J’avais (et plus souvent qu’à mon tour) écrit sur le metablog que la réintégration de la FSSPX se ferait avant la fin de l’été. Cela m’a valu quelques quolibets visiblement mérités puisque l’été se termine et qu’aucun accord n’est en vue. Ennemond lui-même qui semblait si confiant écrit maintenant que cela se fera… «dans cent jours ou dans cent ans». Eh bien je penche pour «cent jours» plutôt que pour «cent ans», et je vous en dis la raison: les deux dirigeants (Benoît XVI d’une part, Mgr Fellay de l’autre) des deux parties (l’Eglise d’une part, la Fraternité de l’autre) veulent cet accord. Pas à n’importe quel prix bien sûr, et chacun devant tenir compte de l’opposition interne qu’il affronte. Cependant: les dirigeants ont tant investi dans cette affaire qu’ils voudront la conclure.
Et peu importe, au fond, que le chapitre de la FSSPX ait fait mine de fermeté en posant six conditions, lesquelles ont opportunément été fuitées, de même qu’avait fuité la circulaire du 25 juin («Mgr Fellay lui a aussitôt fait savoir qu’il ne pourrait pas signer ce nouveau document, clairement inacceptable») – peut-être pour rassurer les fidèles? Sur ces six conditions du Chapitre Général, il n’y a que trois demandes fermes, les autres étant de simples souhaits. Les trois points non négociables? garder la doctrine traditionnelle, la liturgie traditionnelle, et au moins un évêque. C’est… minimal.
Les dissidents n’entendent pas remplacer les autorités de la FSSPX officielle : «Nous ne touchons pas la légitimité de leur position» simplement «nous nous retirons des actes d'obéissance envers eux». Autrement dit, ils usent vis-à-vis de Menzingen de la même pirouette que Menzingen a longtemps usé envers Rome: reconnaître l’autorité, sans pourtant s’y plier.
C’est un petit groupe («il devait y avoir beaucoup de prêtres, mais finalement, nous avons été cinq prêtres») mais comme l’explique l’abbé Chazal, d’autres prêtres sont en passe d’être ‘neutralisés’, ‘transférés’, ‘menacés’. Le jour où ils seront carrément chassés, continue l’abbé Chazal, «ils auront un endroit où aller».
D’un autre côté, pour Mgr Fellay, la bonne nouvelle est que les enquiquineurs, une fois dehors, ne seront plus dedans.
Autre opposant à un accord: Mgr Williamson. Les «six conditions» du chapitre général l’inquiètent : «Au lieu d’attaquer la trahison du Concile, désormais la Fraternité demande aux traîtres la permission de dire la Vérité!» Lui aussi pense qu’un accord sera signé : «Il semble bien que le dernier bastion mondial de la Tradition catholique risque de se rendre aux ennemis de la Foi». Contrairement à ce qu’on entend parfois, Mgr Williamson n’empire pas, il ne se radicalise pas – il continue à dire en 2012 ce qu’il disait en 2002, ou en 1992, ou en 1982. (Écoutez sa conférence au Brémien, tout y est déjà). Ce qui est nouveau c’est que Mgr Williamson a passé outre sa quasi assignation à résidence. Sa récente tournée au Brésil a enchanté le supérieur des bénédictins 'amis' : «Honneur et gloire à Mgr Williamson, successeur des apôtres et des confesseurs de la foi». L’abbé Bouchacourt (supérieur du district sud-américain) ne partage pas cet enthousiasme; il écrit que «la collaboration harmonieuse qui existait entre la FSSPX et le monastère Santa Cruz a été brisée par cet acte d’une grande gravité».
N’empêche, il se passe des choses intéressantes dans les «communautés amies» de la Fraternité. Prenez les Capucins de Morgon, et les Dominicains d’Avrillé: Mgr Fellay avait refusé d’ordonner leurs six ordinands (trois de chaque), en juin à Econe. Ils vont finalement être ordonnés… par Mgr de Galaretta, et à Bellaigue (qui confirme ainsi sa solidarité), mais je m’attends à lire que cela n’a ‘rien à voir’.
