Antoine, Thierry, Julien, Henri, qui ont si bien, si noblement témoigné de l'espérance qui est en nous tous, même en celui qui a écrit : "on fait quoi quand on n'a pas la foi ?" Question suscitée par l'espérance.
"Ariane me manque et je n'ai pas son fil" écrivait Maurras, poète perdu dans le labyrinthe de l'existence, chrétien à la foi si difficile, mais qui entendait bien s'endormir, Deo adjuvante, "entre les bras de l'espérance et de l'amour", "dans une paix certaine".
Pour déblayer le terrain (modestement, je crois que c'est tout ce que l'on peut faire : enlever les obstacles, être un removens prohibens), je voudrais aussi répondre à Julien décrétant in-soutenables les deux formules : "la foi est un don de Dieu" et "aimer c'est vouloir".
"La foi n'est qu'un don de Dieu" : dire cela, ce serait effectivement tomber dans du calvinisme ou du prédestinatianisme. La foi n'est pas qu'un don de Dieu. N'oublions pas ce que Pascal appelait "la vérité contraire". La foi est aussi, substantiellement une liberté de l'homme. Disons : elle est la convergence des deux.
Comment est-ce compatible direz-vous ? Et les plus instruits dans "la philosophie réaliste", chère à l'Institut de Philosophie Comparée (qui vient d'ailleurs de fêter ses 40 ans) diront peut-être : et le principe d'identité, qu'est-ce que vous en faites ? On répondra, pour faire vite que l'action de Dieu ne détruit pas mais suscite la liberté de l'homme.
Dire que la foi n'est qu'un don de Dieu c'est rendre indéchiffrable ce don, c'est donner à penser que Dieu est un Monarque absolu qui écraserait ses sujets de la splendeur de ses dons. Julien a raison sur ce point de ne pas aimer la formule, alors que la seule loi que Dieu nous ait donnée, saint Jacques, dans son Epître, l'appelle "la loi de liberté". Dieu donne sa grâce à notre liberté. Il a besoin d'elle pour se faire recevoir par nous.
Quand on n'a pas la foi ? il faut essayer d'accepter d'avoir ce que Dieu nous donne comme il nous le donne, sans chercher autre chose et en lui laissant le temps, parce que le temps est à lui et non à nous.
Deuxième détestation de Julien : "aimer c'est vouloir". On trouve cela (plus ou moins) dans L'amour et l'Occident du suisse Denis de Rougemeont, par ailleurs, comme par hasard, moderne lecteur et éditeur de Luther, ce théologien si génial et si unilatéral, qui avait tant de mal avec la "vérité contraire". Cela d'ailleurs lui permet de vérifier la petinence de la formule dePascal : "L'hérésie n'est pas le contraire de la vérité mais l'oubli de la vérité contraire".
Aimer c'est vouloir soutient Rougemont. Mais aimer c'est une grâce aussi et c'est cette grâce qui seule est assez intime (assez profonde) pour susciter le vouloir.
Mais j'ergote et ne vous ai as assez remercié les uns et les autres de ces contributions qui sonnent si vraies dans leur diversité, dans leurs emportements, dans leurs doutes et même dans leurs dissonances. la foi est une passion dit Kierkegaard. A vous lire, on comprend ce qu'il veut dire.
Là aussi il ne faut pas oublier "la vérité contraire" et la convergence des deux vérités.
"Ariane me manque et je n'ai pas son fil" écrivait Maurras, poète perdu dans le labyrinthe de l'existence, chrétien à la foi si difficile, mais qui entendait bien s'endormir, Deo adjuvante, "entre les bras de l'espérance et de l'amour", "dans une paix certaine".
Pour déblayer le terrain (modestement, je crois que c'est tout ce que l'on peut faire : enlever les obstacles, être un removens prohibens), je voudrais aussi répondre à Julien décrétant in-soutenables les deux formules : "la foi est un don de Dieu" et "aimer c'est vouloir".
"La foi n'est qu'un don de Dieu" : dire cela, ce serait effectivement tomber dans du calvinisme ou du prédestinatianisme. La foi n'est pas qu'un don de Dieu. N'oublions pas ce que Pascal appelait "la vérité contraire". La foi est aussi, substantiellement une liberté de l'homme. Disons : elle est la convergence des deux.
