Chers amis, je veux partager avec vous ma joie : demain nous allons inaugurer à Domrémy la statue La vocation de Jeanne de Boris Lejeune. Certains d'entre vous ont donné pour que cette statue voit le jour : qu'ils en soient remerciés. Cette statue renouvelle complètement l'iconographoie johannique : au lieu d'une guerrière engoncée dans son armure, c'est une jeune fille qui s'élance et qui nous fait signe de la suivre. Non pas de la suivre pour elle-même, parce qu'elle serait la plus belle, mais de la suivre pour les combats de Dieu.
Comment peut-on parler de combats de Dieu ? demanderont certains d'entre vous. Les deux mots jurent. Ils sont incompatibles. Dieu ? C'est la paix... pense-t-on depuis les philosophes grecs : "Là tout n'est qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté"... En sommes-nous si sûrs ? La raison nous rassure... Mais la foi ? "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" avons nous lu ce matin dans l'extraordinaire rite que je célèbre avec joie. Dieu parfois nous sépare de ceux qui veulent vivre sans lui. Mais surtout Dieu nous sépare de nous-mêmes, comme par "le glaive de l'Esprit qui est la Parole de Dieu". Au lieu de nous laisser crever dans nos préjugés, dans notre moitrinerie, il nous aide à prendre toujours une distance par rapport à nous même (ce que nous montre très bien le pape François, insistant sur le discernement). Mais cette distance - il faut le dire - est vécue à un moment ou à un autre comme une coupure. Elle peut faire mal.
Jeanne n'a pu obéir à Dieu et extorquer à Baudricourt un cheval et une escorte qu'à partir du moment où elle a cessé de s'écouter elle-même. C'est pour cela qu'elle a eu besoin de ses voix : pour ne plus avoir à s'écouter elle-même. Sa raison lui disait bien qu'une jeune fille de 17 ans, dans le contexte de l'armée française, ça ne pouvait être qu'une fille à soldats. Son père le lui disait aussi. Elle a préféré ses voix et elle a délivré la France. Elle a appris à la France à être française. Tout ça ? Oui en vertu de la séparation qu'elle a su établir entre sa vie au souffle de l'Esprit et elle-même, ses légitimes aspirations, sa prudence, ce que lui disait le monde ce que lui criait son père.
Pour Charles Péguy (dans L'Argent suite) c'est ce qui fait de Jeanne quelque chose comme la mesure de la France. La France est française lorsqu'elle aspire à plus grand qu'elle-même. La France st française lorsqu'elle est conduite au combat par Jeanne d'Arc : "C'est dire que plus une bataille militaire est belle, militairement belle, plus elle est apparentée aux batailles de Jeanne d'Arc [qui sont des batailles "de vocation"]. Celui qui défend la France est toujours celui qui défend le Royaume de France. Celui qui ne rend pas une place peut être tant Républicain qu'il voudra et tant laïque qu'il voudra. J'accorde même qu'il soit libre penseur. Il n'en sera pas moins petit cousin de Jeanne d'Arc. Et celui qui rend une place ne sera jamais qu'un salaud, quand même il serait marguillier de sa paroisse (et quand même il aurait toutes les vertus)". Qui a été plus éloquent sur la France, notre bien commun à nous Français, non pas un sujet qui divise et idéologise, mais un amour qui rassemble. Cet amour qui rassemble tous les Français au delà de leurs appartenances idéologiques faisait dire à Péguy : "Valmy et Jemmapes sont les droites filiales de Patay [grande victoire de Jeanne sur Bedford]"
Mais je ne résiste pas à vous donner la suite du texte, même si il a moins de rapport avec ce qui nous occupe. Je crois quand même qu'il concerne aussi Jeanne, parce qu'il peut s'appliquer à chacun d'entre nous : "Et puis on s'en fout de ses vertus [les vertus de celui qui garde une Place]. Ce qu'on demande à l'homme de guerre ce n'est pas des vertus. Et ce que Jeanne demandait à ses hommes, ce n'était pas des vertus, c'était une vie chrétienne. Et c'est infiniment autre chose. La morale a été inventée par les malingres et la vie chrétienne a été inventée par Jésus-Christ" (qui n'était certes pas une petite nature : il suffit de regarder son image sur le Suaire).