Bref, si on ne savait pas que ça va plutôt bien, ou aurait presque l’impression (si la chose était possible) que le torchon brûle entre partisans et opposants d’une réintégration. On y verrait le signe de ce qu'elle approche.
Je profite de ce post pour vous signaler une pétition qui tourne sur internet. Elle demande (pas moins!) au pape de célébrer selon l’usus antiquior. Je laisse la parole à Nemo qui sur Fecit estime que cette demande est malvenue («Jamais je ne signerai une pétition pour expliquer au Saint-Père son métier») mais aussi et surtout qu’elle est inepte:
Et peu importe, au fond, que le chapitre de la FSSPX ait fait mine de fermeté en posant six conditions, lesquelles ont opportunément été fuitées, de même qu’avait fuité la circulaire du 25 juin («Mgr Fellay lui a aussitôt fait savoir qu’il ne pourrait pas signer ce nouveau document, clairement inacceptable») – peut-être pour rassurer les fidèles? Sur ces six conditions du Chapitre Général, il n’y a que trois demandes fermes, les autres étant de simples souhaits. Les trois points non négociables? garder la doctrine traditionnelle, la liturgie traditionnelle, et au moins un évêque. C’est… minimal.
FSSPX officielle – FSSPX canal historiqueDu reste les opposants durs à tout accord ne sont guère optimistes. Une (toute petite) poignée de prêtres se sont concertés à Vienne… aux Etats-Unis. Prévoyant leur éviction inéluctable, ils ont fondé un groupe sous la houlette de l’un des leurs (l’abbé Joseph Pfeiffer) – ce groupe dissident s’appelle… Fraternité Sacerdotale Saint Pie X. Les statuts sont ceux… de la FSSPX. Bref, ils créent au sein de la structure qui va bientôt les évincer une structure identique (un ‘canal historique’) à laquelle ils diront appartenir encore.
Les dissidents n’entendent pas remplacer les autorités de la FSSPX officielle : «Nous ne touchons pas la légitimité de leur position» simplement «nous nous retirons des actes d'obéissance envers eux». Autrement dit, ils usent vis-à-vis de Menzingen de la même pirouette que Menzingen a longtemps usé envers Rome: reconnaître l’autorité, sans pourtant s’y plier.
C’est un petit groupe («il devait y avoir beaucoup de prêtres, mais finalement, nous avons été cinq prêtres») mais comme l’explique l’abbé Chazal, d’autres prêtres sont en passe d’être ‘neutralisés’, ‘transférés’, ‘menacés’. Le jour où ils seront carrément chassés, continue l’abbé Chazal, «ils auront un endroit où aller».
D’un autre côté, pour Mgr Fellay, la bonne nouvelle est que les enquiquineurs, une fois dehors, ne seront plus dedans.
Autre opposant à un accord: Mgr Williamson. Les «six conditions» du chapitre général l’inquiètent : «Au lieu d’attaquer la trahison du Concile, désormais la Fraternité demande aux traîtres la permission de dire la Vérité!» Lui aussi pense qu’un accord sera signé : «Il semble bien que le dernier bastion mondial de la Tradition catholique risque de se rendre aux ennemis de la Foi». Contrairement à ce qu’on entend parfois, Mgr Williamson n’empire pas, il ne se radicalise pas – il continue à dire en 2012 ce qu’il disait en 2002, ou en 1992, ou en 1982. (Écoutez sa conférence au Brémien, tout y est déjà). Ce qui est nouveau c’est que Mgr Williamson a passé outre sa quasi assignation à résidence. Sa récente tournée au Brésil a enchanté le supérieur des bénédictins 'amis' : «Honneur et gloire à Mgr Williamson, successeur des apôtres et des confesseurs de la foi». L’abbé Bouchacourt (supérieur du district sud-américain) ne partage pas cet enthousiasme; il écrit que «la collaboration harmonieuse qui existait entre la FSSPX et le monastère Santa Cruz a été brisée par cet acte d’une grande gravité».
N’empêche, il se passe des choses intéressantes dans les «communautés amies» de la Fraternité. Prenez les Capucins de Morgon, et les Dominicains d’Avrillé: Mgr Fellay avait refusé d’ordonner leurs six ordinands (trois de chaque), en juin à Econe. Ils vont finalement être ordonnés… par Mgr de Galaretta, et à Bellaigue (qui confirme ainsi sa solidarité), mais je m’attends à lire que cela n’a ‘rien à voir’.