Comment est-ce compatible direz-vous ? Et les plus instruits dans "la philosophie réaliste", chère à l'Institut de Philosophie Comparée (qui vient d'ailleurs de fêter ses 40 ans) diront peut-être : et le principe d'identité, qu'est-ce que vous en faites ? On répondra, pour faire vite que l'action de Dieu ne détruit pas mais suscite la liberté de l'homme.
Dire que la foi n'est qu'un don de Dieu c'est rendre indéchiffrable ce don, c'est donner à penser que Dieu est un Monarque absolu qui écraserait ses sujets de la splendeur de ses dons. Julien a raison sur ce point de ne pas aimer la formule, alors que la seule loi que Dieu nous ait donnée, saint Jacques, dans son Epître, l'appelle "la loi de liberté". Dieu donne sa grâce à notre liberté. Il a besoin d'elle pour se faire recevoir par nous.
Quand on n'a pas la foi ? il faut essayer d'accepter d'avoir ce que Dieu nous donne comme il nous le donne, sans chercher autre chose et en lui laissant le temps, parce que le temps est à lui et non à nous.
Deuxième détestation de Julien : "aimer c'est vouloir". On trouve cela (plus ou moins) dans L'amour et l'Occident du suisse Denis de Rougemeont, par ailleurs, comme par hasard, moderne lecteur et éditeur de Luther, ce théologien si génial et si unilatéral, qui avait tant de mal avec la "vérité contraire". Cela d'ailleurs lui permet de vérifier la petinence de la formule dePascal : "L'hérésie n'est pas le contraire de la vérité mais l'oubli de la vérité contraire".
Aimer c'est vouloir soutient Rougemont. Mais aimer c'est une grâce aussi et c'est cette grâce qui seule est assez intime (assez profonde) pour susciter le vouloir.
Mais j'ergote et ne vous ai as assez remercié les uns et les autres de ces contributions qui sonnent si vraies dans leur diversité, dans leurs emportements, dans leurs doutes et même dans leurs dissonances. la foi est une passion dit Kierkegaard. A vous lire, on comprend ce qu'il veut dire.
Là aussi il ne faut pas oublier "la vérité contraire" et la convergence des deux vérités.
je croyais que la foi, cela se demandait à l'Eglise par le baptême???
RépondreSupprimerBien sûr, il faut les "préambules", les raisonnements rationnels sur l'existence de Dieu, sur celle de l'âme immortelle, sur celle de la rémunération...
Je suis très blessé de la réponse " laisser le tempe ...à Dieu" ..il y a urgence...c'est si atroce de vivre sans la Foi ("on pourrait écrire un livre intitulé " douleur de l'âme sans Dieu" C'est une condition atroce" L.Pauwels,dernières chaines Ed du rocher p 244
Justement Pauwels avait été rebuté par des "croyants" qui lui disaient qu'il ne fallait pas raisonner ...mais obéir..des fidéistes irrationnalistes, très loin de l'IPC...!!!
Pour moi, la grave question est ailleurs: à supposer que dieu convertisse quelqu'un ..par moi ( hypothèse ubuesque mais enfin..), à qui enverrai-je cette personne ? à l'IPB? à des Ecclesia Dei? à sa paroisse talmudo-protestanto-socialiste? à St Nicolas,? à des "non una cum"...??? C'est de l'atroce cuisine de boutiquiers..mais concrètement, on en est là ...
l'idiot inutile ...