Ce que Péguy a tant aimé en Jeanne ? Je me le suis souvent demandé. Pourquoi Jeanne ? Parce qu'elle manifestait dans sa geste la prégnance de Dieu, l'immanence du surnaturel sur notre terre ? Sans doute. Mais il y a une autre raison, une pensée de derrière. Laquelle ? Je crois que sa pensée de derrière sur Jeanne, c'est exactement ce qu'il est en train de nous dire là : Jeanne d'Arc n'était pas une grande observante de la morale bourgeoise, sinon elle ne serait pas allée aux armées avec ses dix-sept ans et son sourire : trop dangereux ! Elle aurait obéi à son père. Pourquoi a-t-elle désobéi ? Parce que l'Esprit l'a comme séparée d'elle-même d'une manière irrévocable. Sa vocation en elle a été plus forte que la précaution morale. C'est ce qui touche au coeur Péguy, c'est là qu'il se sent une fraternité d'âme avec la petite inflexible de Domrémy : lui non plus n'a jamais été un prudent. Il l'a payé assez cher sur le front en 14. Cette imprudence, c'était sa manière de dire à tous qu'il préférait sa vocation au courage, à la grandeur et au renoncement, plutôt que la morale de l'arrière et des planqués.
Merci Père Guillaume, d'avoir pensé à nous poster ce magnifique billet, à la veîlle de cette inauguration si attendue, et à laquelle vous avez tant oeuvré. Votre joie combien méritée, est communicative, je peux vous l'assurer, et nous fait partager cet évènement qui fera date, à n'en point douter.
RépondreSupprimerJe penserai bien à vous ce matin, et devant me trouver au sud de Nancy, mardi prochain, je vais essayer de me rendre à Domrémy, rien que pour admirer cette nouvelle statue de Jeanne.
belle réflexion en forme de coup de pied au fondements de morale bourgeoise qui déforme souvent la morale catholique... Ce que vous dites là rejoint fortement ce que dit le Pape François dans son tout récent (vendredi) discours aux catéchistes : le chrétien doit sortir de lui-même pour aller vers les autres et pour aller à la périphérie : là où il imagine le moins devoir aller... Et sur ce il nous fait un petit coup de Jonas ! Du coup, on ne sait plus qui, de vous ou de lui, a lu l'autre en premier ;-) mais cette convergence de pensées est intéressante, voire rassurante !
RépondreSupprimerPour aller plus que cette belle fin de citation je conseille "Dieu ou l'éthique" chez l'Harmattan. Le nom des auteurs m'échappe, flûte! Louis
RépondreSupprimerJe déteste Jeanne d'Arc. Sans elle l'Angleterre et la France ne feraient qu'un seul Etat. Tous les ans je vais pieusement me recueillir dans la chapelle de la Vierge de la Cathédrale de Lisieux où reposent les restes de l'Evêque Cauchon de vénéré mémoire. Tout ce qu'on raconte sur ses "voix", ce ne sont que des calembredaines. God save the King or Queen.
RépondreSupprimerMagnifique statue de Jeanne ! Elle nous montre bien plus que la mission française, certes importante mais qui ne nous dit pas tout de la mission Johannique. En effet, le fait qu’elle ne porte pas d’armure et qu’elle s’élance ainsi, à la fois féminine et forte comme un guerrier (comme il est dit dans le commentaire de la vidéo) nous montre l’élan chrétien de celui qui ne regarde plus en arrière et qui part vers sa Vocation. Oui, cette statue je la résumerais ainsi, avec un seul mot : l’élan. Sans cet élan nous ne pouvons pas suivre le Christ et comme vous le dîtes, il y a forcément coupure d’avec soi-même. Rien d’autre que le but fixé : le Chemin du Christ. C’est un message de Vérité. C’est très fort !
RépondreSupprimerJe viens de voir la statue sur le Salon Beige, bof, bof ! Certes l'iconographie XIX est hideuse, mais là ce n'est guère mieux...On a quand même des problèmes dans nos 'milieux' avec l'art !