Bref, si on ne savait pas que ça va plutôt bien, ou aurait presque l’impression (si la chose était possible) que le torchon brûle entre partisans et opposants d’une réintégration. On y verrait le signe de ce qu'elle approche.
Je profite de ce post pour vous signaler une pétition qui tourne sur internet. Elle demande (pas moins!) au pape de célébrer selon l’usus antiquior. Je laisse la parole à Nemo qui sur Fecit estime que cette demande est malvenue («Jamais je ne signerai une pétition pour expliquer au Saint-Père son métier») mais aussi et surtout qu’elle est inepte:
«un évêque ne célèbre en principe la messe pontificale qu'à un nombre de fêtes limité dans l'année, donc à plus forte raison le pape ne célèbre sa messe pontificale qu'à Noël, à Pâques, à la Pentecôte ou pour une canonisation. Enfin l'organisation d'une telle cérémonie après tant d'années d'oubli, cérémonie qui implique non seulement le Saint-Père mais un nombre non négligeable de cardinaux, de membres de la maison pontificale, de ministres, suppose des mois de travail de la part de cérémoniaires et d'ecclésiastiques.»
Je suis contente du retour de Nemo sur le forum catholique. Ses interventions me manquaient: toujours marquées du bon sens et d'un solide sensus catholicus. Celle que vous citez m'éclaire d'un jour définitif quant à cette pétition.
RépondreSupprimerC'est un peu comme le type qui à partir de Romulus, aurait chaque année annoncé la chute de Rome. Il aurait fait rire tout le monde, et puis à la fin, on aurait pensé: "Tout de même... visionnaire, le gars!"
RépondreSupprimerVraiment? Il faut "des moius de travail" au Pape et à son entourage pour organiser une messe selon le rite extraordinaire? A qui peut-on faire croire cela? Si le pape ne célèbre pas cette messe, c'est bien qu'il ne le veut pas....Signe inquiétant en soi.
RépondreSupprimerAutre remarque plus philologique: ne convient-il pas de dire "ritus antiquior"? sans le "i" du suffixe, le mot ne serait-il un barbarisme?
Cher Hatchepsout, vous avez raison: j'ai oublié le 'i' - c'est une banale faute de frappe contre lesquelles je ne suis pas plus prémuni que vous.
RépondreSupprimerPour le reste, sur ce qu'implique une messe papale, voyez la brève étude de Bartek Krzych que vous trouverez ici:
http://tradinews.blogspot.fr/2012/09/bartomiej-k-j-krzych-caeremoniale.html
Simple catholique , sans autre prétention théologique que le catéchisme de mon enfance, je suis tout à la fois offusqué et amusé par les personnes croyantes, catholiques ou autres qui s'autorisent à se mettre à la place du Pape pour regretter ou critiquer certaines de ses paroles ou de ses décisions.Il n'est pas inutile de rappeler aux contestataires que le Pape a l'aide du Saint Esprit ce qui n'est pas forcément leur cas.
RépondreSupprimerEt puis au cas où il se tromperait selon des jugements hâtifs et présomptueux, nous devons le suivre car c'est lui qui en endosse la responsabilité face au Ciel.
Ce qu'il noue sera noué dans le Ciel, ce qu'il dénoue sera dénoué dans le Ciel.
Que de vaines querelles en moins .
#Réponse à donworrie
RépondreSupprimerLa plupart des "simples catholiques" que nous sommes tous ne sont pas en relation directe avec le Saint Père. Notre rapport à l'évêque de Rome passe par les évêques locaux (on les appelle les 'ordinaires'), et par les curés qu'ils nomment. Leur autorité, ils la tiennent de l'Eglise qui est une société hiérarchisée. Faut-il leur obéir, en toutes circonstances? Vous dites être armé du seul "catéchisme de [votre] enfance". C'est déjà beaucoup, si par exemple votre enfance s'est déroulée une demi-génération avant la mienne. Sinon, vous avez peut-être eu droit à une catéchèse 'light', à des sentiments positifs mais sans contenu. Exemple d'activité: "Jésus est ton ami - dessine tes amis" - point barre.