Merci pour ce beau texte sur la foi. Tout est vrai. Le premier commentateur anonyme soulève tous les problèmes que la foi suscite. Obéir, oui, mais dans une obéissance d'amour, comme celle de Notre-Seigneur Jésus-Christ pour son Père: Jn 10,17-18; 12, 24-28, 17 en entier, surtout le v.4; Lc 22,42. "Tu aimeras...", 1er commandement; "Tu aimeras...", 2e commandement; ils résument toute la Loi. C'est une loi d'amour, mais ces commandements font bien appel à la volonté, à la partie supérieure de l'âme, comme dit saint François de Sales. Urgence? C'est nous qui faisons patienter Dieu, nous qui mettons obstacle à sa grâce. Nous sommes la brebis égarée que Dieu ne se lasse pas de rechercher jusqu'à ce qu'il ait pu la ramener au bercail. Nous sommes sa passion, son amour, jusqu'à nous donner tout ce qu'il a de plus cher, son Fils, qui à son tour donne sa vie pour nous. Cette grâce, c'est bien sûr l'Eglise qui nous la donne par le baptême et les sacrements, car Elle est Jésus répandu et communiqué: Il se donne à nous en Elle et par Elle. Dieu est bien Monarque absolu et dirige toutes choses comme Il l'entend; mais il est Amour absolu, il nous a créés par amour pour que nous jouissions de son amour infini en nous donnant la souveraineté sur notre âme, comme de petits dieux ou de petits monarques à son image, afin que notre bonheur soit complet. En nous faisant participer à l'extension de son Royaume d'amour dans les âmes, il nous a faits ses frères dans cette oeuvre: "Aimez-vous comme je vous ai aimés" (Jn 13, 34-35, Jn 17, 23-25). Pauwels, comme Maurras, ont été égarés dans les sables du paganisme de l'antiquité gréco-romaine naturaliste, orgueilleuse, stoïcienne et gnostique (cf article précédent de M. l'Abbé sur Maurras et Mgr Tenon, piètre théologien, fol admirateur de Dante et Virgile, précepteur de Maurras devenu sourd, qui, sous cette influence a renié sa foi enfantine pour la foi en la cité romaine). Dieu a été très patient avec eux, les attendant toute leur vie jusqu'à ce qu'enfin ils le retrouvent pour l'éternité. Comme la mouche qui mille fois se heurte à la vitre et finalement trouve par le côté un passage vers l'air libre. Mais pour cela il faut l'afdhésion libre de la volonté à la grâce qui nous sollicite, il faut perdre son âme en Dieu: Mc 8, 34-35; Lc 14,26-27; MT 10, 37-38. Il faut mourir à soi-même pour que Dieu nous insuffle sa Vie, comme Notre-Seigneur a dû mourir pour triompher de la mort en ressuscitant et pouvoir nous communiquer cette Vie. C'est ce que n'a pas fait, selon toute apparence, une Simone Weil, qui n'a pas voulu se jeter dans le brasier de l'Amour éternel, bien qu'elle l'ait manifestement entrevu, mais elle voulait dicter son Magistère à l'Eglise comme condition pour recevoir le baptême, au lieu de faire confiance à Notre-Seigneur, qui est tout Un avec Elle, et lui aurait donné la Foi qui lui aurait fait croire à tous les points de la Révélation qu'elle transmet infailliblement. Quant à savoir à qui s'adresser, c'est difficile, car nous ne bébnéficions plus de l'Eglise "en ordre" vcomme disait Mgr Gérard des Lauriers. Il faut aller à l'Eglise encore présente par les prêtres qui ont encore la Foi et les sacrements transmis sans altération par la Tradition. Mais n'oublions pas que Notre-Seigneur nous a dit que "le Royaume des Cieux est en vous", comme saint Thomas dans son commentaire sur l'Oraison Dominicale à "qui êtes aux Cieux" nous rappelle que notre âme, où réside le Saint-Esprit si nous sommes en état de grâce, c'est aussi le Ciel car Dieu ne saurait résider ailleurs qu'au Ciel. Oui, nous avons Dieu Infini en nous, c'est tout notre Trésor...
RépondreSupprimerCher Boutiquier anonyme qui posez une très bonne question : envoyez-le au Christ !
RépondreSupprimerEn vérité, le Christ dit "c'est moi qui vous ai choisis"... Ainsi, il ne nous appartient pas d'envoyer les gens vers telle ou telle chapelle mais de les ouvrir pour que le Christ vienne à eux...
Le pb de notre époque, c'est que nous pensons que nous détenons, par l'intermédiaire de telle ou telle chapelle, la vérité... Or la vérité, c'est le Christ qui nous envoie l'Esprit et cet Esprit souffle où Il veut... Alors bien malin celui qui peut affirmer qu'il est ici, ou qu'il est là ! "ne les croyez pas" nous a d'ailleurs averti NSJC...
En réalité, plus le temps passe et plus nous nous apercevons que nous devons nous dépouiller de tout, y compris de nos certitudes car c'est la seule façon d'adhérer au Christ... Et trop souvent nous confondons débat dogmatique et prière !