RépondreSupprimerSans être aussi vindicatif que l'auteur du msg de 30/09 19:45, ce quim'a toujours géné dans Jeanne d'Arc, c'est qu'on a élévé sur les autels une personne qui a eu un rôle de chef de guerre, qi a défendu son pays (ce qui peut sse concevoir) mais qui n'a aucun caractère d'universalité. Comment concilier la parole du Seigneur "Stecke dein Schwert in die
RépondreSupprimerScheide" (Johannes) avec le combat guerrier ?
Jeanne d'Arc fut peut être une héroïne en France mais certainement pas une sainte au sens chrétien du terme. En fait c'est Michelet qui a créé le culte de Jeanne d'Arc qui a été monté en épingle après la guerre de 70 dans un délire nationaliste. Ele a été canonisé en 1921 ou 22 par Benoït XV qui voulait accélérer la reconnaissance et la reprise des relations diplomatiques entre le Vatican et la France.
Est-il bon de faire l'apologie d'une personne animée de sentiments nullement pacifiques qui vont à l'encontre de la vraie doctrine chrétienne.
J'aurais compris qu'on canonise une pauvre fille qui aurait soigné les blessés de tous les camps.
"Stecke dein Schwert in die Scheide" Cette phrase n’a rien à voir avec l’histoire de Jeanne d’Arc. : Le fils de l’Homme devait souffrir sa Passion et être crucifié. Tous ceux qui ont crû être en mesure d’éviter cet événement se sont fait durement envoyer paître par le Christ. Il dit à Pierre « Recule derrière moi Satan ! », par exemple. Mais Jeanne c’est différent. Il fallait que la France, fille aînée de l’Eglise restât catholique. Et vous deviez aussi savoir qu’Il n’a pas promis la paix (sur Terre) mais la guerre. La paix du Christ, c’est autre chose, c’est la réconciliation de chacun avec Lui. Rien à voir. La Terre a ses lois terrestres faites de guerre et de paix…Jeanne a reçu l’empreinte de Dieu. Il a fait de cette gamine qui n’avait même pas droit à la parole vu sa condition et son âge, un chef de guerre. Mais plus encore : A la suite de Jeanne nous pouvons nous aussi rentrer dans la volonté de Dieu. Totalement, comme elle. Il n’y a pas d’autre sainteté.
RépondreSupprimerDécidément le nationalisme est aussi bête chez tous les peuples. Les soldats allemands portaient la mention "Gott mit uns" sur leurs ceinturons et voila que vous embrigadez Dieu dans votre croisade anti-anglaise. il me semble que Dieu est pour la paix et qu'il n'a pas plus de prédilection pour une nation que pour une autre. Nous sommes tous les enfnts de Dieu : comment un père pourrait-il préférer un de ses enfants? Croire que Dieuaurait fait un chef de guerre est proprement blasphématoire et je pèse les mots. A chaque Eucharistie ne disons nous pas à l'Agnus : "Donne nous ta Paix". Je vous signale qu'à l'époque l'Angleterre était tout aussi catholique romaine que la France, le schisme n'étant survenu sous Henri VIII non pas pour des raisons religieuses mais politiques (le mariage du Roi avec Anne Boleyn) et surtout financières (impôts du pape).
RépondreSupprimerIl faut arrêter le délire trois secondes avec ce "Gott mit uns". Il n'y a pas de verbe. C'est: "Dieu avec nous" -- c'est à dire "Dieu SOIT avec nous" (ou "Que Dieu nous aide") et non pas une stupide affirmation que Dieu SERAIT avec les soldats allemands.
Supprimermonsieur le Webmestre. Vous manquez de culture historique. Les soldats nazis portaient cette devise sur leur ceinturo. Pour eux c'était clair Dieu était avec eux. C'est si vrai que la nouvelle Allemagne a adopté comme devise sur les ceintures de ses soldats le premier vers de l'hymne national : "Einigkeit und Recht und Freiheit" c'est à dire unité, droit et liberté. Curieux votre propension à défendre l'ancienne armée allemande. J'ai entendu le Cardinal Lustiger dans une émission de RND fustiger cette appropriation de Dieu par un pays.