Je ne connais à peu près personne qui ayant reçu ces niaiseries souhaite les transmettre. La plupart de mes proches, famille ou collègues qui ont été catéchisés de cette manière ont laissé tomber. Les rares qui continuent choisissent pour leurs enfants une catéchèse plus... solide. Vous aurez compris que je vois peins un tableau à grosses mailles, il faudrait pour rendre compte de la situation plusieurs thèses, en socio, en psycho, etc. Je ne suis rien de tout cela, et encore moins thésard. Le mouvement général cependant est celui que je dis.
J'en reviens à vous. Vous êtes armé du seul "catéchisme de [votre] enfance", j'imagine que ce n'est pas la version 'light' des années 70/80. J'imagine que si vous avez des enfants vous voulez qu'ils acquièrent la version 'solide'. C'est là qu'est l'os hélas! Car les emmener à une liturgie qui exprime vraiment ce qui est en jeu, les inscrire à un catéchisme traditionnel, cela implique "parfois" de s'affranchir des structures prévues par son évêque, et le curé qu'il nous donne.
C'est bien le drame des traditionalistes, qui sont amenés peu ou prou à se mettre en congé de l'Eglise pour garder l'esprit de l'Eglise - et la pratique qui va avec. Remarquez que certains ont été jusqu'à la marge, que d'autres sont restés dedans, et qu'un grand nombre ont choisi une sorte d'exil interne (il existe, de toute évidence, des traditionalistes de rite 'ordinaire'). Les recadrages que l'on constate depuis quelques temps ne sont pas étrangers à l'attitude des uns et des autres.
Cher Siméon,
SupprimerHélas vous avez raison.
Le catéchisme de mon enfance remonte à la fin des années quarante chez les frères des écoles chrétiennes.Je n'ai découvert les querelles religieuses dans ma paroisse lorsque le curé ,âgé mais toujours actif , a été contraint de partir. L'âge mais aussi de mauvaises querelles faites par des "paroissiens" dont une personne qui se targuait de théologie.C'était il y vingt ans.
Si j'ai abandonné la messe du dimanche c'est peut-être à cause de cela. Je me réfugie dans les visites à ND de la Garde ou de Fourvière.J'ai été toujours surpris de la ferveur des personnes dans ces lieux et de leur affluence.Par rapport aux églises paroissiales.
Je le disais à mes enfants, donc trés tôt, je leur disais ce que j'en avais retenu et leur montrais en exemple les catholiques japonais qui avaient gardé la foi pendant trois cents ans sans clergé.La fréquentation obligée d'un garçon de mon âge , protestant du Gard, m'a vacciné contre l'oeucuménisme ambiant , par contre j'admire beaucoup le respect et la prière orthodoxe.
Les prêtres et les Evêques font ce qu'ils peuvent avec plus ou moins de réussite , certains ont l'excuse de ne plus avoir l'autorité sur des laïcs censés les aider.En ce qui me concerne les différents papes de Pie XII à Benoît XVI sont vénérés.Les attaques dont ils sont la cible sont l'oeuvre du diable.
Loin de moi l'idée que les évêques ne font pas tout ce qu'ils peuvent. Simplement, dans certains diocèses, être 'tradi' implique de s'organiser sans (et parfois contre) l'évêque.
SupprimerBien sûr. Dans mon premier texte ils sont englobés parmi ceux qui veulent être pape la place du pape.Lors de la polémique contre Benoît XVI lors de son voyage en Afrique en 2008,j'ai été fort surpris de voir des catholiques rejoindre les attaques médiatiques.
SupprimerMais quand on a la foi ça n'a pas d'influence.
Cher Maestro, au sujet de la pétition, vous auriez tout de même pu donner l’information complète.
RépondreSupprimer1- Il s’agissait de fêter la date anniversaire du Motu Proprio ! L’évènement n’en aurait-il pas valu la chandelle ?