Finalement, c'est ce que j'aime bien sur ce blog : l'Abbé ouvre des débats, des questionnements, sans forcément apporter de solution, de réponse... C'est une bonne façon de nous montrer que seul le Christ est notre certitude... Certitude mystique, car je ne cherche pas à amoindrir les dogmes, certitude de l'âme car nous ne devons pas nous contenter des certitudes de l'esprit...
Quid de ceux qui sont persuadés d'avoir la foi, qui passent leur temps dans des structures de l'église (tradi, du dedans), mais qui, sans la grâce du sacerdoce dans la vie, ne désirent absolument pas d'aimer ?
RépondreSupprimerOn a l'impression que leur coeur, s'il y en a un, est tellement rempli d'eux-mêmes (et des certitudes de la "cause tradi") qu'il n'y ait point de place ni pour Dieu ni pour le prochain !
A-t-on la foi, si non seulement on n'aime pas, mais que l'on ne désire même pas d'aimer ?
Mon Dieu comme j'aimerais que notre village vosgien vous ait comme curé. 10 ans avec vous et notre église serait pleine.
RépondreSupprimerencore une fois bien d'accord avec vous: la Foi n'est pas une certitude... Ou c'est une certitude de l'âme, mais non pas de l'esprit. Merci
RépondreSupprimerà vous, Monsieur l'abbé, pour vos réponses. La Foi n'est pas qu'un don de dieu, mais si nous ne voulons pas nous montrer réceptifs à sa Providence, nous
ne savons pas de quoi nous nous privons. C'est bien vrai aussi que nous faisons patienter dieu alors qu'il y a urgence. Et nous remettons à nous convertir
(si je prends mon cas personnel pour une généralité). Pourtant, j'ai la Passion de la foi: belle formule que celle de Kierkegard. quant à "aimer, c'est
vouloir", je ne l'avais pas repéré sous la plume de Denis de Rougemont, mais plus sommairement dans un entretien donné par un des maîtres d'oeuvre de "famille
chrétienne" et qui expliquait aux couples comment tenir ensemble malgré l'usure... ce vouloir qui ne suppose même pas qu'au préalable, aimer, ce soit sentir,
m'a paru tout bonnement insupportable, et voilà pourquoi je l'ai stigmatisé dans une de mes réponse, avec l'outrance qui me caractérise à l'occasion. Mais
aimer, ce n'est pas que sentir (le sentimentalisme est très mal vu de nos jours, comme le piétisme), et "la volonté est la partie supérieure de (notre)
âme": merci à Guy Robin, si je ne m'abuse, de le souligner et de remettre mes pendules à l'heure... si, maintenant et pour finir, j'embraye sur le don,
je dirais que, ce qui me pose un problème avec le don de dieu de manière générale, c'est que "le don" se voudrait "innocent de la dette" et que le don
de dieu est supposé gratuit. Or ce qui est gratuit ne demande rien en retour. dieu, le premier, nous a appris à ignorer de notre main gauche ce qu'a donné
notre main droite. Or le don de Dieu ne cesse de demander du retour. Quelqu'un pourrait-il me donner la clef de ce mystère ?
Chers amis lecteurs et commentateurs,
RépondreSupprimerRésonne en moi en un écho nouveau la formule de Kierkegard :
"La Foi est une passion." Qu'elle est belle, cette formule ! Mais quelle est la nature de la Passion qui est en la Foi ? Une passion de croire assurément, mais qui ne doit pas en rester là, parce qu'elle pourrait en rester là : une passion de croire, intransitive, pour avoir de la force, sans se référer à Dieu. Je me demande si beaucoup des querelles de l'Eglise de ces quarante dernières années ne sont pas nées de cette passion de croire, mais pas spécialement en Dieu. La Passion du Christ est de S'être fait livrer pour nous : je le répète, avec une gratuité qui me semble être bien sujette à rétribution, ceci soit dit avant que quelqu'un de plus avisé que moi n'ait dissipé ce Mystère, levant une de mes principales préventions intellectuelles à entrer dans une vraie conversions existentielle. (Mais je crains que, le jour où je ne râlerai plus, ce soit que j'aurai poussé mon dernier râle).