SupprimerIl ne s'agit pas de délire mais de vérité historique. C'est au nom de ce principe que les nazis on perpétué le massacre d'Oradour-sur-Glane et brûlé les habitants dans une église.
"La France, hier soldat de Dieu, aujourd'hui soldat de l'Humanité, sera toujours le soldat de l'idéal."
SupprimerGeorges Clémenceau à la Chambre le 11 novembre 1918.
Sauf que la formule est bien plus ancienne que le IIIe Reich. Les soldats de la 1ere guerre l'ont empruntée à la Prusse qui l'a reprise des Teutoniques, etc. Là-dessus, vous nous dites qu'aujourd'hui les soldats allemands portent le premier vers du "Deutschland über alles" -- oui, et alors? Quant au Cardinal Lustiger, qui n'avait pas besoin de méthode Assimil pour comprendre l'allemand, il avait raison de fustiger toute appropriation de Dieu, sauf que là ce n'est pas de ça qu'il s'agit. ---- J'ajoute que vous décelez chez moi une "propension", à moi de trouver cela curieux puisque j'évoque le sujet pour la première fois (en tout cas il me semble).
SupprimerJ'hallucine! Aurais-je malencontreusement renversé un peu de ma potion magique (rassurez-vous, cher(e)s Métablogueurs(ses), je ne prends aucune substance illicite) dans ma tisane quotidienne de minuit-moins-le-quart-Dr.-Schweitzer!?
SupprimerOn en remontre à notre délicieux Webmestre sur les principes nazis qui ont "perpétué" (après l'avoir perpétré...) le massacre d'Oradour-sur-Glane et brûlé les habitants dans une église....et on lui reproche sa "curieuse propension à défendre l'ancienne armée allemande"....!!
Quand cessera cette Inquisition "perpétuée"?? IL SUFFIT!!
Quand le doigt montre la lune le sot regarde le doigt.
SupprimerProverbe chinois.
Décidément le sieur webmestre n'a aucune culture. Il ne s'agit pas du "Deutschland über alles" mais du premiers vers de l'hymne national de la nouvelle Allemagne qui n'a rien de commun avec les régimes qui l'on' précédé. L'Allemagne actuelle est probablement plus démocratique et plus sociale que la France. En tout cas l'extrême droite y est radicalement bannie.
SupprimerNB pour les ignorants (et ils semblent légion sur ce site) je signale que la Volksarmee de la DDR organisée sur le mode de l'Armée Soviétique n'avait bien entendu rien de commun avec les anciennes armées allemandes.
Cher anonyme de 23H33... au risque de vous décevoir, les paroles "Einigkeit und Recht und Freiheit" ne sont que le début du troisième couplet du chant national allemand qui commence par "Deutschland über alles". Selon les époques, l'accent est mis sur telle ou telle partie du chant, et actuellement certaines parties sont muettes (les instruments jouent seuls). Je n'en tire aucune conclusion, et je ne mentionne ce fait qu'au titre de correction de vos... approximations.
SupprimerPour ce qui est de la "VolksArmee" de la RDA, je vous signale que son nom était "Nationale VolksArmee". Il n'y a pas besoin d'être grand clerc pour constater que ses uniformes, son système de grade, etc... en faisait un calque de la WehrMacht. Si une armée allemande s'est inspirée de son occupant, ce fut bien plutôt celle de l'ouest. La BundesWehr s'est inspirée, pour ses uniformes notamment, de l'armée américaine.
Cher anonyme, vous êtes le bienvenu ici, vous pouvez y développer vos idées, et même proférer quelques erreurs tant que c'est de bonne foi. Mais vous ne pouvez pas venir donner des leçons d'un ton professoral, sur un sujet que manifestement vous méconnaissez.
@ "Anonyme" de 13h43 et 23h33, vous venez prétendre que notre "Webmestre n'a aucune culture" (excusez du peu!), et traîter de haut la "Légion de sots et/ou d'ignorants" que nous constituerions ici....
SupprimerVous pensez sérieusement que nous allons entrer en empathie avec vous, et vous lire avec plaisir, non mais franchement!?
