jeudi 18 août 2011

Une semaine sur Radio Courtoisie

J'ai l'habitude, dimanches mis à part, de me replier en Bretagne quand arrivent les grosses chaleurs, parce qu'en Bretagne, c'est bien connu, il fait toujours beau mais jamais chaud. Les neurones peuvent donc continuer à fonctionner au sec ! Cette année... Eh bien c'était raté, voilà... A cause du réchauffement climatique, il a fait plus froid que les autres années, que ce soit en Bretagne, à Paris ou un peu partout en France.

C'est pourquoi je passe cette semaine à Paris en toute bonne conscience, les neurones au sec, avec quatre émissions sur Radio Courtoisie. Le jeu en valait la chandelle, non ? S'ajoute à cela (parce que les petits bonheurs ne sont jamais là par hasard) un passage - demain matin vendredi à 7 H - sur Sud Radio (fréquence 99. 9), dans une émission de Robert Mesnard. Thème : Faut-il brûler le pape ?

Sur Courtoisie (95.6 à Paris), où la liberté est incomparable, j'ai pu parler de la Sainte Vierge le 15 août, d'une part avec l'abbé Frédéric Guigain, et d'autre part avec Henry de Lesquen lui-même, le patron. Hier mercredi, j'ai évoqué Jacques Bainville et son nihilisme actif avec Christophe Dickès (l'émission repasse samedi à 18 H).

Ce soir, jeudi, Catherine Rouvier m'a demandé de la remplacer sur Radio Courtoisie. Nous aurons trois heures pour parler de deux sujets : les conversions de musulmans au christianisme et la crise financière comme crise morale. Pour le premier sujet, nous aurons des ùmembres de l'association Notre-Dame de Kabylie et Mathieu Michel un chrétien d'origine iranienne chiite. Puis le Père Gallez, spécialiste des origines de l'islam, viendra parler de la Vierge Marie dans le Coran. Pour le deuxième sujet, Romain Koller, journaliste dans la presse économique et Maxence Hecquart (auteur d'un livre magistral : Les fondements philosophiques de la démocratie moderne, dont le dernier chapitre est consacré... à la crise financière).

Bref du pain sur la planche. J'oubliais : sur cette radio les auditeurs ont la parole au 46 51 00 85.

7 commentaires:

  1. On ne se lasse pas de vous y écouter, Monsieur l'abbé et comme vous serez le patron de l'émission de ce soir jeudi: de grâce! Ne soumettez pas, s'il-vous-plaît vos invités, à cette ridicule habitude de leur couper grossièrement la parole, pour leur demander de l'argent, sous prétexte qu'ils ont prononcé le mot "leadership" par exemple, ou encore "think tank", ce qui a pour effet immédiat de jeter l'interlocuteur dans l'effroî et de rompre le rythme du dialogue, sur fond de gloussements mille fois éructés, à propos du cochon! Il faut vraiment être fidèle, pour supporter de tels enfantillages, qui ne servent en rien "la laanngue Frraançaise", soyons sérieux!

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  2. Un docteur de l'église est né qui se fait écho sur radio courtoisie. Monsieur l'Abbé Guillaume de Tanoüarn investit les ondes de la radio avec une redoutable efficacité. Sa présence est toute indiquée dans cette période très agitée. En effet, monsieur l'Abbé guillaume de Tanoüarn est un prêtre qu'il faut écouter. La nature de son enseignement est idoine aux grands penseurs de l'église.
    Antoine Carlier Montanari

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  3. Monsieur l'abbé, pourquoi ne passez-vous pas quatre fois CHAQUE SEMAINE, sur RC? N'ayant entendu qu'une toute petite partie en direct, du Journal de Catherine R., que vous avez animé hier soir, j'ai opté pour passer la nuit, l'oreille collée à mon poste de radio, pour la rediffusion qui vient de s'achever, à cinq heures du matin, je n'en ai pas raté une miette!

    C'était vraiment magnifique! Tant la première partie, avec ces quatre invités si attachants et si riches de partage avec les auditeurs, chacun dans son style, Marie-Madeleine si émouvante et je dirais même charmante, Christophe si communicatif et subtil, que nous connaissons bien déjà et qu'il est toujours si agréable de savoir dans le studio, cet étudiant si sincère qui a peu parlé mais ses interventions étaient particulièrement marquantes, et bien sûr votre savant confrère, le Père Gallez. Une superbe "ambiance" de liberté spirituelle, entre des personnes toutes attachantes. Dommage que le monde réel, ne ressemble jamais à ça!

    Quant à la seconde partie, nous ne sommes guère surpris de vous y avoir trouvé aussi dynamique et constructif, quoique le domaîne -Finances et Economie- fût si éloigné de vos préoccupations spirituelles habituelles mais vous vous en êtes sorti comme un chef, parmi ces brillants esprîts que sont David Mascré, Romain Koller et Maxence Hecquart, ce dernier peut-être le plus proche de vous, par sa formation intellectuelle des Humanîtés Classiques, plus spécifiquement littéraire et philosophique que matheuse.

    Je vais essayer de tenir le coup jusqu'à sept heures, pour vous écouter sur Sud Radio! Vous allez "prendre le coup" et bientôt vous allez nous faire le plaisir de vous entendre "passer" sur Europe N°1 ou chez Jean-Jacques Bourdin, sur RMC-Radio, comme si, la radio, vous faisiez ça depuis toujours!

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  4. L’émission de jeudi était vraiment très intéressante.
    Merci mr l’Abbé pour ce moment de réflexion et de plaisir.

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  5. Du pain béni Monsieur l'Abbé !
    Une très belle semaine courtoise. Merci.

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  6. Oui et j'en suis bien content! Plutôt "pantouflard" de nature, je reste chez moi pendant les grandes vacances et c'est un vrai régal de vous entendre. Tout spécialement quand vous discutez avec Henri de Lesquen.
    Merci encore.

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  7. Ayant dû m'absenter pour des vacances exceptionnelles vécues au milieu d'amis extraordinaires sur l'île de Noirmoutier, je n'ai pu écouter cette "semaine courtoise" et en aurais du regret, si je n'avais pas vécu un moment humain qui a largement tout racheté. Mais de grâce, monsieur l'abbé, faites passer le premier commentaire de Thierry à M. de Lesquen. Ce n'est pas respecter la langue française que de rebondir au premier anglicisme, même si cela stimule la néologie!

    Si vous pouviez en plus lui glisser à l'oreille, très diplomatiquement, qu'il ne faudrait pas que l'on puisse dire, comme les techniciens en plaisantaient naguère le regretté Pierre Chaunu:

    "Ce soir, très bonne émission! HDL a reçu HDL !", ce serait parfait. Les invités ne sont pas là pour faire de la simple figuration. Allez, dites-le-lui ! Il ne lui manque que ce respect de l'invité pour être un bon homme de radio !

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