2- Il n’a jamais été question d’expliquer au Saint Père son métier, mais de lui adresser une demande qui se rapproche plutôt de la supplique que d’autre chose. (Il est regrettable de parler de métier pour le Pape. Une Mission divine n’est pas un métier… ou alors je postule !)
Benoîte
J'avoue ma surprise!
SupprimerQuestion à 2 balles: souhaitez-vous le respect des normes liturgiques traditionnelles? Sans doute! ces normes réservent justement les messes papales à quelques jours très particuliers dans l'année, tels que la naissance du Christ et Sa résurrection. La "date anniversaire du Motu Proprio" n'en fait pas partie.
Mais je vois bien ce qu'il y a derrière cette demande: que le pape envoie un signal fort, à l'occasion d'un évènement qui 'en vaudrait la chandelle'. Bigre! que voila une manière peu traditionnelle d’aborder les choses. Dans le catholicisme traditionnel, on célèbre les Saints Mystères... pour adorer Dieu, Le remercier, implorer Son pardon, et obtenir de Lui des grâces. Et non pour marquer un 'temps fort', pour poser un symbole, ou que sais-je encore.
il semble plus respectueux des règles liturgiques que Benoît XVI continue de dire la messe Paul VI que de dire la messe Saint Pie V. Autrement dit, la communion sur la langue, le retournement de l'autel (et autres rapprochements) seraient des bricolages qu'il faut éviter comme étant la pire des solutions. (j'essaie de pousser le raisonnement vers l'absurde bien sûr comme le fait me semble t'il la brève étude de Bartek Krzych : c'est du second degré. Les détails liturgiques ne pourront de toute façon plus jamais être comme avant ne serait ce que la composition de la "cour romaine", il faut donc user de discernement). Mais après tout, une assistance "pontificale" de Benoît XVI à une messe Saint Pie V, ce serait déjà super non !
SupprimerPermettez-vous Monsieur l’Abbé G2T, que je fasse de la publicité pour ce colloque international « pour la vie » organisé par Monseigneur AILLET à Biarritz ?
RépondreSupprimerLe texte ci-dessous est tiré de « riposte Catholique » où l’on peut se reporter pour s’inscrire.
Benoîte
C’est une initiative heureuse et bienvenue que vient de prendre l’Académie diocésaine pour la vie – créée en 2009 par diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron à l’initiative de son évêque Mgr Marc Aillet –, en convoquant du 30 novembre au 1er décembre prochain un Colloque international pour la vie qui se déroulera à Biarritz.
C’est, la première manifestation internationale de cette ampleur sur le thème « La Vie en question », jamais organisée en France. Les participants à cette manifestation à laquelle on pourra assister gratuitement, pourront entendre vingt-trois intervenants qui sont des sommités internationales, aborder ce thème en quatre “tables rondes” successives. Ces personnalités viendront du Saint-Siège, de France, du Canada, d’Espagne, de Russie et… des États-Unis. Ces dernières, toutes catholiques, seront au nombre de six, même si l’une d’entre elles est un Américain… du Saint-Siège, puisqu’il s’agit du cardinal Raymond Burke. Les autres intervenants américains seront David Bereit et Shawn Carney des 40 Days for Life, le Père Tadeusz Pacholczyk, directeur du département Éducation et Éthique du National Catholic Bioethics Center, Rebecca Kissling, porte-parole national de Personhood USA et Lila Rose, présidente de Live Action. Une manifestation à ne pas manquer. Inscrivez-vous vite : c’est ici et c’est gratuit !
Je ne partage pas votre avis sur un futur accord entre la FSSPX et le saint Siège en raison de cette décision prise lors du chapitre de la FSSPX, en juillet 2012, où il fut décidé que tout accord devrait être ratifié par le chapitre général. A moins de purger la FSSPX des prêtres hostiles à tout accord, je ne vois pas comment le chapitre pourrait approuver le retour à la communion romaine
RépondreSupprimerOui - et le chapitre avait déjà décidé cela... en 2006. Pourtant, c'est in extremis que Mgr Fellay n'a pas signé, le 13 juin à Rome. Chapitre ou pas chapitre!
Supprimerdonc vous pensez qu'il est prêt à signer même s'il laisse
Supprimerune partie de la FSSPX sur la route ?