Je me demande ce qui peut bien vous donner la moîndre envie de poster ici, à part faire de la provocation, ou vous défouler de votre obssession de "l'Extrême-Drouâte" fantasmée? C'est bien impoli de votre part, de venir troubler l'amical climat que nous cherchons ensemble, ici, ainsi que la modeste joie de nous instruire.
J'invite l'anonyme de 10h30 à se replonger dans la lecture de l'ancien testament afin de se faire une idée plus juste de ce qu'il en est des rapport entre Dieu et la guerre. Sans parler de la prédilection qu'il a (avait?) pour une certaine nation en particulier.
RépondreSupprimerCe qui est génant avec l'honorable contradicteur de 14:56 c'est ce que sa question sous entend et véhicule. Comme l'antisémitisme est devenu un délit puni par la loi on pratique par ce que les italiens appellent la susuratio, on laisse entendre à demi-mot sans le dire tout en le disant. Bref c'est parfaitement méprisable.
RépondreSupprimerQue l'Eternal ait protégé son Peuple, le Peuple de l'Alliance, après tout quoi de plus normal. Mais je ne le vois pas prenant parti pour l'un de ses enfants contre l'autre s'agissant de deux peuples chrétiens. En ce presque centenaire de la boucherie de 1914/18 il serait bon d'y songer.
Paf! Le point godwi! Le moins que l'on puisse dire c'est qu'avec vous ça ne traine pas!
SupprimerMais rassurez-vous, la médiocrité de ce type d'accusation refait que souligner la nullité de votre argumentation. Prenez votre carte au PS, je suis sûr que son premier secrétaire sera ravi de vous enseigner les subtilités de l'art de traiter tout contradicteur de nazi.
1- je répète, la France en tant que fille ainée de l’Eglise, c’est à dire qu’ayant un certain rôle et un « rôle certain » à jouer dans l’histoire du salut devait rester catholique et si les Anglais étaient restés maîtres en France, il est sûr qu’a partir d’ Henri VIII, nous serions aujourd’hui anglicans. Plutôt simple à comprendre, non ?
RépondreSupprimer2- Jeanne n’a jamais tué personne.
3- « on se dressera en effet nation contre nation et royaume contre royaume etc.. ; » (Math.24-7) Il ne faut pas mélanger les plans. Le Royaume du Christ n’est pas de ce monde (réponse à Pilate). Notre Terre faite d’ombre et de Lumière, est pleine des conséquences du péché originel. Elle a donc ses propres lois qui dureront jusqu’à la fin des temps. La guerre fait partie de ces lois. Dieu ne fait pas de politique mais conduit l’humanité jusqu’à la Parousie et s’il faut pour cela employer nos lois bassement humaines comme la guerre… Après tout les humains en sont responsables, pas Dieu. Sommes nous capables de faire autrement ? A moins de vivre dans un « Märchen », l’humanité n’a pas fait beaucoup de progrès de ce côté-là. Ce serait plutôt le contraire.
4- A propos du « Gott mit uns ». Chacun porte en soi sa propre conception de Dieu. « Si on ne prie pas le Christ, on prie le diable » a dit notre Pape actuel. C’est clair, net et précis ! Et puis il faudra un jour cesser de nous bassiner avec le 3ème Reich ! Le sionisme actuel l’utilise jusqu’à la nausée. Que le peuple allemand cesse de culpabiliser. Dossier clos. Les crimes contre l’humanité n’ont pas cessé depuis. Ils ont, en quantité et en violence dépassé celle des nazis. Tous les jours que Dieu fait, des humains sont torturés et bassement tués.Des enfants, des innocents, des femmes, des vieux etc... Alors basta ! Passons à autre chose. « celui qui met la main à la charrue et se retourne en arrière, n’est pas digne de moi » répond le Christ à Nicodème.
Le IIIe Reich n'est pas le sujet de ce blog, non plus que le sionisme. Merci de ne pas importer ici des querelles qui n'ont rien à y faire, ni des positions que ne partagent pas forcément les auteurs de ce blog.
SupprimerSelon la tradition islamique est une erreur commises dans la croyance : le fait d'Implorer le secours des morts, les invoquer, leur demander de l’aide, se rapprocher d’eux par une quelconque forme ... On ne prie qu'Allah Seul ! Julien M. Emile Zola
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