistes, ils t’aiment.

    Français, suivez pour une fois l’exemple venant d’en haut. Balancez vos fiches de paie et vos déclarations de patrimoine sur Internet.
    Transparence pour tous. La partouze du contribuable.
    Du coup on rase la moitié de Bercy et on vire 60.000 fonctionnaires.

    L’œil du cyclope va décoller son regard gluant du couple François-Pénélope et va se mettre en acquisition de la cible Macro Nick and Mum. Rêvons !

    Macron aurait une double vie. C’est parti. Attention mon gars ! Quand ils te tiennent ! Fillon, ils lui ont tout fait mais pas ce truc-là.

    Macron dans la lune !

    Trump Donald et Macro Nick ne sont pas dans le même bateau. Si Donald ne tombe pas à l’eau, Nick retournera chez l’oncle Schildsou.

    Malgré le vent mauvais qui souffle sur notre pays deux nouvelles de l’étranger viennent nous réconforter :
    - Le parlement britannique lance le Brexit.
    - Trump déclare les médias ennemis publics.

    Une autre bonne nouvelle nous vient du pays de Trump : les avorteurs, les avorteuses et les petits fœtus commencent à raser les murs.

    Quand au Canada il vient de décider d’accueillir toute la misère du monde. On respire. Sacré Trudeau.

    Le Canada : quelques arpents de forêt et de terre arabe.

    Vive le Québecstan libre !

    Après le désert, les arabes des neiges.

    Quand tous les arabes seront au Canada Trump construira le mur du Nord.

    La dernière tentation du Sandan : Macron promu, Valls cocu.

    Hollande est-il encore vivant ?

    Macron, Hamon, Mélenchon, les 3 taons de la vallse.

    En 2016, dernière année pleine du petit rondouillard, le déficit commercial a crû de 48 M. Bof !

    « Nous ne sommes pas là pour construire mais pour détruire » [C. De Gauche]

    Hamon « fait » dans l’autodérision. C’est se mordre la queue.

    Le mariage est une institution si nécessaire qu’en Suisse on procède à des mariages forcés.

    Sans le « culturel » dont il procède le « social » n’est rien.

    La beauté ? On ne peut pas vivre dans un monde où l’on croit que l’élégance exquise du plumage de la pintade est inutile. [Giono]

    La guerre d’Algérie. Ce n’était pas une guerre. C’était une manière d’en finir avec une erreur de130 ans. Pour nous. Pas pour eux.

    Nouvelles des Sciences et des Techniques
    Notre Abbé se fait du souci pour les théologiens du futur. Ceux-ci auront à s’expliquer sur les embryons chimères contenant des cellules souches humaines et porcines. Surtout les théologiens musulmans.
    En revanche no problem pour les nouveaux enfants anglais, de sexe masculin, fabriqués avec la participation de 3 parents. Ils seront, paraît-il, dotés de 3 testicules.

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  16. Pénélope la Galloise - femme douce et réservée, épouse fidèle, serviable à la ville comme au foyer, mère chargée d’enfants - les vieux Français ne sont pas racistes, ils t’aiment.

    Les politiciens de tous les pays peuvent respirer un bon coup. Fillon vient de demander pardon pour toute la corporation.

    Français, suivez pour une fois l’exemple venant d’en haut. Balancez vos fiches de paie et vos déclarations de patrimoine sur Internet. Transparence pour tous.

    Si la politique était un métier où on ne peut pas se faire du fric cela se saurait.

    L’essentiel est invisible pour les yeux des électeurs, dit le fennec, c’est pour cette raison que depuis des siècles nous sommes constamment réélus.

    L’œil du cyclope va décoller son regard gluant du couple François-Pénélope et va se mettre en acquisition de la cible Macron and Mum. Rêvons !

    Les ralliements macroniques se multiplient. Après le maire de Lyon voici que celui de Marseille se tâte. Pour le moment il reste avec Fillon, cet écœurant orthodoxe.

    N’en voyant jamais dans son quartier, Macron s’est résolu à traverser la Méditerranée pour rencontrer des algériens. Des échanges fructueux au cours desquels on s’accorda sur les insoutenables méfaits des barbares blancs venus du Nord. On parla de crimes contre l’humanité. Du coup on évoqua l’Allemagne. Mamacron, toujours sautillant d’idées rappela l’existence de ARTE, symbole du rapprochement franco-germanique. Pourquoi-pas AKBARTE pour l’union fraternelle des peuples français et algériens ?
    Les voyages forment la jeunesse.


    L’Elysée-Montmartre, salle fameuse, abritera la rencontre entre Macron - star Américaine - à ma gauche et Fillon - étoile Russe - à ma droite. Le vainqueur affrontera pour le titre la championne de la France.

    Le Canada qui nous vend le CETA vient de décider d’accueillir toute la misère du monde. On respire. Sacré Trudeau.
    Le Canada : quelques arpents de forêt et de terre arabe.
    Vive le Québecstan libre !
    Après le désert, les arabes des neiges.
    Quand tous les arabes seront au Canada Trump construira le mur du Nord.

    La dernière tentation du Sandan : Macron promu, Valls cocu.

    Hollande est-il encore vivant ?

    Macron, Hamon, Mélenchon : la gauche à trois taons. Désormais Valls a tout son temps.

    En 2016, dernière année pleine du quinquennat mirobolant, le déficit commercial a crû de 48 M. Bof !

    Hamon « fait » dans l’autodérision. Un chaton qui se mord la queue.

    Le mariage est une institution si nécessaire qu’en Suisse on procède à des mariages forcés.

    Sans le « culturel » dont il procède le « social » n’est rien.

    La beauté ? On ne peut pas vivre dans un monde où l’on croit que l’élégance exquise du plumage de la pintade est inutile. [Giono]

    La guerre d’Algérie. Ce n’était pas une guerre. C’était une manière d’en finir avec une erreur de 130 ans. Pour nous. Pas pour eux.

    Nouvelles des Sciences et des Techniques
    Notre Abbé se fait du souci pour les théologiens du futur. Ceux-ci auront à s’expliquer sur les embryons chimères contenant des cellules souches humaines et porcines. Surtout les théologiens musulmans.
    En revanche les derniers travaux des chercheurs anglais sont encourageants. Ils se mettent à fabriquer des bébés avec la participation de 3 parents (deux hommes, une femme ou un homme deux femmes ou autre). Les enfants mâles seraient dotés de 3 testicules.

    « Non, le Pape n’est pas responsable de la crise migratoire. » Père Christian Venard
    Nous, non plus !

    Nous autres chrétiens, n’attaquons jamais la religion, mais souvent les religieux.

    En Suisse les églises réformées s’étonnent : « Les non-pratiquants veulent encore le baptême ». Quelle impudence !

    Nous savons gré à ce prêtre réunionnais de son choix judicieux de l’Evangile du 6ème Dimanche du temps ordinaire.
    Ce fut pendant le magistère du premier Pape du Tiers-monde.

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