Plus sérieusement, je crois que la conversion de notre passion de croire en la Passion de croire en Dieu (ce n'et pas là simple baratin) ne doive susciter une Passion qui nous décentre d'un "dieu pour moi" pour nous offrir en "moi pour Dieu". La passion de croire en Dieu ne supporte plus que l'on cherche en la Foi une simple force ni qu'on la compare à un refuge. La Passion de croire en Dieu dénarcissise notre quête, notre désir de dieu. Il ne s'agit plus de savoir ce que dieu pense de moi, ni ce qu'Il va faire pour moi, mais de ce que je vais donner à Dieu. Il s'agit, après en avoir reçu "le baptême de l'eau et de l'Esprit", après être passé par ce creuset du "baptême du feu", de Lui faire le "sacrifice du cœur".
Bien cordialement
Julien weinzaepflen
Et moi, mes chers amis du net catho., avec lesquels je me sens si bien, je vous remercie du fond du coeur de m'accepter parmi vous, malgré mon agnosticisme récurrent (et je suis bien aise que le père GdT ne m'en veuille point, et qu'il ne considère pas ça, comme une tâche, sur son magnifique blog).
RépondreSupprimerJe viens juste de tomber sur ce topic, que j'avais raté et qui complète si bien celui dans lequel Julien, Antoine et Henri avaient eu la charmante attention de répondre à la question que j'avais exprimée tout haut (après le beau texte sur "L'espérance théologale, notre désir infaillible") et pour laquelle ils doivent m'excuser de les y avoir remerciés si tardivement, au point que je me demande si qui que ce soit d'entre eux, y est allé refaire un saut depuis, en sorte qu'ils doivent m'imaginer fort ingrat, ce qui n'est nullement le cas, j'étais fort touché!
Bonsoir cher Webmestre, suite à mon message de tout à l'heure, que vous avez eu la gentillesse de publier dans la foulée, j'ai pensé vous soumettre une suggestion, pour le cas précisément, où tel ou tel commentaire vienne s'ajouter bien ultérieurement à l'ouverture du topic:
RépondreSupprimerSerait-il possible de le faire savoir aux lectrices et aux lecteurs, par une "fenêtre" ad hoc, de façon à faire "remonter le topic" par la mention apparente d'un nouveau message, sans quoi le sujet prend de l'inertie et presque plus personne n'y va, sans doute, ce qui est bien dommage, car le contenu en serait à la fois enrichi et valorisé, maintenu en mouvement, si je puis dire.
Qu'en pensez-vous, cher Webmestre et bien entendu, si cela ne vous donnait en aucun cas, une charge supplémentaire de travail, car je suis sûr que nous vous prenons déjà pas mal d'énergie, pour administrer nos causeries, ce qui est vraiment très chic de votre part car ce n'est certainement pas chose si aisée, et ce pour quoi nous ne vous remercions pas suffisamment.
Je vous souhaite une excellente nuit, si vous veillez encore et nous en reparlerons peut-être, si vous le jûgez utile.
@ Thierry
RépondreSupprimer"Serait-il possible ... par une fenêtre ad hoc"
--> Je ne pense pas la chose possible car nous sommes ici sur un blog fourni par blogspot, qui ne prévoit pas cette possibilité. Je ne fais que paramétrer ce qui est paramétrable, heureusement car mes connaissances techniques sont (au mieux) limitées. Mais comme je sais insérer une image ou mettre un mot en gras, l'abbé de T me prend pour un grand informaticien. Chut...!
Je trouve que vous nous permettez - on ne peut mieux - de dialoguer, oûtre vos coups de gueule...lol! et points de vue toujours personnels, que j'apprécie fort, merci cher Webmestre mais je constate que vous êtes insomniaque comme moi....en oûtre, il a fait un temps de chien sur Paris, aujourd'hui, comme vous l'avez sans doute constaté: donc moi je me prépare tisane sur tisane, tant je grelotte! J'espère que vous n'avez pas encore coupé le chauffage, rue Saint-Joseph, comme ça été fait chez moi!
RépondreSupprimerJ'ai plein de suggestions, pour le blog, à vous soumettre mais rien d'urgent. Peut-être que vous allez faire évoluer le blog, et que nous pourrons même nous envoyer des messages personnels, entre intervenants, faire directement des liens you-tube et tant d'autres choses possibles, sous votre contrôle, bien sur!
À bientôt, cher Webmestre et merci mille fois encore!