Au départ, un constat merveilleux: "En opérant des foetus in utero, les chercheurs se sont rendu compte qu’une fois nés, les bébés n’avaient ensuite aucune cicatrice". D'où l'idée d'utiliser leurs cellules régénératrices pour "soigner les grands brûlés". Puis on a proposé le produit "aux patients qui ont suivi des traitements qui leur ont desséché la peau". Puis encore: "à ceux qui cherchent un antirides".
Le Parisien indique que le généticien Axel Kahn "n'est pas choqué". Moi si.
Je note avec plaisir que les foetus sont donc quelque chose de "précieux" (c'est le terme de l'article)... aux yeux des néo-cannibales, malheureusement.
RépondreSupprimerJ'ai toujours dit à mes enfants que l'Ogre existe. Le Loup aussi d'ailleurs et autres croquemitaines, ainsi que les sorcières, tous "sympathiques" personnages sortis de la sagesse des contes populaires.
RépondreSupprimerBizarrement, mes enfants ne sont pas perturbés ni devenus des gens craintifs, pusillanimes. Non,responsables, épanouis et respectueux des plus petits ("le foetus est un être humain extrêmement jeune" disait le professeur...Lejeune); ils sont prévenus, c'est tout.
Un premier commentaire censuré sur la Post parce ee que j'évoquais le danger qu'un jour on risque de cultiver les foetus. La discussion n'est pas très libre ailleurs!
RépondreSupprimerLe Docteur Jean-Pierre Dickès a donné toutes les réponses dans ses livres: les cellules souches adultes donnent un résultat bien meilleur. Eux sont les suppôts du Diable (Jn 8,44), qui est menteur et homicide depuis le commencement. Marguerite aussi se trouvait "si belle en ce miroir", mais elle a dû déchanter: l'éternelle jeunesse n'est qu'un miroir aux alouettes. Le Loup, l'Ogre, le Croque-Mitaine, existent bel et bien. C'est le Diable. Seul Notre-Seigneur Jésus-Christ nous donne la vie éternelle, et Lui est Vérité et Amour.
RépondreSupprimerC'est en entendant l'Ave Maria résonner Place de l'Opéra à l'occasion d'un défilé pro-vie que je me suis dit en mon for intérieur que la France n'était pas tout à fait morte. Non, la moribonde bouge encore... Quel beaume au coeur cet Ave Maria sur la place publique parisienne...
RépondreSupprimer