«Il en va de la survie de la vitalité de l'Église gersoise» estime un article de Sud-Ouest, et on serait tenté de dire: de sa survie tout court. Car «dans le Gers comme ailleurs, la crise des vocations pastorales» a frappé. Alors les prêtres qui restent doivent s’organiser, se démultiplier.
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Autre prêtre du diocèse, l'abbé Charles Terran (4 paroisses sur ses épaules) fait bonne figure: «En s'organisant bien, on y arrive toujours». Il a «70 ans, bientôt 71». La «croisade contre le sablier de Chronos» dont parle Sud-Ouest («jongler avec des emplois du temps de ministre») a un autre sens plus triste.
Heureusement «la communauté des laïcs a accepté de leur prêter main-forte», l'abbé Jacques Fauré (Grand Auch) explique qu’il s’agit de «libérer les prêtres plus vite afin qu'ils puissent se rendre dans plusieurs églises dans une même journée». Autrement dit: pour que les prêtres puissent faire ce qu’eux seuls peuvent faire, il convient qu’ils ne soient pas seuls.
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